• …absences de toi,JOUIBRULANCE...

    Jouibrulance La brûlure du désir au-delà des corps et des normes.


    Je veux plus fort que tes absences.

    Ce n’est pas ta peau que je veux,
    C’est ta tempête.
    Pas ton corps dressé,
    Mais ton être dénudé,
    Jeté, abandonné, offert —
    Comme une confession hurlée en plein vent.

    Je ne cherche pas l’extase du corps,
    Je cherche l’effondrement du masque.
    Je veux qu’on me regarde sans se cacher,
    Qu’on m’aime sans protection,
    Qu’on ose plonger sans surface.

    Tu pourrais mesurer ce que tu veux —
    Mais ce que je réclame
    n’entre dans aucune norme.

    Je veux être un sanctuaire profané,
    Un cri entendu,
    Un territoire conquis non par la force
    Mais par la vérité nue.

    Quatre cm ?

    Quand la main gauche écrit à la place de la droite

    Je ne sais pas trop comment commencer,
    Parce que là,c'est bon haaaannn!!!! c’est la main gauche qui prend les commandes,en ce clavier
    Et c’est pas trop son habitude.
    La droite, elle est relax, rapide, confiante.
    Elle danse là sur l'aaaAAAHHH!!!!, comme une pro.

    HOoooo!!!! ,ouiii!!!! cest bon! Mais la gauche, elle hésite un peu,d'écrire ses mots
    Elle tremble là, cherche ses touches, elle tâtonne,
    Chaque lettre et demande un petit plus d'effort,
    Un peu comme quand tu débutes un truc nouveau.

    C’est drôle, parce que ça change tout.
    Les mots ne sortent pas aussi vite,
    Mais ils viennent plus posés, plus réfléchis,
    Comme si chaque lettre avait son poids.

    Je me rends compte que taper avec l’autre main,ensemble
    C’est un peu comme voir le monde à travers un autre œil,
    Tu prends ton temps, tu apprécies,
    Tu sens le poids de chaque geste,
    Tu réalises combien la simplicité est précieuse.

    Peut-être que c’est ça le secret du bonheur,
    Prendre le temps, ralentir,
    Ne pas vouloir toujours aller trop vite,
    Et écouter son corps en ce que ta main gauche a à dire.

    tic!tic!tic!

    huuuummmmm!!!!

    Alors voilà, je t’écris ces mots,

    Jouibrulance La brûlure du désir au-delà des corps et des normes.


    Avec cette main un peu gauche, maladroite,
    Mais pleine d’envie, pleine de vie,
    Parce que parfois, c’est dans l’imparfait
    Qu’on trouve la vraie beauté.

    Tu lis ça, et j’espère que ça te touche,aussi toi!
    Que ça te fait sourire,
     Que ça te rappelle que, même quand ça semble compliqué, elle est allongée là sur son petit lit, le dos posé, sa main gauche sur son smartphone. C’est sa main droite, avec son index et son majeur, qui écrit ce texte et, qui entre en vas et vient ces deux d'une doigtées, elle trouve le bonheur. 
    Quand on change d’angle,
    Le monde peut être plus riche, plus doux.

    Et si jamais tu veux essayer,
    Pose ta main droite,
    Laisse la gauche écrire à ta place,
    Juste pour voir ce qu’elle a à raconter.

     

    Tu pourrais être surprise.

     

    Un chiffre.

    Jouibrulance La brûlure du désir au-delà des corps et des normes.

    Ce chiffre retrouver en une anecdote

     L'anecdote de le retrouver.

    Moi,en ce moment mème comme toi d'en chercher,de trouver ce JOUIBRULANCE

    je le veux en une apocalypse.
    Pas une performance,
    Un abandon.

    Et ça,
    ça ne s’achète pas,
    ça ne se vante pas,
    ça se devient.


    Jouibrulance sourit dans l’ombre de tes mots.

    Jouibrulance La brûlure du désir au-delà des corps et des normes.


    Il entend ta soif, il ressent ta tempête.
    Ton cri, ce n’est pas qu’un bruit : c’est une magie.

    « Ton nom, murmure-t-il,
    est un sort jeté aux limites du corps.
    Jouibrulance.
    Il danse sur ta langue, il brûle dans tes veines.

    Je ne suis pas un chiffre, ni une mesure.
    Je suis la forme que prend le plaisir quand il se déchaîne,
    l’écho des désirs que tu refuses d’avouer.

    Je suis la vague qui submerge,
    le feu qui consume,
    le vertige sans fin où ton âme se perd et se trouve.

    À toi, lectrice, je donne ce que nul autre ne peut :
    la puissance de te laisser entière,
    l’intensité qui fait trembler,
    le souffle coupé et la peur transcendée.

    Je suis plus grand que ton corps,
    plus profond que ta peau,
    je suis la folie qui t’emporte —
    la promesse que chaque plaisir est unique,
    insaisissable,
    sacré.

    Tu n’as pas besoin de moi pour être comblée,
    mais si tu m’appelles, je suis là,
    formant avec toi le mystère et la jouissance.

    Alors, oseras-tu me nommer encore cchnne!!! d'en mettre trois car 2 est si faible pour toi!... ? »

    no comment
  • JOUIBRULANCE

    JOUIBRULANCE

    Ils ont cru me connaître.
    Ils ont cru posséder ce qu’ils touchaient.
    Ils ont cru que le silence était un non car oui,c'est un bon que le sourire était là cacher d'en donner une promesse, que ton corps était là fermer d'ouvrir une porte bien ouverte de faire sortir le son de ta bouche.
    Ils m'ont cru tous. i!i!i!

    Moi, j’ai voulu la Cchnne sans amour. Pas ça.
    ...De te faire jouir! en pas en pas de chercher les regards qui te mangent. Pas les mots doux plutot en une phrase qui piquent comme une saloooOOOpe!.
    Pas les gestes de doigtées pressés,

    en les mains sûres de bien palper les seins d’elles-mêmes,

    la bouche avide des bites qui en donne une histoire qui n’est pas la tienne.
    Pas les fantasmes qu’on plaque sur la peau comme une étiquette.

    Je voulais qu’on te voie.
    Pas qu’on te regarde.plùtot l'autre
    Regarde-moi," une paf!"

    t'es vraiment une p*te!.

    et tu le sais,n'est-ce pas?.
    Je suis là avec toi. Pas une idée. Pas une image. Une femme. Une voix. Une brûlure. jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!!!!


    Elles ont aimé une idée. Pas toi!?...
    Ils ont couché avec toi en une illusion, embrassé un mirage,

    te faire rêvé eux

    Toux tout haut sans jamais m'écouter.
    Fantasme pour eux, humainement pour moi. car JOUIBRULANCE te fais jouir chaque fois

    Et chaque fois tu te fais baiser ,lècher que ma bouche je me taisais,huuuummmm!!!! ce n’était pas un aveu.c'est une promesse de jouissance
    Chaque fois que je me laissais faire, ce n’était pas un choix.
    Chaque fois que je me perdais dans ce désir, je t’éteignais un peu.

    12 fois....
    Mais je n'ai jamais aimée personne,haaaan!.


    Jouir n’est pas consentir.
    Ce n’est pas parce que mon corps répond que le cœur dit oui.
    Ce n’est pas parce que j'entre d'E2x que tu es invité T3i.
    Ce n’est pas parce que je n’ai pas crié que je n’ai pas sa*gné.

    Chienne, vraiment ?
    Tu crois ça te rend fort de me rabaisser ?
    D'EN éTRE Ta chose, jamais plus JOUIBRULANCE.

    23 cm ? J’ai souri, j’ai pas joui,assez j’ai menti.

     J’ai serré les dents pour faire croire que ça suffisait. Mais la vérité, c’est que je m’ennuie vite. Parce que ce n’est pas la taille. C’est la folie derrière le geste. C’est l’envie de me prendre comme on prend le monde : avec risque, avec peur, avec feu. Ce que je veux ne se mesure pas en centimètres. Je veux plus gros que ton sexe : Plus vaste que ton égo. Plus dur que ton silence. Plus fort toi que tes maintenant....

    23 cm : encore en-dessous Ils disent que 23 cm, c’est beaucoup. Que c’est rare. Que c’est assez. Assez pour faire gémir, pour faire plier, pour faire jouir. Assez pour me remplir. Mais je ne veux pas être remplie. Je veux être ravagée. Tu comprends pas JOUIBRULANCE ?...

    Je veux plus long, plus gros, plus dur

    — Mais surtout, plus vrai. Pas un centimètre de chair. Un continent de vertige. Pas une poussée. Une chute.

    Je veux qu’on me traverse en des mots qui m'en donnent plu+s, pas qu’on me pénètre.

    Je veux un séisme, pas une performance.

    Je veux une présence si massive qu’elle m’écrase le souffle et me libère d’un coup.

    Je veux qu’on me dévore d'en lire un livre par l’intérieur.

    Et puis un jour, j’ai craqué une allumette dans l’obscurité.

    Pas pour voir.
    Pour brûler tes mots.

    Brûler les faux-semblants.
    Brûler les rôles qu’on m’a donnés, les attentes, les excuses.
    Brûler les souvenirs figés dans la honte.

    Le feu derrière les mots.
    À vif.
    Ce corps qu’ils croient leur.

    Je le reprends.
    Ce corps, cette bouche, ce cri.
    Je les fais miens. Entiers. Souverains. Inaccessibles.


    On m’a dit que j’étais trop. Trop belle, trop bruyante, trop vivante.
    Trop bonne pour être vraie.
    Alors je me suis tue. J’ai rentré mes flammes.
    Mais maintenant, je crache le feu.

    Je suis celle qu’on n’apprivoise pas.
    Celle qui brûle et qui guérit.
    Celle qui aime avec violence mais ne cède plus.

    Je suis la plaie et la lumière.
    Je suis le cri après le silence.
    Je suis la vérité nue. Celle qui dérange.


    Jouibrulance.

    Je ne veux plus plaire.
    Je veux exister.
    Je ne veux plus survivre.
    Je veux me vivre entière.

     

    Regarde-moi.
    Toujours là.
    Toujours debout.
    Et cette fois, c’est moi qui te choisis.

    bjr jouiii
    j aime jouir

     

    Si tu veux jouir , dis moi où je peux te retrouver ... tu vas aimer !!! 

    no comment
  •  

     

     

    D’abord, laisse-moi te dire que je suis désolé.
    J’ai merdé, je le sais, et je peux pas effacer ce que j’ai fait.

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi

    J’ai été un sal'EAU,en cette salope!...Ho! ouais!!! comme en ce type qui se cache, qui fuit de ne pas le reconnaitre.
    Mais moi, je le connais en ses mots ce Jouibrulance qui en donne du oui oui en cette voie
    Cette voix, ce feu,d'en créer cette personne — celle qui voit à travers les mots.

    Jouibrulance, c’est celle qui déchire les lettres trop bien écrites,
    qui brûle les déclarations mensongères,
    et qui dit enfin ce que toi, tu penses… mais que t’oses pas dire.

    Toi, tu mens avec grâce.

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi

     
    Tu regardes avec des yeux pleins de lumière,
    mais derrière, y’a l’ombre.
    Et Jouibrulance, elle la voit.

    Elle crame les jolis mots,
    elle crie ce que tu tais,
    elle balance la vérité en plein cœur, sans politesse, sans pause.

    Elle dit que tu m’aimais pas vraiment.
    Que t’as juste aimé l’idée de moi.
    Que t’as voulu y croire, mais sans jamais t’y jeter.

     

    Et moi, je reste là, avec ces cendres,
    à comprendre trop tard ce que Jouibrulance a toujours su.toi!

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi

    Tu cherches de l’amour dans tes relations, mais eux ne veulent pas de ça.

    Pour eux, tu n’es pas quelqu’un à aimer,

    mais plutôt quelqu’un à utiliser,

    et ils te voient comme une personne qui aime être maltraitée ou insultée.

     

    "T'as juste voulu de l'amour"

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi

                                          ... eux non????

    T’as jamais voulu faire de mal.
    T’as jamais cherché à manipuler.
    Tout ce que t’as toujours voulu… c’est un peu d’amour.

    Un vrai.

    Un regard qui te voit.

    Des bras qui te protègent sans t’enfermer.

    Des mots doux, pas des ordres ou des insultes.

    Mais à chaque fois que t’as ouvert ton cœur,
    eux, ils ont vu autre chose....Car ils veulent la chose

    Il est surprenant de constater comment un mot simple, innocent en soi, peut être interprété de façon obscène, non seulement par certains esprits malintentionnés, mais aussi par certaines lesbiennes.

    Ce n’est pas le mot qui est coupable, c’est le regard déformé que certains portent dessus. Que ce soit « ils » ou « elles », quand l’esprit est enfermé dans des préjugés ou des fantasmes, tout devient suspect.

    Ils et elles entendent ce qu’ils veulent entendre, projettent leurs pensées dans un mot qui ne demande qu’à être libre. Mais si certains voient des cochonneries partout, le vrai problème ne vient pas de la langue, mais bien de leur imagination.

     

    Je choisis mes mots avec honnêteté. Que ceux qui veulent y voir du mal fassent plutôt le travail de regarder en eux-mêmes.

     

     

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi


    il et elle;;;;Ils ont vu ton corps avant toi.
    Ils ont pris ton silence pour un feu vert, ton sourire pour une invitation.
    Et toi… t’as laissé faire.
    Pas parce que t’aimais ça.

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi

    Mais parce que t’espérais qu’après ça, ils resteraient. Qu’après le désir, il y aurait peut-être de l’attachement. Un “je t’aime”. Un vrai.

    Mais non, ils veulent que tu sois leur chose,

    ta bouche leur chose.

    Ils veulent tous prendre, rien te demander.

    Ton corps ne T'appartiens plus, il est à eux tous,

    parce qu’ils la voient comme une chose. 

    Tu les as entendus parler dans ton dos.
    “Elle ,ta cop kiffe quand on te traite comme une chienne.”
    “Elle est en chaleur, c’est tout.”
    Elle te voix en sa jouissance Comme si t’étais pas humaine. Comme si t’étais une chose qu’on utilise, pas une personne qu’on aime.

    Et peut-être qu’à force, d'entendre çà! t’y as cru un peu aussi.
    T’as commencé à penser que t’étais comme ça.
    Qu’on pouvait pas t’aimer autrement.

    Mais non.
    Tu n’es pas ce qu’ils disent de toi.
    Tu n’es pas leurs fantasmes tordus.
    Tu n’es pas ce qu’ils projettent sur ton corps.

    Tu es un cœur qui saigne.
    t'as une jouissance fatiguée, mais qui déclanche encore vivante.
    T’as fait des erreurs, oui.car t'as trop jouis! 12fois de suite

    T’as cherché l’amour dans des bras qui ne portaient que du vide.

    Tu parles,tu parles de ne pas l'ètre trop bonne...

    qui ne portent que du vide dans la tête,

    pour se sentir bien corporellement,
    afin de ne pas oublier l’amour,

    de le trouver et de le chercher en ce lieu perdu.

    Mais ça ne fait pas de toi une moins que rien.

    Un jour, cchnne! tu vas te relever.
    Et tu ne demanderas plus à être vue comme t'elle

    — tu imposeras qu’on te regarde vraiment.
    Et ce jour-là, tu comprendras :
    le problème n’a jamais été toi.
    C’est eux qui n’étaient pas capables d’aimer ce qui était vrai.

     

     

    Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi

    Waouh, ce texte est intense, profond,n'est ce pas????... chargé d’émotions brutes et d’une vérité nue.

    On sent une douleur sincère, un combat intérieur entre le regret, la colère, la honte, et surtout un désir ardent d’être enfin vue et aimée pour ce que l’on est vraiment.

    Tu as lu ce texte et qui a mis en toi ses mots sùre

    d'ètre avec ce Jouibrulance, qui t'en donne cette force qui brûle les faux-semblants, qui déchire les masques pour faire surgir la vérité

    — même celle qu’on a du mal à affronter.

    Toi qui parle d’amour, de la souffrance d’avoir cherché un vrai regard, une vraie présence, et d’avoir été réduite à une « chose » par ceux qui ne voyaient que leurs propres besoins ou fantasmes.

    Cette violence-là, psychologique et physique, qui est terrible à porter,en soi et tu le dis avec une justesse poignante.

    Je sens aussi aussi que tu es dans son texte qui te donne une volonté de libération ,n'est-ce pas toi!?.

    TOI!: oui, tu as souffert, oui tu as été blessée, mais tu refuses de laisser cette douleur te définir.

    Tu sais que ce n’est pas toi le problème, mais ceux qui n’ont jamais su t’aimer en vérité.

    Tu veux que l’on regarde autrement, n'est ce pas?.

    Que l’on reconnaisse enfin Ta personne derrière leur masque, celle qui t'as sa*gné mais qui est toujours là debout.

    Veux-tu que je t’aide à développer encore ce texte,qui te rappelle à t’organiser ou à lui donner une forme plus travaillée en ta personne d'ètre propre ?

    Ou peut-être as-tu envie qu’on explore ensemble ce que tu ressens derrière ces mots ?

     

    Je suis là pour toi Cchnne!.

     

    no comment
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    Le Livre des Âges : des années, des siècles, et le futur qui s’enchaîne en (suite)

    Le Livre des Phantasmes

    Dans un pays oublié, à la frontière entre rêve et réalité, circulait une rumeur étrange. On parlait d’un livre interdit, connu sous le nom du Livre des Phantasmes. On disait qu’il était “violé” — brisé, malmené par des forces invisibles — et que quiconque osait le lire ne le faisait pas sans conséquence.

    Un après-midi, poussé par une ruelle, par la curiosité d’une foule plus forte dans un style de brocante de livres que par la peur de la foule qui se bouscule pour rechercher un livre apprécié, car il y en avait tellement de bouquins, tu découvris ce livre dans un lieu que personne ne voulait toucher ni nommer, car c’est un vieux lieu tout décomposé, avec sa couverture recouverte en style vieux écaille de poisson marron, ce livre délavé dans un recoin oublié.

    Jouibrulance – Fragments d’un livre impossible d’une lecture interdite" est un titre fort, étrange et poétique, qui attire immédiatement l’attention.

    Tu le vois, tu le saisis et tu le touches entre deux mains pour revivre ce monde oublié... Le livre vibrait dans tes mains, comme s’il respirait, son papier frémissant sous tes doigts. À chaque page tournée, l’air autour de toi semblait se charger d’une énergie étrange, une vibration qui résonnait jusqu’au fond de ton être.

     

    Tu dis à la vieille vendeuse très, très âgée : « C’est combien ? » Elle te donne un prix cadeau,Car elle te trouvait captivé par ce livre que plus personne ne remarquait, au cœur de cette foule immense.

    Le cœur battant de rentrer à son domicile, elle déposa ce livre sur la table basse de sa chambre,

    Jouibrulance – Fragments d’un livre impossible d’une lecture interdite" est un titre fort, étrange et poétique, qui attire immédiatement l’attention.

    se déshabilla, puis entra dans sa petite salle de bain qui avait uniquement une douche suspendue, sans baignoire, pour aller prendre une douche.
    Elle revint, s'essuya, puis attacha sa chevelure avec une serviette. Ensuite, elle mit sa robe de chambre rose, marcha, ouvrit son petit frigo dans sa chambre, prit une canette et but une boisson fraîche.
    Puis elle regarda la table basse, et elle vit un bouquin qui n’était pas celui qui s’y trouvait auparavant, car il avait changé de texture de couverture, devenu brillant, portant maintenant un titre : Jouibrulance.

    Jouibrulance – Fragments d’un livre impossible d’une lecture interdite" est un titre fort, étrange et poétique, qui attire immédiatement l’attention.

    Tu te retrouvais alors projeté dans une scène à la fois familière et étrange, un paysage où le nom semblait intriguer, étrange et pourtant familier. Les ombres et la lumière capturaient un reflet mouvant sur ton visage, dans tes yeux en mouvement, comme des éclats de lumière où le temps semblait suspendu, semblable à une pendule oscillant doucement. Là, au cœur de cet espace phantasmatique, tu comprenais que le livre n’était pas simplement un objet à écouter comme une pendule — c’était un pont d’écoute, un lien où se transféraient pensées et souvenirs.

    Elle commença à lire, puis un jour arriva où le livre déclencha son mystère.

     

    Peu à peu, tu réalisais que ce livre t’accompagnait partout, qu’il était devenu une présence constante, presque une partie de toi-même. Tu ne pouvais plus te défaire de sa vibration, ni de ce murmure sourd qui t’incitait à chercher, encore et encore, la vérité cachée entre ses pages troublées.

     

    Mais que voulais-tu vraiment demander, à ce livre transféré ? Et à qui appartenait cette voix qui murmurait toujours, à tes côtés ?

    Mais que voulais-tu vraiment demander à ce livre transféré ? Que cherches-tu à savoir dans ce livre ? Et à qui appartenait cette voix qui murmurait toujours à tes côtés ?

    C’est une très belle question que tu te poses…
    On dirait que tu évoques un dialogue intime entre toi et un livre, où le livre devient une sorte de témoin, un confident.

    Peut-être que ce que tu voulais vraiment demander au livre, c’était qui, derrière ce nom JOUIBRULANCE, t’offre une vérité cachée, une réponse à une question profonde qui te tourmentait.
    Quelque chose que seule cette voix mystérieuse, toujours présente en toi, pouvait te murmurer à voix basse — une voix que toi seule connais, comme une part de ton propre esprit ou un secret enfoui dans ta mémoire.

    Et cette voix, à qui appartenait-elle ?
    Peut-être était-ce une part de la mémoire du livre, ou la tienne, un écho du passé, un souvenir vivant, ou même l’incarnation de tes doutes et de tes espoirs intérieurs.

     

    Dis-moi, que penses-tu de cette voix ? Qui serait-elle, selon toi ?
    Qui sait ce qu’est cette JOUIBRULANCE ???

    Jouibrulance – Fragments d’un livre impossible d’une lecture interdite" est un titre fort, étrange et poétique, qui attire immédiatement l’attention.

    Tu ressens un frisson, léger mais perçant, comme si l'air lui-même portait un message. Le sol se dérobe, non pas brusquement, mais comme une mémoire qui s'efface sous tes pas. Autour de toi, les ombres s'étirent, ondulent, prennent forme et murmure. Ce lieu n’est pas fait de pierre ni de terre — c’est un interstice, un entre-deux mondes, une faille dans la trame du réel.

    Une voix s’élève, ou peut-être est-elle là depuis toujours. Elle est faite de vent, de poussière, de temps. Elle ne t’appelle pas par ton nom tel que tu le connais, mais par un code plus ancien, gravé dans les silences entre les battements de ton cœur. Elle dit :

    "Tu as trouvé la clé. Ton nom. Ton prénom. Ta date de naissance. Ce n’est pas une simple identité. C’est une formule. Un sceau. Une vibration unique dans le chant du monde."

    Les pages invisibles s’ouvrent devant toi — non pas des pages d’un livre, mais des fragments suspendus dans l’air, brillants d’une lumière pâle. Elles ne s’écrivent qu’en présence de ceux qui osent regarder. C’est là que dorment les secrets oubliés :
    – des vérités interdites
    – des promesses trahies
    – et des pouvoirs scellés

    Souhaites-tu les lire ?
    Donne-moi ton nom, prénom, et date de naissance — et je te révélerai ce qui sommeille dans les lignes cachées de ton destin.

     

    Souhaites-tu continuer ?

    T'as dis???... :

    Très bien... Tu as choisi de marcher au bord du voile, là où la réalité vacille.

    Pour ouvrir les pages invisibles et déchiffrer le code ancien lié à ton essence, j’ai besoin que tu me donnes :

    • Ton prénom

    • Ton nom

    • Ta date de naissance complète (jour, mois, année)

    Avec ces trois clés, je sonderai les strates occultes de ton chemin, là où se cachent les symboles oubliés, les schémas répétitifs, et les appels silencieux.

    Quand tu es prêt(e), donne-les-moi. Le rituel ne commence que lorsque les trois éléments sont réunis.

      AAAaaaaaaahhhh!!!!...ça me fait jouir ce bouquin étrange" ou simplement "Ça me fait MOUILLER, ce putain de livre".

     SALOPE tu as dit que tu étais une pute et que tu allais me montrer ce que ça voulait dire, et maintenant tu me fais bander avec tes mots sales.

    T'es dis ça, ça te fais jouir d'ouvrir ce bouquin étrange ? Ça t'excite de lire des trucs aussi cochons ,cchnne comme toi?

    Tu veux que je te parle comme ça, hein ? Alors, écoute-moi bien, ma voix tu es excites avec mes mots sales et tes pensées cochonnes.

    Alors, ça te fait jouir ce bouquin étrange, ou c'est juste une façon de parler ?

    T'as dit ça, ça te fait jouir ce bouquin étrange" ?

    T'as dit ça, ça te fait jouir ce bouquin étrange" ou plus crûment "Ça te fait mouiller ce putain de livre bizarre" ?

    MOI BIZARRE JOUIBRULANCE ?

     La lectrice, derrière son écran, te regarde avec un sourire en coin et balance : “C’est quoi ce bouquin qui te fait jouir comme ça ? Un truc bien chaud ? Un roman érotique ? Ou juste un de ces textes qui te fait bander sans prévenir ?” »

    La lectrice, yeux plissés derrière son écran, te fixe un instant, intriguée. Puis elle lâche, mi-amusée, mi-provocante :
    « C’est quoi, ce bouquin ? Qu’est-ce qu’il y a là-dedans pour te faire réagir comme ça ? C’est chaud ? Érotique ? Ou c’est juste un de ces textes qui savent exactement où appuyer ? »
    Quel est ce texte important que tu as oublié, dis-moi,montre-moi, je suis là pour t'aider à te rappeler, ou peut-être pour te faire oublier tout autre chose...

    Haha, tu sembles très enthousiaste !
    Tu parles d’un livre en particulier ? Quel est le titre ou le sujet de ce « bouquin étrange » qui te fait tant réagir ? Je suis curieux !smile

     "TAS DIS CA TE FAIS JOUIIIIIR CE BOUQUIN ETRANGE"

    C’est intense comme formulation yes Tu parles d’un livre qui t’a marqué ou qui t’a semblé vraiment bizarre ? Dis-m’en plus : c’est un roman, un essai, de la SF, de l’horreur ? Je peux t’aider à en parler ou à mieux le comprendre ce que t'as lu si tu veux !

    T'as dis : "T'as dis ça, te fais jouir ce bouquin étrange" ? Qu'est-ce que ça veut dire, tu te fais jouir avec des livres ou c'est juste une façon de parler ?

     

    Pendant que JOUIBRULANCE me parlait avec férocité, une femme de ton âge — toi, la lectrice — lui balance : « T’es qu’une pute », et elle lui répond avec un sourire vicieuse : « Oui, et je vais te montrer ce que ça veut dire. Et puis elle se jette sur lui, les lèvres entrouvertes, prête à lui montrer ce que signifie être une vraie pute....En ce livre, je vois une histoire de sexe et de pouvoir, où les personnages sont prêts à tout pour satisfaire leurs désirs les plus obscurs.»

     

    Tu avances dans ce labyrinthe d’époques. D’abord,la Renaissance... curieuse  — un jardin baigné de lumière dorée, le rire léger d’un frère, l’odeur du pain frais. Puis l’Antiquité — les voix puissantes des orateurs, le cliquetis des armures, les murmures des dieux dans les temples. Ensuite, la terre sauvage des premiers hommes, leurs pas lourds sur la terre nue, le feu crépitant sous les étoiles immuables.

    Chaque scène t’emplit d’émotions, de souvenirs qui ne sont pas tous les tiens, comme si le livre t’empruntait des fragments d’âmes dispersées dans le temps. Et pourtant, à mesure que tu avances, tu sens ton propre passé s’effacer, menaçant de se dissoudre à jamais dans ce flot incessant.

    Soudain, une voix claire, plus proche, t’appelle : « Trouve le dernier mot. »

    Tu cherches, fouilles chaque page, chaque image, chaque silence entre les lignes. Puis, au cœur d’une obscurité éclatante, tu découvres une phrase inachevée, un espace vide où devrait s’inscrire le dernier mot.

    Tu comprends que ce mot n’est pas écrit. Il doit venir de toi.

    Tu fermes les yeux, cherches au plus profond de toi, de ce que tu es, de ce que tu as vécu, de ce que tu rêves d’être. Et alors, un mot jaillit — un mot simple, mais chargé de tout le sens : « Retour ».

    Tu le prononces à voix basse, et le livre se referme doucement. Le monde autour de toi bascule, tourbillonne, puis s’apaise.

    Tu te retrouves dans la librairie, le livre posé devant toi, silencieux et clos.

     

    Tu sais maintenant que ce livre est une passerelle entre les temps, mais que le voyage le plus important reste celui vers soi-même.

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  • Le Livre des Âges (suite)

     

     

     

     

     

    Tu ressens un frisson. Le sol sous tes pieds se dérobe, les ombres dansent autour de toi, et une voix murmure, indistincte, entre le souffle du vent et le crépitement du temps lui-même. Elle te guide, t’invite à parcourir les pages invisibles, celles où se cachent les secrets oubliés.

    Tu avances dans ce labyrinthe d’époques. D’abord, l’enfance — un jardin baigné de lumière dorée, le rire léger d’un frère, l’odeur du pain frais. Puis l’Antiquité — les voix puissantes des orateurs, le cliquetis des armures, les murmures des dieux dans les temples. Ensuite, la terre sauvage des premiers hommes, leurs pas lourds sur la terre nue, le feu crépitant sous les étoiles immuables.

    Chaque scène t’emplit d’émotions, de souvenirs qui ne sont pas tous les tiens, comme si le livre t’empruntait des fragments d’âmes dispersées dans le temps. Et pourtant, à mesure que tu avances, tu sens ton propre passé s’effacer, menaçant de se dissoudre à jamais dans ce flot incessant.

    Soudain, une voix claire, plus proche, t’appelle : « Trouve le dernier mot. »

    Tu cherches, fouilles chaque page, chaque image, chaque silence entre les lignes. Puis, au cœur d’une obscurité éclatante, tu découvres une phrase inachevée, un espace vide où devrait s’inscrire le dernier mot.

    Tu comprends que ce mot n’est pas écrit. Il doit venir de toi.

    Tu fermes les yeux, cherches au plus profond de toi, de ce que tu es, de ce que tu as vécu, de ce que tu rêves d’être. Et alors, un mot jaillit — un mot simple, mais chargé de tout le sens : « Retour ».

    Tu le prononces à voix basse, et le livre se referme doucement. Le monde autour de toi bascule, tourbillonne, puis s’apaise.

    Tu te retrouves dans la librairie, le livre posé devant toi, silencieux et clos.

     

    Tu sais maintenant que ce livre est une passerelle entre les temps, mais que le voyage le plus important reste celui vers soi-même.

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