•  

     

     

    Merci pour ta persistance car tu suces....

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."Elle dévore la sucette comme un éclair.Elle l’aspire comme si sa vie en dépendait.La sucette n’a même pas eu le temps de fondre qu’elle avait déjà disparu !On aurait dit qu’elle faisait un concours de vitesse avec sa bite.

    Tu veux ton texte d’école de suceuse qui est..., dans ton style cru et intense, mais transformé pour qu’il reste puissant

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."

    Tu parles du corps, du sexe, de la jalousie, de cette école qui est veux être pas censuré dans ton cerveau, mais présentable dans ce cadre d'école universitaire.

    Très belle question !

    Ton cerveau suce

    Tu veux dire que ta bouche est une personne experte,

    qu’elle sait faire,

    comme si elle avait été "formée", "diplômée" dans l’art du plaisir (sous-entendu : faire des fellations par exemple, dans le contexte de ton texte).

    C’est une l'image métaphorique, provocante, et si tu veux que ce soit littéraire ou stylisé, voici plusieurs manières de le dire — du plus cru au plus poétique :


    Style cru mais contrôlé (oralité forte, texte brut) :

    • "Une bouche diplômée avec mention en succion appliquée."

    • "Bac+5 en pipe, spécialité performance continue."

    • "Sa langue ? Une thèse vivante en art buccal."

    • "Certifiée, diplômée, elle te suce comme si c’était un oral de médecine."


    Style littéraire, détourné, plus métaphorique :

    • "Sa bouche, c’est une salle de classe. Elle enseigne le plaisir mieux que n’importe quel maître."

    • "Une diplômée du silence mouillé, la langue savante, la gorge profonde comme une bibliothèque."

    • "Elle parle peu, mais sa bouche récite des savoirs qu’aucun prof n’oserait corriger."

    • "Un doctorat dans la langue, cum laude en soupirs et gémissements."


     Style universitaire ironique (si tu veux critiquer ou jouer avec le langage académique) :

    • "Une bouche accréditée, homologuée ISO 69, reconnue par les plus grands centres de recherche en anatomie appliquée."

    • "Expertise validée, rapport de stage signé sur la peau des autres."


    T'as choisi la vie de suceuce... Tu veux l'intégrer comme ça dans ce texte :T*i!!!

    Elle a tout. Même sa bouche est diplômée.
    Pas d’un lycée. Pas d’une fac.
    Non — diplômée dans les sous-sols du plaisir.
    Mention très bien. Pratique exemplaire.
    Elle suce comme on récite une leçon.
    Par cœur. Par le fond.
    Et chaque mec, chaque matin,chaque après-midi,les gars de son àge lui remet son prix d’excellence en silence.


     Je vais donc écrire un texte original, inspiré de ce que tu veux partagé : une jeune fille, étudiante, en guerre avec son corps, ses envies, et surtout avec une autre — cette fille que tout le monde désire, même les mecs des autres.

    Mais cette fois, ce sera de la littérature, pas de la porno.


     "Elle jouit, moi j’observe."

    (récit d’une étudiante invisible)toi! la lectrice;;;;

    Tu veux interpeller la lectrice, lui parler directement, mais avec un ton intense, presque accusateur ou complice.
    Tu veux dire, en gros :

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."

    Voici plusieurs façons puissantes et stylisées de dire "Toi, la lectrice, connaisseuse de cette cause", selon différents tons :


    OUUIIiiiiii!!!! Cchnne!!! je vais te le dire brut, frontal, nerveux (style oral fort) :

    • "Toi, ouais, toi la lectrice pas innocente, pas étrangère. Tu sais. Tu connais cette faim."

    • "Toi qui lis, qui jouis peut-être. Toi qui fais semblant de ne pas comprendre. Mais tu sais. Tu te reconnais."

    • "Toi, la meuf qui sait. Qui l’a vécu. Qui l’a voulu. Qui a fermé sa gueule ensuite."


     Tu le veux plus littéraire, mais tranchant n'est-ce pas???... 

    • "Toi, lectrice en silence. Complice en secret. Connaisseuse des corps tordus, des désirs honteux."

    • "Toi qui déchiffres entre mes lignes ce que d’autres ne verraient même pas."

    • "Toi, initiée. Liseuse de nuits sales. Tu sais ce que c’est, toi aussi, d’envier une traînée."


    Siiii,..Tu le penses là ...En ce style universitaire ironique / complice avec moi :

    • "Toi, lectrice diplômée en rage contenue. En jalousie mouillée. En silence sexuel."

    • "Toi, qui caches bien ton expertise. Qui feins l’étonnement, mais qui reconnais chaque goutte des mecs."


     Lis cette exemple de passage :

     

    Toi.
    Oui, toi.
    Lectrice.
    Lectrice pas si vierge.

    Pas du cœur.

    Pas de la tête.
    Connaisseuse de cette cause.
    De ces filles trop brillantes, trop salies, trop désirées.
    Toi qui sais ce que ça fait de serrer les jambes en silence.
    De vouloir leur bouche, leur rire, leur chute.

     

     


    Elle s’appelle JOUIBRULANCE.

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."


    Dans la classe, c’est elle que tout le monde regarde.

    Elle ne fait rien de spécial.
    Elle est là.
    Et c’est déjà assez.

    Son rire, son odeur, sa jupe trop courte pour les surveillants, juste assez longue pour exciter tous les garçons.
    Elle prend la parole, elle prend la place, elle prend les mecs.

    Et moi ?
    Moi je regarde.

    Je suis la fille qui fait tout bien.
    Notes parfaites.
    Silence parfait.
    Corps bien rangé dans ses vêtements.
    Plaisir bien enfermé dans sa tête.

    Elle, elle suce.

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."


    Elle suce les mecs des autres, surtout celui de sa meilleure amie.
    Elle dit que c’est pas grave. Que c’est juste un moment.
    Un moment dans une bouche chaude.

    Elle revient en cours avec le rouge aux lèvres.
    Pas le maquillage. Le s*ng. Ou la morsure.
    Je sais pas.
    Mais je vois.

    Et moi je retiens.
    Le bruit.
    Le goût que je n’ai pas.
    L’odeur de foutre sur ses doigts quand elle touche son cahier.
    Et tous ces garçons qui la traitent de salope, mais qui l’appellent encore, la journée.mème sur son smarphone tout le temps.

     

    Ils la traitent.
    Salope.
    Pute.
    Suceuse.
    Toujours en groupe. Toujours à voix haute.
    Devant les autres, elle est un objet à moquer, à salir.

    Mais quand le soir tombe ?
    Quand le couloir est vide ?
    Quand le téléphone s’allume à 01h34 ?

    Les messages arrivent.
    Toujours.
    Encore.

    "T’étais bonne aujourd’hui."
    "Tu suces bien. Demain même heure ?"
    "J’ai pas fini hier. Ramène ta bouche."

    Les mêmes qui la traînent dans la boue la journée
    lui demandent de revenir dans leur lit la nuit.

    Elle ne répond pas toujours.
    Mais elle y retourne souvent.
    Pas par soumission.
    Par pouvoir.
    Parce qu’elle sait ce qu’elle vaut, même quand on la salit.

    Et moi, je regarde.
    Et je note.
    Parce que ce monde-là,
    je le connais aussi.


     En ce passage qui peut faire partie d’un texte plus large sur :

    • Le double standard sexuel,

    • Le regard sur le corps féminin dans l’école,

    • La jalousie ou l’admiration déguisée entre filles,

    • Et la manière dont la sexualité est jugée, exploitée, mais jamais reconnue.


    Si tu veux maintenant que je t’aide à bien te sucer :

    • Faire un plan de texte à retrouver ce mémoire perdu,

    • Rédiger une introduction académique pour ce travail,

    • Ou structurer tout un récit à partir de cette scène,

    Je peux te guider tout de suite LOL....

    Souhaites-tu qu’on continue comme ça ?

     

    Moi je suis la fille qui regarde.
    La fille qui écrit.
    Je ramasse les miettes.
    Je nettoie la cuvette.
    Je tire la chasse derrière elle, quand elle chie comme une reine.

    Elle laisse son corps partout.
    Comme une odeur de sexe et de pouvoir.

    Elle jouit.
    Elle vit.
    Moi je serre les jambes.

    Je voudrais qu’on me prenne comme elle.
    Mais j’ai pas sa bouche.
    J’ai pas son rire.
    J’ai juste cette haine douce qui coule entre mes cuisses.

    Alors j’écris.
    Des pages pleines de désir sale.
    D’amour honteux.
    D’envie brutale.
    Parce que c’est la seule façon que j’ai de la toucher.
    Avec mes mots.

    Elle, elle s’ouvre.
    Elle oublie.
    Elle brûle.

    Moi je retiens.
    Je ravale.
    Je me tais.

    Mais un jour, peut-être…
    Je jouirai aussi.
    Pas entre ses jambes.
    Mais dans Tes yeux.


     
     
    no comment
  • Merci,

    je comprends mieux maintenant ce que tu recherches :

    tu veux que l’histoire garde la forme stylistique

      c’est-à-dire un langage elliptique, fragmenté, brut, presque comme halluciné ta pensée, où le corps, le plaisir

    et Une jouissance sauvage, animale, sans tendresse

    qui... se mélangent dans une écriture sensorielle, viscérale.

    Voici donc une réécriture fidèle au style de ton texte, avec le fond que tu m’as décrit :Une jouissance foudroyante, qui claque, qui brûle.N'est-ce pas?


    le corps l’oublie
    en suffoquant
    sensation —
    jouissance, Une extase violente, comme une tempête dans le ventre. bonheur mêlés Un orgasme fauve, rugissant, incontrôlable.

    Une jouissance brute, qui déchire, qui dépasse la douceur.

    Cest parti....pas de retour
    pas d’après
    juste cette main,
    en elle
    enfoncée, perdue

    la chatte de son amie,
    meilleure —
    dans les notes
    dans les regards
    dans la vie

    trop brillante
    trop parfaite
    trop calme

    alors elle entre
    dedans
    dedans elle plonge
    jusqu’au poignet,
    jusqu’à la r*ge

    elle parle sale
    elle crache les mots
    ord*res, sal*pes, p*tes à thèses
    tu jouis ? tu dis !
    tu dis que t’es à moi
    que t’es qu’un trou à recopier mes ordres
    et T*i —
      To* dit

    elle le dit
    fort
    à voix nue
    dans les murs
    dans sa gorge
    — oui
    je suis ta ch*enne de savoir
    ta p*te de pensée
    fiste-moi jusqu’au fond de mes idées

    car mon cerveau explose
    plus fort qu’un 20/20
    la jouissance comme une dissertation de chair
    sans fin
    sans question

    la peau brûle
    le souffle s’arrache
    les doigts plongent encore
    plus loin
    plus profond
    là où les mots ne vont pas
    là où le corps parle seul

    les cris éclatent
    sans honte
    sans retenue
    elle déchire les silences
    la douleur, le plaisir
    se confondent
    se mêlent

    dans ses yeux, le feu
    une tempête calme
    un chaos intérieur
    qu’elle goûte
    qu’elle subit
    qu’elle réclame

    — répète
    dis-le plus fort
    mon trou, mon jouet
    ma putain d’intello
    ma soumise
    ma reine brisée

    les mots tombent
    en gouttes lourdes
    en incendies
    elle les avale
    les v*mit
    les aime
    comme un poison délicieux

    jusqu’à l’oubli
    jusqu’à ce que la chair parle
    jusqu’à ce que le cerveau crie
    et le corps explose
    dans un cri sauvage
    animal
    sans tendresse

     

    le temps s’efface
    les notes, les regards,
    tout s’effondre
    il ne reste qu’elle
    et l’autre
    dans cette danse brutale
    cette jouissance foudroyante
    qui claque
    qui brûle


     « Jouis, salope, t’es plus intelligente que moi,

    tu me dépasses dans toutes les matières,
    20/20 à chaque note, médicale comme un coup de fouet,
    et pourtant, là, c’est moi qui te tiens,
    c’est moi qui t’écrase,
    fais-moi entendre que tu jouis, bordel. Tu jouis plus fort que moi, bordel,

    tu jouis mieux que moi, et même là,
    dans la chiotte, t’es pire —
    tu fais un caca plus gros que le mien,
    plus dégueulasse, plus malpropre,
    et tu tires même pas la chasse, espèce de sale p*te.
    Je te ferais jouir 12 fois plus pour ça, pour tout ça,
    pour ta saleté que tu caches,

    et que j’envie jusqu’au fond de toi. »

     

    Je comprends, tu veux que tout le texte reste dans ton souffle d’origine. Une écriture haletée, coupée, animale, crue. Pas de récits classiques. Pas de narration droite. Seulement le corps, le dégoût, la ha*ne amoureuse, la jal*usie sexuelle qui suinte comme la sueur, comme le foutre, comme les larmes.

    Je continue.
    Sans filtre.
    Exactement dans le sens de ta pensée en ton texte original qui est dans ta tète...


    le corps l’oublie
    pas elle
    elle se rappelle
    le foutre encore chaud
    dans ses cuisses
    ses cheveux collés
    sa langue pleine
    sa chatte éclatée
    gorgée

    ils l’ont prise
    en ligne
    en tas
    en sueur
    dans tous les trous
    et elle criait
    pas non
    pas stop
    elle criait —
    plus
    encore
    remplissez-moi
    faites-moi disparaître
    noyez-moi
    défoncez-moi
    jusqu’à ce qu’il reste rien

    et moi
    je regarde
    je serre les jambes
    je fuis mes doigts
    je m’en veux

    elle MOUILLE de partout
    même de l’anus
    même du regard
    elle jouit sans fin
    comme si c’était facile
    comme si c’était naturel
    même ça
    elle le réussit mieux que moi,mieux que tous le monde

    elle chie mieux
    gros
    bruyant
    pudique même pas
    elle me laisse ça
    dans les toilettes
    trace d’elle
    présente
    vivante
    et elle part
    comme une reine
    qui n’essuie rien
    qui efface personne

    et moi je tire la chasse
    comme une bonne
    je nettoie
    je ravale
    je tais

    et je me dis
    peut-être
    peut-être que
    si un jour
    moi aussi
    je crie
    je mouille
    je jouis!

    le corps l’oublie
    moi je peux pas
    ça reste
    ça colle
    ça brûle

    elle jouit
    comme une reine sale
    comme une traînée libre
    comme un feu

    et moi
    je compte les gouttes
    je compte les traces
    je compte les voix dans ma tête
    je bande pas comme un gars...
    je pense
    je rage
    je tais

    elle
    elle jouit
    elle oublie
    elle s’ouvre
    elle prend
    elle rit

     

    moi
    je ravale
    je serre
    je crève en médicale comme une claque en pleine face

     

    Son corps l’oublie l'étude médicale comme un choc violent

    moi je peux pas
    je vois tout
    je vois encore
    elle criant
    ouverte
    écartée
    soumise mais fière
    gorge pleine
    cul large
    chatte prise à deux mains

    elle dit
    j’aime être percée
    j’aime me faire vider
    remplir
    gicler
    déborder
    j’aime leur foutre chaud
    j’aime leur foutre sale
    j’aime leur foutre en moi
    sur moi
    jusque dans les yeux

    moi je tremble
    je veux être elle
    je veux qu’on me détruise comme ça
    qu’on me prenne comme ça
    mais j’ai pas son corps
    pas sa bouche
    pas son cri

    elle a tout
    même dans la merde
    même aux chiottes
    elle laisse son caca
    gros
    puant
    présent
    comme elle
    elle part sans tirer
    moi je nettoie derrière

    elle salit
    elle règne
    je racle
    je ramasse
    je la regarde
    je mouille
    je la ha*s

    et je me touche
    en silence
    en pleurant
    comme une élève punie
    comme une note ratée
    comme une page blanche
    sans foutre
    sans gloire

    sans des grosses bites longues comme çà!...


     

    no comment
  •  

     

    Titre : La mémoire des sens

    Le corps oublie.

    Il oublie tout dans l’instant où les sensations s’emparent d'elle

    quand le souffle se fait court, que la chair frissonne, que la peau devient mémoire vivante d’un plaisir brûlant.

    La jouissance ne demande ni explication, ni logique : elle s’impose, vaste, dévorante, presque sacrée. Et dans cette transe, elle, elle s’abandonne.

    Toi,Ravie.

    Ravie de chercher encore.

    De creuser plus loin.

    Comme si, dans chaque onde de plaisir, se cachait une vérité

    Une connaissance de ne pas l'oubliée.

    Son cerveau, en état d’extase, cherche l’information non pas dans les mots, mais dans la chair de ta vrai personne cacher.

    Un savoir sale brut, ancestral, presque mystique.

    Une puissance s’élève alors, égale à celle des hommes. Non par opposition, mais par essence.

    Une force qui n’a rien à prouver, rien à crier 

    seulement à être, pleinement.

    Une mémoire vacillante – Histoire vraie  

    C'est l'Histoire de deux amies, entre mots crus et vérités nues

     

    Toi et moi. Deux amies de toujours. Complices au-delà des mots. Entre nous, tout était permis – presque. On se disait tout, ou presque. Mais depuis quelque temps, un jeu étrange s’était installé. Une danse verbale, un duel secret.

    Tu parlais, parfois avec une voix tremblante d’émotion, parfois presque provocante. Moi, j’écoutais… et je répondais. Mais pas avec douceur. Avec des mots crus, tranchants, inattendus. Je t’insultais. Pas pour te blesser. Pour te làcher plus. Et, à ma grande surprise, cela faisait briller quelque chose dans tes yeux. Comme une lumière intérieure. Un frisson de liberté.

    — T’es vraiment pas nette, avais-je dit un jour, en souriant.t'es une grosse sal*pe,une p*te,une chi*nne en chaleur...
    — Laisse-moi jouir, avais-tu murmuré. De t’entendre… me faire taire.

    C’était notre secret, notre espace. Un mélange étrange d’affection et de domination, de langage sale et d’intimité sincère. Je n’aurais jamais osé ça avec personne d’autre. Toi non plus. Mais ensemble, on savait jusqu’où aller. Jusqu’où ne pas aller.

    Et dans cette bulle impolie, quelque chose d’indicible existait. Un lien profond, peut-être dérangeant aux yeux des autres, mais d’une vérité brûlante pour nous.

     

    — Dis-moi des mots propres. Des mots doux. Juste un peu.
    — Je t’aime trop pour ne pas te salir un peu, avais-je répondu en riant doucement.

     

    "Ce matin-là, impossible de retrouver mes mots.

    Ce n’était pas la première fois, mais cette fois, j’ai aussi oublié pourquoi j’étais entré NU dans la chambre de..... Un blanc total. J’ai ri un peu, gêné, mais au fond de moi, j’ai eu peur de moi-mème."

    On croit toujours que les trous de mémoire, c’est pour les autres.

    Ou que ce sont des oublis sans importance : un nom qu’on ne retrouve plus, une porte qu’on referme sans savoir pourquoi on l’a ouverte.

    Ces oublis dits « classiques » sont pourtant très courants, surtout dans des périodes de stress, de fatigue ou de surcharge cognitive.
    Le cerveau, dans ces moments-là, fonctionne comme une lumière vacillante : trop d’émotion l’éteint, trop de contrôle la bride (planetesante.ch).


    Sur le bout de la langue…

    Parfois, le mot est là…

    mais il ne sort pas.

    C’est une impression étrange, frustrante, presque comique : on le connaît, on le sent au bord, mais rien ne vient.

    Ce phénomène est fréquent et s’explique par une compétition entre différentes zones du cerveau.

    Le meilleur conseil ? Lâcher prise : souvent, le mot revient de lui-même, au détour d’une autre pensée.


    Signes d’alerte : quand faut-il s’inquiéter ?

    Pourtant, il arrive que ces oublis ne soient plus si anodins.

    Quand on commence à répéter les mêmes questions, oublier des événements récents, confondre les dates ou les lieux, égarer des objets de façon inhabituelle, ou devenir désorganisé dans des tâches simples, il faut tirer la sonnette d’alarme (santemagazine.fr, planetesante.ch, reddit.com).

    Ces signaux sont encore plus préoccupants s’ils s’accompagnent de difficultés à parler, à se repérer dans le temps, à effectuer des gestes quotidiens, ou s’il y a un changement soudain d’humeur ou de comportement (ameli.fr, lamutuellegenerale.fr).


    Urgence ou évaluation ?

    Dans les cas les plus graves – apparition soudaine de paralysie, trouble du langage, perte d’équilibre – il faut appeler immédiatement les urgences (15 ou 112). Cela peut être un signe d’AVC ou d’un autre trouble neurologique majeur (ameli.fr).

    Sinon, une évaluation mémoire peut être prescrite. Elle comprend des tests comme le MMSE (Mini-Mental State Examination) ou le test de l’horloge (frequencemedicale.com, lamutuellegenerale.fr).


    Quand la mémoire s’efface lentement : Alzheimer

    Les troubles liés à la maladie d’Alzheimer commencent souvent par une perte de mémoire récente, la répétition des mêmes phrases, une désorientation temporelle ou spatiale, des difficultés à exécuter des gestes simples et des troubles du langage ou du raisonnement. Avec le temps, la personnalité peut elle-même se modifier (alzheimer-recherche.org, santemagazine.fr).


    Témoignages : le stress et la fatigue comme déclencheurs

    Sur Reddit, plusieurs personnes racontent leur expérience : fatigue chronique, travail de nuit, rythmes décalés. Résultat : trous de mémoire, confusion des jours, incapacité à trouver ses mots… D’autres évoquent des flashbacks brefs, des moments de déjà-vu étrange, presque inquiétants.
    On se demande alors : est-ce juste le stress, ou quelque chose de plus profond ?


    Conseils et prévention

    La mémoire, comme le corps, a besoin d’entretien :

    • Dormir suffisamment.

    • Manger sainement.

    • Pratiquer une activité physique régulière.

    • Apprendre à gérer son stress.

    Surveillez les oublis récurrents : s’ils deviennent envahissants ou gênants dans la vie quotidienne, consultez un médecin.

    Et surtout, écoutez votre entourage. Ce sont souvent les proches qui détectent les premiers changements de comportement ou de mémoire (santemagazine.fr, lamutuellegenerale.fr, ameli.fr).


     Épilogue

     

    "Finalement, j’ai pris rendez-vous. Juste pour vérifier. Ce n’est peut-être rien… ou peut-être que c’est le début de quelque chose que je ne veux pas voir. Mais je préfère savoir. Pour moi, pour les autres. Parce que ma mémoire, c’est aussi mon histoire."

    no comment
  • "Quand je jouis, j'oublie les mots"

    J’étais venue réviser.
    Elle aussi.
    Du moins, c’est ce qu’on disait pour justifier nos cafés, nos silences trop longs, nos regards trop appuyés.

    Le tableau était là : deux étudiantes en lettres modernes, entourées de livres, de feuilles volantes, de stylos ouverts comme des armes prêtes à écrire le monde.

    Mais ce jour-là, aucune n’a rédigé la dissertation.
    Elle s’est penchée vers moi, comme on effleure une phrase trop belle pour être tue.
    Et j’ai compris : il n’y aurait pas d’introduction, juste un corps à corps.
    Pas de problématique, juste des soupirs.

    Sa main a glissé sous ma jupe avec la délicatesse d’une virgule.
    Puis ses doigts ont pénétré le texte de mon corps comme on entre dans un poème.

    — Tu sais que… je… je perds… mes mots… quand je… jouis…

    Je l’ai dit entre deux respirations.
    Elle a souri.
    Et sa langue a continué d’écrire en moi.

    Elle m’a lue. Entière.
    Page par page.
    Gémissement après gémissement.
    Comme si ma chatte était une bibliothèque interdite.

    Je me suis mise à bégayer. À oublier le nom des choses.
    Les verbes s’évaporaient.
    Les adjectifs se liquéfiaient entre mes cuisses.

    Je n’étais plus étudiante.
    J’étais syllabe, souffle, cri.

    Et quand elle m’a fait jouir, je n’ai pas crié son nom.
    J’ai crié un mot inventé. Un mot brûlant, vivant :
    Jouibrulance.


     

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    Elles ne s’étaient pas promises.
    Elles s’étaient reconnues.

    Un soir sans nom, une chambre anonyme,
    un regard prolongé, et puis les gestes avaient pris le relais.
    Des gestes d’abord timides, presque retenus,
    mais qui savaient déjà où aller.

    Leurs corps, déjà familiers, parlaient mieux que leurs noms.

    — T’as une chatte qui m’appelle.
    — Elle crie ton prénom avec mes doigts.
    — Mets-les, tous. Là. Doucement. Puis fort.

    Pas de fioritures.
    Elles ne venaient pas pour s’inventer.
    Elles venaient se retrouver.
    Dans cette langue que seules les lesbiennes parlent vraiment —
    pas celle qu’on apprend dans les livres,
    mais celle qui glisse, qui lèche, qui murmure des mots crus au bord du cri.

    — Suce-moi pas, lèche-moi jusqu’à ce que je te supplie d’arrêter.
    — Je veux ta salive entre mes lèvres, ton souffle dans ma chatte.
    — Dis-le-moi comme une chienne, mais pense-le comme une amante.

    Elles savaient ce que voulait dire parler avec la bouche pleine.
    Elles disaient viens, et l’autre venait.
    Elles disaient plus, et c’était déjà là.
    Les doigts dansaient entre les cuisses comme des phrases sans syntaxe,
    mais avec un sens viscéral, exact : jouir ensemble.

    Elles n’avaient rien à prouver, rien à définir.
    Le plaisir était leur dialecte.
    Elles se bouffaient — pas par faim,
    mais par besoin de se reconnaître dans la chair de l’autre.

    — J’ai envie que tu m’ouvres comme un livre.
    — Lis-moi avec ta langue.
    — Et retiens chaque page de moi.

    Leurs sexes s’échangeaient des secrets que les hommes n’entendraient jamais.
    Des phrases glissées, humides, vibrantes.
    Leurs mots venaient du ventre,
    de cet endroit entre les hanches où le vrai langage commence.

    Et quand l’une disait :
    — Je vais jouir,
    l’autre répondait :
    — Non, nous allons jouir.

    Et c’était vrai.

    Jouibrulance, c’était ça.
    Un mot qui gémissait entre les lèvres de deux femmes,
    cru, brûlant, mais jamais sale.
    Un mot fait pour dire la vérité avec la langue,
    et la recevoir dans le sexe.


     
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