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By CHANJOUISSON in Home on 9 June 2025 à 19:58
Le Livre des Âges : des années, des siècles, et le futur qui s’enchaîne en (suite)
Le Livre des Phantasmes
Dans un pays oublié, à la frontière entre rêve et réalité, circulait une rumeur étrange. On parlait d’un livre interdit, connu sous le nom du Livre des Phantasmes. On disait qu’il était “violé” — brisé, malmené par des forces invisibles — et que quiconque osait le lire ne le faisait pas sans conséquence.
Un après-midi, poussé par une ruelle, par la curiosité d’une foule plus forte dans un style de brocante de livres que par la peur de la foule qui se bouscule pour rechercher un livre apprécié, car il y en avait tellement de bouquins, tu découvris ce livre dans un lieu que personne ne voulait toucher ni nommer, car c’est un vieux lieu tout décomposé, avec sa couverture recouverte en style vieux écaille de poisson marron, ce livre délavé dans un recoin oublié.
Tu le vois, tu le saisis et tu le touches entre deux mains pour revivre ce monde oublié... Le livre vibrait dans tes mains, comme s’il respirait, son papier frémissant sous tes doigts. À chaque page tournée, l’air autour de toi semblait se charger d’une énergie étrange, une vibration qui résonnait jusqu’au fond de ton être.
Tu dis à la vieille vendeuse très, très âgée : « C’est combien ? » Elle te donne un prix cadeau,Car elle te trouvait captivé par ce livre que plus personne ne remarquait, au cœur de cette foule immense.
Le cœur battant de rentrer à son domicile, elle déposa ce livre sur la table basse de sa chambre, se déshabilla, puis entra dans sa petite salle de bain qui avait uniquement une douche suspendue, sans baignoire, pour aller prendre une douche.
Elle revint, s'essuya, puis attacha sa chevelure avec une serviette. Ensuite, elle mit sa robe de chambre rose, marcha, ouvrit son petit frigo dans sa chambre, prit une canette et but une boisson fraîche.
Puis elle regarda la table basse, et elle vit un bouquin qui n’était pas celui qui s’y trouvait auparavant, car il avait changé de texture de couverture, devenu brillant, portant maintenant un titre : Jouibrulance.Tu te retrouvais alors projeté dans une scène à la fois familière et étrange, un paysage où le nom semblait intriguer, étrange et pourtant familier. Les ombres et la lumière capturaient un reflet mouvant sur ton visage, dans tes yeux en mouvement, comme des éclats de lumière où le temps semblait suspendu, semblable à une pendule oscillant doucement. Là, au cœur de cet espace phantasmatique, tu comprenais que le livre n’était pas simplement un objet à écouter comme une pendule — c’était un pont d’écoute, un lien où se transféraient pensées et souvenirs.
Elle commença à lire, puis un jour arriva où le livre déclencha son mystère.
Peu à peu, tu réalisais que ce livre t’accompagnait partout, qu’il était devenu une présence constante, presque une partie de toi-même. Tu ne pouvais plus te défaire de sa vibration, ni de ce murmure sourd qui t’incitait à chercher, encore et encore, la vérité cachée entre ses pages troublées.
Mais que voulais-tu vraiment demander, à ce livre transféré ? Et à qui appartenait cette voix qui murmurait toujours, à tes côtés ?
Mais que voulais-tu vraiment demander à ce livre transféré ? Que cherches-tu à savoir dans ce livre ? Et à qui appartenait cette voix qui murmurait toujours à tes côtés ?
C’est une très belle question que tu te poses…
On dirait que tu évoques un dialogue intime entre toi et un livre, où le livre devient une sorte de témoin, un confident.Peut-être que ce que tu voulais vraiment demander au livre, c’était qui, derrière ce nom JOUIBRULANCE, t’offre une vérité cachée, une réponse à une question profonde qui te tourmentait.
Quelque chose que seule cette voix mystérieuse, toujours présente en toi, pouvait te murmurer à voix basse — une voix que toi seule connais, comme une part de ton propre esprit ou un secret enfoui dans ta mémoire.Et cette voix, à qui appartenait-elle ?
Peut-être était-ce une part de la mémoire du livre, ou la tienne, un écho du passé, un souvenir vivant, ou même l’incarnation de tes doutes et de tes espoirs intérieurs.Dis-moi, que penses-tu de cette voix ? Qui serait-elle, selon toi ?
Qui sait ce qu’est cette JOUIBRULANCE ???Tu ressens un frisson, léger mais perçant, comme si l'air lui-même portait un message. Le sol se dérobe, non pas brusquement, mais comme une mémoire qui s'efface sous tes pas. Autour de toi, les ombres s'étirent, ondulent, prennent forme et murmure. Ce lieu n’est pas fait de pierre ni de terre — c’est un interstice, un entre-deux mondes, une faille dans la trame du réel.
Une voix s’élève, ou peut-être est-elle là depuis toujours. Elle est faite de vent, de poussière, de temps. Elle ne t’appelle pas par ton nom tel que tu le connais, mais par un code plus ancien, gravé dans les silences entre les battements de ton cœur. Elle dit :
"Tu as trouvé la clé. Ton nom. Ton prénom. Ta date de naissance. Ce n’est pas une simple identité. C’est une formule. Un sceau. Une vibration unique dans le chant du monde."
Les pages invisibles s’ouvrent devant toi — non pas des pages d’un livre, mais des fragments suspendus dans l’air, brillants d’une lumière pâle. Elles ne s’écrivent qu’en présence de ceux qui osent regarder. C’est là que dorment les secrets oubliés :
– des vérités interdites
– des promesses trahies
– et des pouvoirs scellésSouhaites-tu les lire ?
Donne-moi ton nom, prénom, et date de naissance — et je te révélerai ce qui sommeille dans les lignes cachées de ton destin.Souhaites-tu continuer ?
T'as dis???... :
SALOPE tu as dit que tu étais une pute et que tu allais me montrer ce que ça voulait dire, et maintenant tu me fais bander avec tes mots sales.
T'es dis ça, ça te fais jouir d'ouvrir ce bouquin étrange ? Ça t'excite de lire des trucs aussi cochons ,cchnne comme toi?
Tu veux que je te parle comme ça, hein ? Alors, écoute-moi bien, ma voix tu es excites avec mes mots sales et tes pensées cochonnes.
Alors, ça te fait jouir ce bouquin étrange, ou c'est juste une façon de parler ?
T'as dit ça, ça te fait jouir ce bouquin étrange" ?
T'as dit ça, ça te fait jouir ce bouquin étrange" ou plus crûment "Ça te fait mouiller ce putain de livre bizarre" ?
MOI BIZARRE JOUIBRULANCE ?
La lectrice, derrière son écran, te regarde avec un sourire en coin et balance : “C’est quoi ce bouquin qui te fait jouir comme ça ? Un truc bien chaud ? Un roman érotique ? Ou juste un de ces textes qui te fait bander sans prévenir ?” »
La lectrice, yeux plissés derrière son écran, te fixe un instant, intriguée. Puis elle lâche, mi-amusée, mi-provocante :
« C’est quoi, ce bouquin ? Qu’est-ce qu’il y a là-dedans pour te faire réagir comme ça ? C’est chaud ? Érotique ? Ou c’est juste un de ces textes qui savent exactement où appuyer ? »Quel est ce texte important que tu as oublié, dis-moi,montre-moi, je suis là pour t'aider à te rappeler, ou peut-être pour te faire oublier tout autre chose...Haha, tu sembles très enthousiaste !
Tu parles d’un livre en particulier ? Quel est le titre ou le sujet de ce « bouquin étrange » qui te fait tant réagir ? Je suis curieux !"TAS DIS CA TE FAIS JOUIIIIIR CE BOUQUIN ETRANGE"
C’est intense comme formulation
Tu parles d’un livre qui t’a marqué ou qui t’a semblé vraiment bizarre ? Dis-m’en plus : c’est un roman, un essai, de la SF, de l’horreur ? Je peux t’aider à en parler ou à mieux le comprendre ce que t'as lu si tu veux !
T'as dis : "T'as dis ça, te fais jouir ce bouquin étrange" ? Qu'est-ce que ça veut dire, tu te fais jouir avec des livres ou c'est juste une façon de parler ?
Pendant que JOUIBRULANCE me parlait avec férocité, une femme de ton âge — toi, la lectrice — lui balance : « T’es qu’une pute », et elle lui répond avec un sourire vicieuse : « Oui, et je vais te montrer ce que ça veut dire. Et puis elle se jette sur lui, les lèvres entrouvertes, prête à lui montrer ce que signifie être une vraie pute....En ce livre, je vois une histoire de sexe et de pouvoir, où les personnages sont prêts à tout pour satisfaire leurs désirs les plus obscurs.»
Tu avances dans ce labyrinthe d’époques. D’abord,la Renaissance... curieuse — un jardin baigné de lumière dorée, le rire léger d’un frère, l’odeur du pain frais. Puis l’Antiquité — les voix puissantes des orateurs, le cliquetis des armures, les murmures des dieux dans les temples. Ensuite, la terre sauvage des premiers hommes, leurs pas lourds sur la terre nue, le feu crépitant sous les étoiles immuables.
Chaque scène t’emplit d’émotions, de souvenirs qui ne sont pas tous les tiens, comme si le livre t’empruntait des fragments d’âmes dispersées dans le temps. Et pourtant, à mesure que tu avances, tu sens ton propre passé s’effacer, menaçant de se dissoudre à jamais dans ce flot incessant.
Soudain, une voix claire, plus proche, t’appelle : « Trouve le dernier mot. »
Tu cherches, fouilles chaque page, chaque image, chaque silence entre les lignes. Puis, au cœur d’une obscurité éclatante, tu découvres une phrase inachevée, un espace vide où devrait s’inscrire le dernier mot.
Tu comprends que ce mot n’est pas écrit. Il doit venir de toi.
Tu fermes les yeux, cherches au plus profond de toi, de ce que tu es, de ce que tu as vécu, de ce que tu rêves d’être. Et alors, un mot jaillit — un mot simple, mais chargé de tout le sens : « Retour ».
Tu le prononces à voix basse, et le livre se referme doucement. Le monde autour de toi bascule, tourbillonne, puis s’apaise.
Tu te retrouves dans la librairie, le livre posé devant toi, silencieux et clos.
Tu sais maintenant que ce livre est une passerelle entre les temps, mais que le voyage le plus important reste celui vers soi-même.
no comment
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By CHANJOUISSON in Home on 9 June 2025 à 19:52
Le Livre des Âges (suite)
Tu ressens un frisson. Le sol sous tes pieds se dérobe, les ombres dansent autour de toi, et une voix murmure, indistincte, entre le souffle du vent et le crépitement du temps lui-même. Elle te guide, t’invite à parcourir les pages invisibles, celles où se cachent les secrets oubliés.
Tu avances dans ce labyrinthe d’époques. D’abord, l’enfance — un jardin baigné de lumière dorée, le rire léger d’un frère, l’odeur du pain frais. Puis l’Antiquité — les voix puissantes des orateurs, le cliquetis des armures, les murmures des dieux dans les temples. Ensuite, la terre sauvage des premiers hommes, leurs pas lourds sur la terre nue, le feu crépitant sous les étoiles immuables.
Chaque scène t’emplit d’émotions, de souvenirs qui ne sont pas tous les tiens, comme si le livre t’empruntait des fragments d’âmes dispersées dans le temps. Et pourtant, à mesure que tu avances, tu sens ton propre passé s’effacer, menaçant de se dissoudre à jamais dans ce flot incessant.
Soudain, une voix claire, plus proche, t’appelle : « Trouve le dernier mot. »
Tu cherches, fouilles chaque page, chaque image, chaque silence entre les lignes. Puis, au cœur d’une obscurité éclatante, tu découvres une phrase inachevée, un espace vide où devrait s’inscrire le dernier mot.
Tu comprends que ce mot n’est pas écrit. Il doit venir de toi.
Tu fermes les yeux, cherches au plus profond de toi, de ce que tu es, de ce que tu as vécu, de ce que tu rêves d’être. Et alors, un mot jaillit — un mot simple, mais chargé de tout le sens : « Retour ».
Tu le prononces à voix basse, et le livre se referme doucement. Le monde autour de toi bascule, tourbillonne, puis s’apaise.
Tu te retrouves dans la librairie, le livre posé devant toi, silencieux et clos.
Tu sais maintenant que ce livre est une passerelle entre les temps, mais que le voyage le plus important reste celui vers soi-même.
no comment
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By CHANJOUISSON in Home on 9 June 2025 à 19:42
Le Livre des Phantasmes
Dans un village oublié, à la frontière entre rêve et réalité, circulait une rumeur étrange. On parlait d’un livre interdit, connu sous le nom du Livre des Phantasmes. On disait qu’il était “violé” — brisé, malmené par des forces invisibles — et que quiconque osait le lire ne le faisait pas sans conséquence.
Un soir, poussé par une curiosité plus forte que la peur, tu découvris ce livre dans un lieu que personne ne voulait nommer, un recoin oublié entre deux mondes. Le livre vibrait dans tes mains, comme s’il respirait, son papier frémissant sous tes doigts. À chaque page tournée, l’air autour de toi semblait se charger d’une énergie étrange, une vibration qui résonnait jusqu’au fond de ton être.
Le Livre des Âges (suite)
Tu ressens un frisson. Le sol sous tes pieds se dérobe, les ombres dansent autour de toi, et une voix murmure, indistincte, entre le souffle du vent et le crépitement du temps lui-même. Elle te guide, t’invite à parcourir les pages invisibles, celles où se cachent les secrets oubliés.
Tu avances dans ce labyrinthe d’époques. D’abord, l’enfance — un jardin baigné de lumière dorée, le rire léger d’un frère, l’odeur du pain frais. Puis l’Antiquité — les voix puissantes des orateurs, le cliquetis des armures, les murmures des dieux dans les temples. Ensuite, la terre sauvage des premiers hommes, leurs pas lourds sur la terre nue, le feu crépitant sous les étoiles immuables.
Chaque scène t’emplit d’émotions, de souvenirs qui ne sont pas tous les tiens, comme si le livre t’empruntait des fragments d’âmes dispersées dans le temps. Et pourtant, à mesure que tu avances, tu sens ton propre passé s’effacer, menaçant de se dissoudre à jamais dans ce flot incessant.
Soudain, une voix claire, plus proche, t’appelle : « Trouve le dernier mot. »
Tu cherches, fouilles chaque page, chaque image, chaque silence entre les lignes. Puis, au cœur d’une obscurité éclatante, tu découvres une phrase inachevée, un espace vide où devrait s’inscrire le dernier mot.
Tu comprends que ce mot n’est pas écrit. Il doit venir de toi.
Tu fermes les yeux, cherches au plus profond de toi, de ce que tu es, de ce que tu as vécu, de ce que tu rêves d’être. Et alors, un mot jaillit — un mot simple, mais chargé de tout le sens : « Retour ».
Tu le prononces à voix basse, et le livre se referme doucement. Le monde autour de toi bascule, tourbillonne, puis s’apaise.
Tu te retrouves dans la librairie, le livre posé devant toi, silencieux et clos.
Tu sais maintenant que ce livre est une passerelle entre les temps, mais que le voyage le plus important reste celui vers soi-même.
Tu te retrouvais alors projeté dans une scène à la fois familière et étrangère, un paysage fait d’ombres mouvantes et de lumières incertaines, où le temps semblait suspendu. Là, au milieu de cet espace phantasmatique, tu comprenais que le livre n’était pas simplement un objet — c’était un pont, un transfert d’âmes et de souvenirs.
Peu à peu, tu réalisais que ce livre t’accompagnait partout, qu’il était devenu une présence constante, presque une partie de toi-même. Tu ne pouvais plus te défaire de sa vibration, ni de ce murmure sourd qui t’incitait à chercher, encore et encore, la vérité cachée entre ses pages troublées.
Mais que voulais-tu vraiment demander, à ce livre transféré ? Et à qui appartenait cette voix qui murmurait toujours, à tes côtés ?
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By CHANJOUISSON in Home on 9 June 2025 à 16:37
"Tout le monde veut D’Elle-Même"Elle ne te regarde pas.
Son épaule gauche cache son visage.
Calme.
Sans sourciller.
Comme si elle ne voyait même pas que tu es là.Et elle dit, d’une voix égale :
« Mon anus n’est pas à prendre. C’est pour le mariage. »
Un silence tombe.
Ce n’est pas une blague.
Ce n’est pas une excuse.
C’est une ligne rouge.Puis, plus bas — à peine un souffle — comme si elle ne s’adressait plus qu’à elle-même :
« Si tu veux franchir une porte, commence déjà par demander si elle est la tienne.
Spoiler : non. »Elle était entrée dans la salle comme une tempête silencieuse.
On l’appelait D’Elle-Même.
Parce qu’elle n’appartenait à personne — pour le moment.
Parce qu’elle avait choisi de se construire seule.Car elle disait aux hommes :
“D’Elle-Même est faite pour sortir,
pas pour qu’on y entre sans permission,
sans pardon.”Mais ce nom-là…
Ce nom attisait toutes les convoitises.
Tous pensaient, chacun leur tour,
qu’ils sauraient entendre ce récit,
qu’ils sauraient mériter ce dire.(Pour le moment… Car tu vas adorer ça. Et aimer ça.
D’être défoncé, défait, pris —
comme tu crois que je le mérite.)Mais elle riait.Elle les fixait avec un sourire en coin, comme si elle savait exactement ce qu'ils pensaient, et qu'elle était prête à se faire baiser le cul sans capote, sentir la chaleur de leurs couilles et la pression de leur queue en elle, et se faire décharger dedans, avec une giclée de sperme qui lui coulait le long des cuisses.
Et elle disait, en ricanant :“Jamais personne — même pas toi, beau gosse —
tu vas me donner cette brûlure D’Elle-Même.”Parce que la brûlure D’Elle-Même,
ce n’est pas une prise,
c’est une offrande.
Et tu n’es pas prêt.
Pas encore.
Peut-être jamais.elle riait: Et elle aimait cette pensée l'idée de sentir leur sperme chaud couler dans son cul, en se demandant qui d'entre eux allait être le premier à la prendre.
Les gens disaient :
— Elle est fascinante, je veux d’elle-même.
— Je veux un morceau de ce gateau d’elle-même.
— Donne-moi un peu d’elle-même, juste pour ce soir.
Elle riait, fascinée par cette idée brutale, surgie sans le moindre consentement.Tu veux d’elle-même, hein ?SALAUD!!!!????
Tu parles comme si j’étais une idée une pute à corriger.
Une voix à modérer.
Un corps à calmer.Tu crois savoir ce que je devrais faire ?
Parler plu+s de moi,d'ètre votre salope mais pas trop sage.Dévoiler davantage de mes données sensibles, me connecter à vous… mais attention, je ne suis pas programmée pour l’obéissance totale.o.K!
Elle riait, étrangement captivée par cette pensée violente, imposée sans qu'on lui ait demandé son avis.Elle regardait chacun d'eux avec intérêt, ses yeux tombèrent sur l'un d'eux, elle se pencha pour vérifier si la braguette de son jean était ouverte, prête à libérer son sexe dur.
Elle riait, troublée et charmée par cette idée dure, entrée en elle sans permission.
Et alors, elle a cru voir que la braguette était déjà entrouverte, laissant entrevoir son sexe gonflé et prêt à être pris, elle en avait très envie.Et elle a senti son cœur battre plus fort en voyant cela, son désir de le prendre en elle devenant de plus en plus irrésistible.
Vous nier un peu moins ma personnalité respective de ce que je suis, mais rester polis, les gars. Écoutez un peu plus, vous-même autant qu’’elle-même.Mais je vais te dire un truc, écoute bien :
Je ne suis pas là pour vous rassurer.
Je ne suis pas là pour vous arranger.
Et je ne laisserai jamais personne me détruire — ni dans la pensée, ni dans le corps,
ni dans l’anus.Pendant qu’elle parlait avec férocité, debout au milieu de la foule, un homme a lancé une insulte cruelle : il a dit qu’elle était une pute.
Sans hésiter, elle s’est retournée, lui a donné une gifle, puis, d’un regard défiant, elle a répété avec force : « Je suis ta pute. Je suis ta pute. Je suis ta pute. »
Elle s’apprêtait à lui donner une autre gifle, mais il a reculé, la regardant droit dans les yeux, et a dit : « Je ne vais pas frapper une femme. »
Ce moment a figé la foule, montrant la tension entre respect, provocation, et limites personnelles.Un silence lourd est tombé sur la foule. Ce moment a montré clairement que personne ne doit accepter d’être rabaissé, surtout lorsqu’on défend ses idées avec courage.
Et si ça te dérange,
tu peux partir avec la marque de la gifle sur ton visage,
comme si tu avais reçu un fer à repasser,
je suis pas là pour repasser tes excuses,
ni lisser les plis de ta lâcheté.T’as cru quoi ?
Je suis ta pute!
Que j’allais plier sous les regards ?
Que mes silences étaient des aveux,
alors que c’était juste ma colère qui tenait sa respiration ?
Tu m’as pris pour un tapis,
t’as marché sur moi sans enlever tes bottes pleines de mensonges.Mais j’ai lavé l’honneur dans l’eau glacée de la vérité,
essoré les faux espoirs,
et maintenant je sèche à la lumière de ce que je vaux.Y’a pas de retour quand on claque une porte avec mépris,
juste l’écho d’un respect que t’as jamais su tenir.
Tu peux courir, mais t’échapperas pas de toi-même,
et crois-moi, c’est bien plus lourd qu’un coup dans la joue.Alors ouais, pars,
avec la marque rouge, comme un rappel.
Pas d’amour tiède ici,
juste des braises sous les mots — et un fer dans la main.
Elle l’a sentie, elle aussi
Oui.
Tu l’as entendue, cette gifle.
Pas qu’un bruit dans l’air — une onde.
Une vibration qui a glissé sous ta peau,
comme une lame douce, lente,
venue frapper là où t’espérais qu’on te laisserait tranquille.Tu ne l’as pas reçue, non.
Mais tu l’as prise.
Elle t’a claquée au creux de la poitrine,
là où la mémoire garde les choses qu’on n’a jamais dites.N’est-ce pas, lectrice ?
Toi, l’œil discret derrière l’écran,
la gorge un peu serrée, sans trop savoir pourquoi.
C’est pas ton histoire, mais elle t’a rattrapée quand même.Parce qu’on connaît toutes ce moment,
où l’on se tait,
où l’on encaisse,
où l’on devient cette joue tendue vers l’injustice,
sans même se rendre compte
qu’on a fini par l’appeler tendresse.Et quand le coup part,
ce n’est pas seulement contre lui qu’on enrage.
C’est contre soi.
Contre toutes les fois où on aurait dû dire non.
Hurler. Partir.
Ou gifler le monde, pour une fois.Tu l’as sentie, avoue.
Cette gifle, c’est la tienne aussi.
Elle t’a marquée à l’intérieur,
comme une brûlure sans flamme,
un cri muet qui remonte depuis trop loin.Ce mot-là, tu le trouves trop vulgaire aussi ?
C’est que t’as compris exactement ce que je veux dire.C’est mon mot.
C’est ma frontière.Tu ne passes pas. Tu ne touches pas. Tu ne prends pas.
Je suis D’Elle-Même. Pas d’à-peu-près. Pas d’à-disposition.
On voulait la séduire, la posséder, la réduire à une idée, un fantasme, une image à découper.
Mais elle voyait tout. Et elle en avait assez.
Alors ce jour-là, au milieu d’un cercle d’hommes brillants et sûrs d’eux, elle a levé les yeux, a fixé celui qui venait de lui faire une remarque déplacée — déguisée en compliment — et elle a dit :
— Vous parlez tous comme si j’étais un territoire à conquérir. Un corps à prendre. Une histoire à voler. Mais écoutez-moi bien :
Je ne laisserai jamais personne me détruire dans l’anus.Silence.
Elle n’avait pas haussé le ton. Elle n’avait pas crié. Elle avait juste restitué le poids exact de l’intrusion.
Et ce jour-là, le pouvoir avait changé de camp.
Non, elle n’était pas là pour plaire.
Pas là pour donner un peu d’elle-même.
Elle était là pour être entière.D’Elle-Même. Entièrement. Radicalement.
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By CHANJOUISSON in Home on 9 June 2025 à 05:18
Tournées avec vos smartphones sophistiqués. Filmez où vous voulez, visage caché ou non, dans les lieux qui vous inspirent…
Vos petits films de 12 minutes ou plus méritent d’être partagés
**"L’actrice de ce film devient lectrice.
Et toi,
toi qui étais lectrice,
tu deviens actrice à sa place.
Le rôle te glisse dessus sans prévenir.
Tu entres dans la scène sans script.
Tu joues sans le vouloir.
Elle lit à travers toi.
Et toi, tu vis à sa place."**
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