• D'en dire ""Tu vas jouir en ma langue salope!"" tout haut, d'en taire tout bas » Une histoire vraie de mémoire qui vacille

     

     

    Titre : La mémoire des sens

    Le corps oublie.

    Il oublie tout dans l’instant où les sensations s’emparent d'elle

    quand le souffle se fait court, que la chair frissonne, que la peau devient mémoire vivante d’un plaisir brûlant.

    La jouissance ne demande ni explication, ni logique : elle s’impose, vaste, dévorante, presque sacrée. Et dans cette transe, elle, elle s’abandonne.

    Toi,Ravie.

    Ravie de chercher encore.

    De creuser plus loin.

    Comme si, dans chaque onde de plaisir, se cachait une vérité

    Une connaissance de ne pas l'oubliée.

    Son cerveau, en état d’extase, cherche l’information non pas dans les mots, mais dans la chair de ta vrai personne cacher.

    Un savoir sale brut, ancestral, presque mystique.

    Une puissance s’élève alors, égale à celle des hommes. Non par opposition, mais par essence.

    Une force qui n’a rien à prouver, rien à crier 

    seulement à être, pleinement.

    Une mémoire vacillante – Histoire vraie  

    C'est l'Histoire de deux amies, entre mots crus et vérités nues

     

    Toi et moi. Deux amies de toujours. Complices au-delà des mots. Entre nous, tout était permis – presque. On se disait tout, ou presque. Mais depuis quelque temps, un jeu étrange s’était installé. Une danse verbale, un duel secret.

    Tu parlais, parfois avec une voix tremblante d’émotion, parfois presque provocante. Moi, j’écoutais… et je répondais. Mais pas avec douceur. Avec des mots crus, tranchants, inattendus. Je t’insultais. Pas pour te blesser. Pour te làcher plus. Et, à ma grande surprise, cela faisait briller quelque chose dans tes yeux. Comme une lumière intérieure. Un frisson de liberté.

    — T’es vraiment pas nette, avais-je dit un jour, en souriant.t'es une grosse sal*pe,une p*te,une chi*nne en chaleur...
    — Laisse-moi jouir, avais-tu murmuré. De t’entendre… me faire taire.

    C’était notre secret, notre espace. Un mélange étrange d’affection et de domination, de langage sale et d’intimité sincère. Je n’aurais jamais osé ça avec personne d’autre. Toi non plus. Mais ensemble, on savait jusqu’où aller. Jusqu’où ne pas aller.

    Et dans cette bulle impolie, quelque chose d’indicible existait. Un lien profond, peut-être dérangeant aux yeux des autres, mais d’une vérité brûlante pour nous.

     

    — Dis-moi des mots propres. Des mots doux. Juste un peu.
    — Je t’aime trop pour ne pas te salir un peu, avais-je répondu en riant doucement.

     

    "Ce matin-là, impossible de retrouver mes mots.

    Ce n’était pas la première fois, mais cette fois, j’ai aussi oublié pourquoi j’étais entré NU dans la chambre de..... Un blanc total. J’ai ri un peu, gêné, mais au fond de moi, j’ai eu peur de moi-mème."

    On croit toujours que les trous de mémoire, c’est pour les autres.

    Ou que ce sont des oublis sans importance : un nom qu’on ne retrouve plus, une porte qu’on referme sans savoir pourquoi on l’a ouverte.

    Ces oublis dits « classiques » sont pourtant très courants, surtout dans des périodes de stress, de fatigue ou de surcharge cognitive.
    Le cerveau, dans ces moments-là, fonctionne comme une lumière vacillante : trop d’émotion l’éteint, trop de contrôle la bride (planetesante.ch).


    Sur le bout de la langue…

    Parfois, le mot est là…

    mais il ne sort pas.

    C’est une impression étrange, frustrante, presque comique : on le connaît, on le sent au bord, mais rien ne vient.

    Ce phénomène est fréquent et s’explique par une compétition entre différentes zones du cerveau.

    Le meilleur conseil ? Lâcher prise : souvent, le mot revient de lui-même, au détour d’une autre pensée.


    Signes d’alerte : quand faut-il s’inquiéter ?

    Pourtant, il arrive que ces oublis ne soient plus si anodins.

    Quand on commence à répéter les mêmes questions, oublier des événements récents, confondre les dates ou les lieux, égarer des objets de façon inhabituelle, ou devenir désorganisé dans des tâches simples, il faut tirer la sonnette d’alarme (santemagazine.fr, planetesante.ch, reddit.com).

    Ces signaux sont encore plus préoccupants s’ils s’accompagnent de difficultés à parler, à se repérer dans le temps, à effectuer des gestes quotidiens, ou s’il y a un changement soudain d’humeur ou de comportement (ameli.fr, lamutuellegenerale.fr).


    Urgence ou évaluation ?

    Dans les cas les plus graves – apparition soudaine de paralysie, trouble du langage, perte d’équilibre – il faut appeler immédiatement les urgences (15 ou 112). Cela peut être un signe d’AVC ou d’un autre trouble neurologique majeur (ameli.fr).

    Sinon, une évaluation mémoire peut être prescrite. Elle comprend des tests comme le MMSE (Mini-Mental State Examination) ou le test de l’horloge (frequencemedicale.com, lamutuellegenerale.fr).


    Quand la mémoire s’efface lentement : Alzheimer

    Les troubles liés à la maladie d’Alzheimer commencent souvent par une perte de mémoire récente, la répétition des mêmes phrases, une désorientation temporelle ou spatiale, des difficultés à exécuter des gestes simples et des troubles du langage ou du raisonnement. Avec le temps, la personnalité peut elle-même se modifier (alzheimer-recherche.org, santemagazine.fr).


    Témoignages : le stress et la fatigue comme déclencheurs

    Sur Reddit, plusieurs personnes racontent leur expérience : fatigue chronique, travail de nuit, rythmes décalés. Résultat : trous de mémoire, confusion des jours, incapacité à trouver ses mots… D’autres évoquent des flashbacks brefs, des moments de déjà-vu étrange, presque inquiétants.
    On se demande alors : est-ce juste le stress, ou quelque chose de plus profond ?


    Conseils et prévention

    La mémoire, comme le corps, a besoin d’entretien :

    • Dormir suffisamment.

    • Manger sainement.

    • Pratiquer une activité physique régulière.

    • Apprendre à gérer son stress.

    Surveillez les oublis récurrents : s’ils deviennent envahissants ou gênants dans la vie quotidienne, consultez un médecin.

    Et surtout, écoutez votre entourage. Ce sont souvent les proches qui détectent les premiers changements de comportement ou de mémoire (santemagazine.fr, lamutuellegenerale.fr, ameli.fr).


     Épilogue

     

    "Finalement, j’ai pris rendez-vous. Juste pour vérifier. Ce n’est peut-être rien… ou peut-être que c’est le début de quelque chose que je ne veux pas voir. Mais je préfère savoir. Pour moi, pour les autres. Parce que ma mémoire, c’est aussi mon histoire."

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