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JOUIBRULANCE Main salie par la vie en son tac! tac! tac! huuuummmm!!!!
By CHANJOUISSON in Home on 3 November 2025 à 11:29
Le gobelet tremblait dans sa main, comme s’il vibrait au rythme de tout ce qu’elle retenait en elle. À côté d’elle, la petite plante verte sembla frissonner aussi, réagissant à l’atmosphère qui changeait. L’air se chargeait d’une énergie étrange — un mélange de tension, de curiosité et d’un bonheur trop fort pour être contenu. La plante s’inclina légèrement, comme si elle respirait cette onde, cette pulsation venue du cœur de JOUIBRULANCE.
Ses yeux s’écarquillèrent et s’ouvrirent en grand. « Haaaaa… » murmura-t-elle, éblouie. « Hoooooo… » s’échappa de ses lèvres, un souffle entre la surprise et la fascination. Elle le voyait dans la pièce s’emplir d’une lumière invisible.
Elle sentait son cœur s’ouvrir, son souffle devenir léger. Chaque geste, chaque silence portait un sens, un frisson. Elle voyait cette force, cette puissance presque palpable, envahir l’espace et s’insinuer jusqu’à son propre souffle. Chaque geste, chaque bruit qu'elle entendait — tac! tac! tac! — amplifiait le frisson interdit qui parcourait son corps. Chaque vibration en sa main, qui tremblait du gobelet, résonnait avec son cœur affolé, son esprit captif, prêt à plonger dans une fascination totale. Le monde autour d’elle vibrait au même rythme qu’elle : la plante, le gobelet, la lumière — tout semblait animé d’un même souffle.
Et soudain, elle comprit.
Dialogue initial, fascination et éveil :
Femme : « Je… je ne sais pas si je devrais être ici. Ton énergie… elle me submerge. »
JOUIBRULANCE : « C’est justement parce que tu ressens que tu es ici. Tu n’as pas besoin de comprendre, seulement de sentir. »
Femme : « Sentir… oui, je sens tout. Mon cœur bat si vite… et ce gobelet… il vibre entre mes mains ! »
JOUIBRULANCE : « Ce n’est pas le gobelet qui vibre. C’est toi qui deviens réceptive. Tu touches ce que j’ai de plus profond… et tu y réponds. »
Femme : « Mais pourquoi moi ? Pourquoi moi et pas… quelqu’un d’autre ? »
JOUIBRULANCE : « Parce que tu es prête. Parce que ton esprit est ouvert et ton cœur, courageux. Il faut parfois un témoin pour que l’énergie devienne visible. »
Femme : « Et toi… que veux-tu que je fasse avec ce que je ressens ? »
JOUIBRULANCE : « Rien et tout à la fois. Ce que tu ressens n’est pas à contrôler. Laisse-le t’envahir, te transformer. Apprends seulement à l’accueillir. »
Femme : « Transformer… moi ? Mais je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi intense. C’est… effrayant et merveilleux à la fois. »
JOUIBRULANCE : « C’est normal. La beauté la plus pure et la force la plus vraie provoquent toujours un frisson. Et ce frisson est le pont vers toi-même. »
Femme : « Je… je dois plonger ? »
JOUIBRULANCE : « Oui. Plonge. Et en plongeant, tu comprendras que le monde n’est pas fait pour être tenu, mais pour être ressenti. »
La colère, la trahison et les insultes :
Femme : (les yeux flamboyants) « Toi… toi ne changes jamais ! Ça fait plus d’une décennie que tu es comme ça ! Toujours le même, toujours froid, toujours… sale ! Et à chaque année qui passe, tu deviens de plus en plus sale… en ta saleté ! »
JOUIBRULANCE : « Sale ? Tu crois que je me définis par tes mots ? »
Femme : « Tes mots ? Non, je parle de toi, de ce que tu es depuis toujours ! De ta manipulation, de tes jeux, de ton sourire qui cache tout… tu ne changes jamais, JOUIBRULANCE. Tu es resté le même monstre que j’ai rencontré il y a des années ! »
JOUIBRULANCE : « Un monstre ? Peut-être. Mais regarde-toi… tu trembles encore, tu es encore fascinée. Ta colère… ton indignation… c’est exactement ce que tu voulais ressentir. »
Femme : « Fascinée ? Fascinée par ta sale trahison ! Fascinée par ton arrogance ! Tu as détruit des années de confiance, tu as joué avec moi comme un e*fant joue avec un jouet… et maintenant tu oses me dire que je voulais ça ?! »
JOUIBRULANCE : « Ce n’est pas moi qui détruit… c’est toi qui choisis de rester, de ressentir, de te laisser brûler par ce que tu refuses de fuir. »
Femme : « Et tu oses dire ça ? Tu ne comprends rien ! Tu ne comprends jamais rien ! Ça fait plus d’une décennie que tu es comme ça, et à chaque fois, je te crois, je me fais avoir, et tu… tu deviens juste plus sale ! »
JOUIBRULANCE : « Plus sale ? La saleté n’est pas en moi, elle est dans la vérité que tu refuses de voir. Et toi… tu es tellement vivante dans ta rage que tu la nourris toi-même. »
Femme : « Tu mens ! Tu mens toujours ! Tu te caches derrière ton énergie, derrière tes silences, derrière tes soi-disant vérités… mais je vois tout maintenant ! Tu es un menteur… un manipulateur… et tu ne changeras jamais ! »
JOUIBRULANCE : « Et si je ne change pas… et si je ne pouvais pas changer… tu ferais quoi ? Me fuir ? Me maudire ? Ou continuerais-tu à ressentir ce que tu crains et ce que tu désires ? »
Femme : « Je… je ne sais pas… je devrais te haïr… je devrais… mais chaque mot que tu prononces… chaque souffle… me brûle… me fascine… et je déteste ça ! »
JOUIBRULANCE : « Exactement. Tu détestes… et pourtant tu es là. Parce que tu sais maintenant que ce n’est pas seulement moi… c’est toi aussi. Ta colère, ton désir, ta rage… tout vibre au même rythme que moi. Et tu ne peux pas me fuir. »
Femme : « Alors écoute-moi bien ! Je te hais ! Et je te le dirai encore et encore ! Tu es… un démon déguisé en lumière, et tu ne changeras jamais ! Et à chaque année qui passe, tu deviens juste… plus sale, JOUIBRULANCE… plus sale dans ta saleté ! »
JOUIBRULANCE : (silence, puis un murmure grave et hypnotique) « Et pourtant… tu es encore fascinée. Tu ne peux pas me quitter. Et c’est là… que la vérité commence. »
Le gobelet glissa légèrement de ses doigts tremblants, laissant échapper une vibration qui fit tressauter sa main. Une fine poussière sombre semblait s’incruster sur sa peau, se mêlant à la sueur de sa peur et de sa colère. Ses doigts se crispèrent, et elle réalisa que sa main était désormais sale, comme si une partie de la corruption de JOUIBRULANCE s’était déposée sur elle.
Elle leva les yeux vers lui, et un frisson parcourut son corps : ses paroles, sa rage, sa fascination… tout semblait avoir laissé une trace. Sa blouse, jadis immaculée et protectrice, portait maintenant les marques de l’énergie de JOUIBRULANCE, des taches indéfinissables, comme si la lumière et l’ombre s’étaient combattues sur le tissu.
Ses cheveux, qu’elle avait toujours soigneusement coiffés, se collaient à son front, imbibés de sueur et de tension. Chaque mouvement semblait amplifié, chaque souffle contaminé par la force invisible qu’il dégageait. Son joli petit visage, si innocent, portait les stigmates de leur affrontement : des cernes, des rougeurs, des traces de colère, de frustration, mais aussi d’émerveillement interdit.
Femme : (murmure étouffé, presque en pleurs) « Tout… tout est souillé… je… je ne pensais pas que ça… que ça pouvait m’atteindre à ce point… »
JOUIBRULANCE : (s’approchant, sa voix basse et hypnotique) « Tu vois maintenant… tout ce que tu crois protéger, tout ce que tu crois immaculé, devient vivant sous mon influence. Ta blouse, tes mains, ton visage… même ton innocence n’est pas à l’abri. »
Femme : (les yeux écarquillés, une larme coulant sur sa joue) « Mais… pourquoi… pourquoi moi ? Pourquoi tout ce qui est en moi doit devenir… sale… souillé… à cause de toi ?! »
JOUIBRULANCE : « Parce que tu es trop humaine pour résister. Parce que ce que tu crois être immaculé est seulement fragile, et que la vérité a toujours un prix. Chaque vibration, chaque souffle de ma présence laisse sa marque. Et toi… tu sens que tu ne peux pas fuir cette vérité. »
Elle porta la main à son visage, tâtonnant sur sa joue pour effacer ce qu’elle croyait pouvoir nettoyer, mais la saleté, la trace de sa présence et de son énergie, ne partait pas. Elle sentit ses doigts trembler, et pour la première fois, elle réalisa que cette confrontation ne serait pas seulement psychologique, mais physique et spirituelle : ce qu’il touchait, ce qu’il déchaînait, la transformait, la marquait, et rien ne reviendrait comme avant.
Femme : (voix brisée mais furieuse) « Sale… sale… tout est sale parce que toi… TOI, JOUIBRULANCE, tu ne sais que salir ce que tu touches… même moi ! Même mon visage… même mes mains… même le mur… »
JOUIBRULANCE : (un sourire sombre, presque satisfait) « Et pourtant… tu es toujours là. Même souillée, même exposée, tu restes fascinée… Tu as compris que la lumière et l’ombre ne sont pas séparées. Et maintenant, tu vois que tout ce que tu pensais pur peut devenir vivant… vibrant… et marqué. »
Le gobelet vibra une dernière fois dans sa main, comme un écho de ce qu’elle venait de traverser. La petite plante à côté d’elle semblait frissonner à nouveau, comme si elle reconnaissait le changement : tout dans cette pièce, tout en elle, était désormais marqué par JOUIBRULANCE, et aucune innocence ne pourrait rester intacte.
Elle détourna le regard, incapable de sourire, incapable de fuir, consciente que son joli petit visage, sa blouse, ses mains et son cœur porteraient désormais les traces de cette rencontre, à la fois sublime, terrifiante et irréversible.
« Empreintes de saleté »
"Une main féminine, délicate et réaliste, complètement salie par de la boue et de la poussière sombre. Les doigts tremblants tiennent un gobelet transparent, légèrement fissuré, dans une pièce sombre et dramatique. La lumière accentue les taches sur la peau et sur la blouse visible en arrière-plan. Atmosphère intense, dramatique, émotionnelle, avec un flou artistique léger autour pour renforcer la tension et la saleté."
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