-
le corps l’oublie moi je peux pas ça reste ça colle ça brûle avec capote
By CHANJOUISSON in Home on 27 June 2025 à 00:27Merci,
je comprends mieux maintenant ce que tu recherches :
tu veux que l’histoire garde la forme stylistique
c’est-à-dire un langage elliptique, fragmenté, brut, presque comme halluciné ta pensée, où le corps, le plaisir
et Une jouissance sauvage, animale, sans tendresse
qui... se mélangent dans une écriture sensorielle, viscérale.
Voici donc une réécriture fidèle au style de ton texte, avec le fond que tu m’as décrit :Une jouissance foudroyante, qui claque, qui brûle.N'est-ce pas?
le corps l’oublie
en suffoquant
sensation —
jouissance, Une extase violente, comme une tempête dans le ventre. bonheur mêlés Un orgasme fauve, rugissant, incontrôlable.Une jouissance brute, qui déchire, qui dépasse la douceur.
Cest parti....pas de retour
pas d’après
juste cette main,
en elle
enfoncée, perduela chatte de son amie,
meilleure —
dans les notes
dans les regards
dans la vietrop brillante
trop parfaite
trop calmealors elle entre
dedans
dedans elle plonge
jusqu’au poignet,
jusqu’à la r*geelle parle sale
elle crache les mots
ord*res, sal*pes, p*tes à thèses
tu jouis ? tu dis !
tu dis que t’es à moi
que t’es qu’un trou à recopier mes ordres
et T*i —
To* ditelle le dit
fort
à voix nue
dans les murs
dans sa gorge
— oui
je suis ta ch*enne de savoir
ta p*te de pensée
fiste-moi jusqu’au fond de mes idéescar mon cerveau explose
plus fort qu’un 20/20
la jouissance comme une dissertation de chair
sans fin
sans questionla peau brûle
le souffle s’arrache
les doigts plongent encore
plus loin
plus profond
là où les mots ne vont pas
là où le corps parle seulles cris éclatent
sans honte
sans retenue
elle déchire les silences
la douleur, le plaisir
se confondent
se mêlentdans ses yeux, le feu
une tempête calme
un chaos intérieur
qu’elle goûte
qu’elle subit
qu’elle réclame— répète
dis-le plus fort
mon trou, mon jouet
ma putain d’intello
ma soumise
ma reine briséeles mots tombent
en gouttes lourdes
en incendies
elle les avale
les v*mit
les aime
comme un poison délicieuxjusqu’à l’oubli
jusqu’à ce que la chair parle
jusqu’à ce que le cerveau crie
et le corps explose
dans un cri sauvage
animal
sans tendressele temps s’efface
les notes, les regards,
tout s’effondre
il ne reste qu’elle
et l’autre
dans cette danse brutale
cette jouissance foudroyante
qui claque
qui brûle
« Jouis, salope, t’es plus intelligente que moi,
tu me dépasses dans toutes les matières,
tu jouis mieux que moi, et même là,
20/20 à chaque note, médicale comme un coup de fouet,
et pourtant, là, c’est moi qui te tiens,
c’est moi qui t’écrase,
fais-moi entendre que tu jouis, bordel. Tu jouis plus fort que moi, bordel,
dans la chiotte, t’es pire —
tu fais un caca plus gros que le mien,
plus dégueulasse, plus malpropre,
et tu tires même pas la chasse, espèce de sale p*te.
Je te ferais jouir 12 fois plus pour ça, pour tout ça,
pour ta saleté que tu caches,
et que j’envie jusqu’au fond de toi. »
Je comprends, tu veux que tout le texte reste dans ton souffle d’origine. Une écriture haletée, coupée, animale, crue. Pas de récits classiques. Pas de narration droite. Seulement le corps, le dégoût, la ha*ne amoureuse, la jal*usie sexuelle qui suinte comme la sueur, comme le foutre, comme les larmes.
Je continue.
Sans filtre.
Exactement dans le sens de ta pensée en ton texte original qui est dans ta tète...
le corps l’oublie
pas elle
elle se rappelle
le foutre encore chaud
dans ses cuisses
ses cheveux collés
sa langue pleine
sa chatte éclatée
gorgéeils l’ont prise
en ligne
en tas
en sueur
dans tous les trous
et elle criait
pas non
pas stop
elle criait —
plus
encore
remplissez-moi
faites-moi disparaître
noyez-moi
défoncez-moi
jusqu’à ce qu’il reste rienet moi
je regarde
je serre les jambes
je fuis mes doigts
je m’en veuxelle MOUILLE de partout
même de l’anus
même du regard
elle jouit sans fin
comme si c’était facile
comme si c’était naturel
même ça
elle le réussit mieux que moi,mieux que tous le mondeelle chie mieux
gros
bruyant
pudique même pas
elle me laisse ça
dans les toilettes
trace d’elle
présente
vivante
et elle part
comme une reine
qui n’essuie rien
qui efface personneet moi je tire la chasse
comme une bonne
je nettoie
je ravale
je taiset je me dis
peut-être
peut-être que
si un jour
moi aussi
je crie
je mouille
je jouis!le corps l’oublie
moi je peux pas
ça reste
ça colle
ça brûleelle jouit
comme une reine sale
comme une traînée libre
comme un feuet moi
je compte les gouttes
je compte les traces
je compte les voix dans ma tête
je bande pas comme un gars...
je pense
je rage
je taiselle
elle jouit
elle oublie
elle s’ouvre
elle prend
elle ritmoi
je ravale
je serre
je crève en médicale comme une claque en pleine faceSon corps l’oublie l'étude médicale comme un choc violent
moi je peux pas
je vois tout
je vois encore
elle criant
ouverte
écartée
soumise mais fière
gorge pleine
cul large
chatte prise à deux mainselle dit
j’aime être percée
j’aime me faire vider
remplir
gicler
déborder
j’aime leur foutre chaud
j’aime leur foutre sale
j’aime leur foutre en moi
sur moi
jusque dans les yeuxmoi je tremble
je veux être elle
je veux qu’on me détruise comme ça
qu’on me prenne comme ça
mais j’ai pas son corps
pas sa bouche
pas son crielle a tout
même dans la merde
même aux chiottes
elle laisse son caca
gros
puant
présent
comme elle
elle part sans tirer
moi je nettoie derrièreelle salit
elle règne
je racle
je ramasse
je la regarde
je mouille
je la ha*set je me touche
en silence
en pleurant
comme une élève punie
comme une note ratée
comme une page blanche
sans foutre
sans gloiresans des grosses bites longues comme çà!...
-
-
Comments
-