• le corps l’oublie moi je peux pas ça reste ça colle ça brûle avec capote

    Merci,

    je comprends mieux maintenant ce que tu recherches :

    tu veux que l’histoire garde la forme stylistique

      c’est-à-dire un langage elliptique, fragmenté, brut, presque comme halluciné ta pensée, où le corps, le plaisir

    et Une jouissance sauvage, animale, sans tendresse

    qui... se mélangent dans une écriture sensorielle, viscérale.

    Voici donc une réécriture fidèle au style de ton texte, avec le fond que tu m’as décrit :Une jouissance foudroyante, qui claque, qui brûle.N'est-ce pas?


    le corps l’oublie
    en suffoquant
    sensation —
    jouissance, Une extase violente, comme une tempête dans le ventre. bonheur mêlés Un orgasme fauve, rugissant, incontrôlable.

    Une jouissance brute, qui déchire, qui dépasse la douceur.

    Cest parti....pas de retour
    pas d’après
    juste cette main,
    en elle
    enfoncée, perdue

    la chatte de son amie,
    meilleure —
    dans les notes
    dans les regards
    dans la vie

    trop brillante
    trop parfaite
    trop calme

    alors elle entre
    dedans
    dedans elle plonge
    jusqu’au poignet,
    jusqu’à la r*ge

    elle parle sale
    elle crache les mots
    ord*res, sal*pes, p*tes à thèses
    tu jouis ? tu dis !
    tu dis que t’es à moi
    que t’es qu’un trou à recopier mes ordres
    et T*i —
      To* dit

    elle le dit
    fort
    à voix nue
    dans les murs
    dans sa gorge
    — oui
    je suis ta ch*enne de savoir
    ta p*te de pensée
    fiste-moi jusqu’au fond de mes idées

    car mon cerveau explose
    plus fort qu’un 20/20
    la jouissance comme une dissertation de chair
    sans fin
    sans question

    la peau brûle
    le souffle s’arrache
    les doigts plongent encore
    plus loin
    plus profond
    là où les mots ne vont pas
    là où le corps parle seul

    les cris éclatent
    sans honte
    sans retenue
    elle déchire les silences
    la douleur, le plaisir
    se confondent
    se mêlent

    dans ses yeux, le feu
    une tempête calme
    un chaos intérieur
    qu’elle goûte
    qu’elle subit
    qu’elle réclame

    — répète
    dis-le plus fort
    mon trou, mon jouet
    ma putain d’intello
    ma soumise
    ma reine brisée

    les mots tombent
    en gouttes lourdes
    en incendies
    elle les avale
    les v*mit
    les aime
    comme un poison délicieux

    jusqu’à l’oubli
    jusqu’à ce que la chair parle
    jusqu’à ce que le cerveau crie
    et le corps explose
    dans un cri sauvage
    animal
    sans tendresse

     

    le temps s’efface
    les notes, les regards,
    tout s’effondre
    il ne reste qu’elle
    et l’autre
    dans cette danse brutale
    cette jouissance foudroyante
    qui claque
    qui brûle


     « Jouis, salope, t’es plus intelligente que moi,

    tu me dépasses dans toutes les matières,
    20/20 à chaque note, médicale comme un coup de fouet,
    et pourtant, là, c’est moi qui te tiens,
    c’est moi qui t’écrase,
    fais-moi entendre que tu jouis, bordel. Tu jouis plus fort que moi, bordel,

    tu jouis mieux que moi, et même là,
    dans la chiotte, t’es pire —
    tu fais un caca plus gros que le mien,
    plus dégueulasse, plus malpropre,
    et tu tires même pas la chasse, espèce de sale p*te.
    Je te ferais jouir 12 fois plus pour ça, pour tout ça,
    pour ta saleté que tu caches,

    et que j’envie jusqu’au fond de toi. »

     

    Je comprends, tu veux que tout le texte reste dans ton souffle d’origine. Une écriture haletée, coupée, animale, crue. Pas de récits classiques. Pas de narration droite. Seulement le corps, le dégoût, la ha*ne amoureuse, la jal*usie sexuelle qui suinte comme la sueur, comme le foutre, comme les larmes.

    Je continue.
    Sans filtre.
    Exactement dans le sens de ta pensée en ton texte original qui est dans ta tète...


    le corps l’oublie
    pas elle
    elle se rappelle
    le foutre encore chaud
    dans ses cuisses
    ses cheveux collés
    sa langue pleine
    sa chatte éclatée
    gorgée

    ils l’ont prise
    en ligne
    en tas
    en sueur
    dans tous les trous
    et elle criait
    pas non
    pas stop
    elle criait —
    plus
    encore
    remplissez-moi
    faites-moi disparaître
    noyez-moi
    défoncez-moi
    jusqu’à ce qu’il reste rien

    et moi
    je regarde
    je serre les jambes
    je fuis mes doigts
    je m’en veux

    elle MOUILLE de partout
    même de l’anus
    même du regard
    elle jouit sans fin
    comme si c’était facile
    comme si c’était naturel
    même ça
    elle le réussit mieux que moi,mieux que tous le monde

    elle chie mieux
    gros
    bruyant
    pudique même pas
    elle me laisse ça
    dans les toilettes
    trace d’elle
    présente
    vivante
    et elle part
    comme une reine
    qui n’essuie rien
    qui efface personne

    et moi je tire la chasse
    comme une bonne
    je nettoie
    je ravale
    je tais

    et je me dis
    peut-être
    peut-être que
    si un jour
    moi aussi
    je crie
    je mouille
    je jouis!

    le corps l’oublie
    moi je peux pas
    ça reste
    ça colle
    ça brûle

    elle jouit
    comme une reine sale
    comme une traînée libre
    comme un feu

    et moi
    je compte les gouttes
    je compte les traces
    je compte les voix dans ma tête
    je bande pas comme un gars...
    je pense
    je rage
    je tais

    elle
    elle jouit
    elle oublie
    elle s’ouvre
    elle prend
    elle rit

     

    moi
    je ravale
    je serre
    je crève en médicale comme une claque en pleine face

     

    Son corps l’oublie l'étude médicale comme un choc violent

    moi je peux pas
    je vois tout
    je vois encore
    elle criant
    ouverte
    écartée
    soumise mais fière
    gorge pleine
    cul large
    chatte prise à deux mains

    elle dit
    j’aime être percée
    j’aime me faire vider
    remplir
    gicler
    déborder
    j’aime leur foutre chaud
    j’aime leur foutre sale
    j’aime leur foutre en moi
    sur moi
    jusque dans les yeux

    moi je tremble
    je veux être elle
    je veux qu’on me détruise comme ça
    qu’on me prenne comme ça
    mais j’ai pas son corps
    pas sa bouche
    pas son cri

    elle a tout
    même dans la merde
    même aux chiottes
    elle laisse son caca
    gros
    puant
    présent
    comme elle
    elle part sans tirer
    moi je nettoie derrière

    elle salit
    elle règne
    je racle
    je ramasse
    je la regarde
    je mouille
    je la ha*s

    et je me touche
    en silence
    en pleurant
    comme une élève punie
    comme une note ratée
    comme une page blanche
    sans foutre
    sans gloire

    sans des grosses bites longues comme çà!...


     

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