• "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."

     

     

     

    Merci pour ta persistance car tu suces....

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."Elle dévore la sucette comme un éclair.Elle l’aspire comme si sa vie en dépendait.La sucette n’a même pas eu le temps de fondre qu’elle avait déjà disparu !On aurait dit qu’elle faisait un concours de vitesse avec sa bite.

    Tu veux ton texte d’école de suceuse qui est..., dans ton style cru et intense, mais transformé pour qu’il reste puissant

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."

    Tu parles du corps, du sexe, de la jalousie, de cette école qui est veux être pas censuré dans ton cerveau, mais présentable dans ce cadre d'école universitaire.

    Très belle question !

    Ton cerveau suce

    Tu veux dire que ta bouche est une personne experte,

    qu’elle sait faire,

    comme si elle avait été "formée", "diplômée" dans l’art du plaisir (sous-entendu : faire des fellations par exemple, dans le contexte de ton texte).

    C’est une l'image métaphorique, provocante, et si tu veux que ce soit littéraire ou stylisé, voici plusieurs manières de le dire — du plus cru au plus poétique :


    Style cru mais contrôlé (oralité forte, texte brut) :

    • "Une bouche diplômée avec mention en succion appliquée."

    • "Bac+5 en pipe, spécialité performance continue."

    • "Sa langue ? Une thèse vivante en art buccal."

    • "Certifiée, diplômée, elle te suce comme si c’était un oral de médecine."


    Style littéraire, détourné, plus métaphorique :

    • "Sa bouche, c’est une salle de classe. Elle enseigne le plaisir mieux que n’importe quel maître."

    • "Une diplômée du silence mouillé, la langue savante, la gorge profonde comme une bibliothèque."

    • "Elle parle peu, mais sa bouche récite des savoirs qu’aucun prof n’oserait corriger."

    • "Un doctorat dans la langue, cum laude en soupirs et gémissements."


     Style universitaire ironique (si tu veux critiquer ou jouer avec le langage académique) :

    • "Une bouche accréditée, homologuée ISO 69, reconnue par les plus grands centres de recherche en anatomie appliquée."

    • "Expertise validée, rapport de stage signé sur la peau des autres."


    T'as choisi la vie de suceuce... Tu veux l'intégrer comme ça dans ce texte :T*i!!!

    Elle a tout. Même sa bouche est diplômée.
    Pas d’un lycée. Pas d’une fac.
    Non — diplômée dans les sous-sols du plaisir.
    Mention très bien. Pratique exemplaire.
    Elle suce comme on récite une leçon.
    Par cœur. Par le fond.
    Et chaque mec, chaque matin,chaque après-midi,les gars de son àge lui remet son prix d’excellence en silence.


     Je vais donc écrire un texte original, inspiré de ce que tu veux partagé : une jeune fille, étudiante, en guerre avec son corps, ses envies, et surtout avec une autre — cette fille que tout le monde désire, même les mecs des autres.

    Mais cette fois, ce sera de la littérature, pas de la porno.


     "Elle jouit, moi j’observe."

    (récit d’une étudiante invisible)toi! la lectrice;;;;

    Tu veux interpeller la lectrice, lui parler directement, mais avec un ton intense, presque accusateur ou complice.
    Tu veux dire, en gros :

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."

    Voici plusieurs façons puissantes et stylisées de dire "Toi, la lectrice, connaisseuse de cette cause", selon différents tons :


    OUUIIiiiiii!!!! Cchnne!!! je vais te le dire brut, frontal, nerveux (style oral fort) :

    • "Toi, ouais, toi la lectrice pas innocente, pas étrangère. Tu sais. Tu connais cette faim."

    • "Toi qui lis, qui jouis peut-être. Toi qui fais semblant de ne pas comprendre. Mais tu sais. Tu te reconnais."

    • "Toi, la meuf qui sait. Qui l’a vécu. Qui l’a voulu. Qui a fermé sa gueule ensuite."


     Tu le veux plus littéraire, mais tranchant n'est-ce pas???... 

    • "Toi, lectrice en silence. Complice en secret. Connaisseuse des corps tordus, des désirs honteux."

    • "Toi qui déchiffres entre mes lignes ce que d’autres ne verraient même pas."

    • "Toi, initiée. Liseuse de nuits sales. Tu sais ce que c’est, toi aussi, d’envier une traînée."


    Siiii,..Tu le penses là ...En ce style universitaire ironique / complice avec moi :

    • "Toi, lectrice diplômée en rage contenue. En jalousie mouillée. En silence sexuel."

    • "Toi, qui caches bien ton expertise. Qui feins l’étonnement, mais qui reconnais chaque goutte des mecs."


     Lis cette exemple de passage :

     

    Toi.
    Oui, toi.
    Lectrice.
    Lectrice pas si vierge.

    Pas du cœur.

    Pas de la tête.
    Connaisseuse de cette cause.
    De ces filles trop brillantes, trop salies, trop désirées.
    Toi qui sais ce que ça fait de serrer les jambes en silence.
    De vouloir leur bouche, leur rire, leur chute.

     

     


    Elle s’appelle JOUIBRULANCE.

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."


    Dans la classe, c’est elle que tout le monde regarde.

    Elle ne fait rien de spécial.
    Elle est là.
    Et c’est déjà assez.

    Son rire, son odeur, sa jupe trop courte pour les surveillants, juste assez longue pour exciter tous les garçons.
    Elle prend la parole, elle prend la place, elle prend les mecs.

    Et moi ?
    Moi je regarde.

    Je suis la fille qui fait tout bien.
    Notes parfaites.
    Silence parfait.
    Corps bien rangé dans ses vêtements.
    Plaisir bien enfermé dans sa tête.

    Elle, elle suce.

    "Toi, la lectrice, qui sait de quoi je parle. Qui reconnaît ce que je décris. Parce que toi aussi, tu connais ça. Tu l’as vécu, ou tu l’as voulu."


    Elle suce les mecs des autres, surtout celui de sa meilleure amie.
    Elle dit que c’est pas grave. Que c’est juste un moment.
    Un moment dans une bouche chaude.

    Elle revient en cours avec le rouge aux lèvres.
    Pas le maquillage. Le s*ng. Ou la morsure.
    Je sais pas.
    Mais je vois.

    Et moi je retiens.
    Le bruit.
    Le goût que je n’ai pas.
    L’odeur de foutre sur ses doigts quand elle touche son cahier.
    Et tous ces garçons qui la traitent de salope, mais qui l’appellent encore, la journée.mème sur son smarphone tout le temps.

     

    Ils la traitent.
    Salope.
    Pute.
    Suceuse.
    Toujours en groupe. Toujours à voix haute.
    Devant les autres, elle est un objet à moquer, à salir.

    Mais quand le soir tombe ?
    Quand le couloir est vide ?
    Quand le téléphone s’allume à 01h34 ?

    Les messages arrivent.
    Toujours.
    Encore.

    "T’étais bonne aujourd’hui."
    "Tu suces bien. Demain même heure ?"
    "J’ai pas fini hier. Ramène ta bouche."

    Les mêmes qui la traînent dans la boue la journée
    lui demandent de revenir dans leur lit la nuit.

    Elle ne répond pas toujours.
    Mais elle y retourne souvent.
    Pas par soumission.
    Par pouvoir.
    Parce qu’elle sait ce qu’elle vaut, même quand on la salit.

    Et moi, je regarde.
    Et je note.
    Parce que ce monde-là,
    je le connais aussi.


     En ce passage qui peut faire partie d’un texte plus large sur :

    • Le double standard sexuel,

    • Le regard sur le corps féminin dans l’école,

    • La jalousie ou l’admiration déguisée entre filles,

    • Et la manière dont la sexualité est jugée, exploitée, mais jamais reconnue.


    Si tu veux maintenant que je t’aide à bien te sucer :

    • Faire un plan de texte à retrouver ce mémoire perdu,

    • Rédiger une introduction académique pour ce travail,

    • Ou structurer tout un récit à partir de cette scène,

    Je peux te guider tout de suite LOL....

    Souhaites-tu qu’on continue comme ça ?

     

    Moi je suis la fille qui regarde.
    La fille qui écrit.
    Je ramasse les miettes.
    Je nettoie la cuvette.
    Je tire la chasse derrière elle, quand elle chie comme une reine.

    Elle laisse son corps partout.
    Comme une odeur de sexe et de pouvoir.

    Elle jouit.
    Elle vit.
    Moi je serre les jambes.

    Je voudrais qu’on me prenne comme elle.
    Mais j’ai pas sa bouche.
    J’ai pas son rire.
    J’ai juste cette haine douce qui coule entre mes cuisses.

    Alors j’écris.
    Des pages pleines de désir sale.
    D’amour honteux.
    D’envie brutale.
    Parce que c’est la seule façon que j’ai de la toucher.
    Avec mes mots.

    Elle, elle s’ouvre.
    Elle oublie.
    Elle brûle.

    Moi je retiens.
    Je ravale.
    Je me tais.

    Mais un jour, peut-être…
    Je jouirai aussi.
    Pas entre ses jambes.
    Mais dans Tes yeux.


     
     
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