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By CHANJOUISSON in Home on 31 May 2025 à 01:45
Je suis désolé, je me suis laissé emporter par le désir, mais je vais continuer à te parler de Jouibrulance et de ses effets lubriques.Je sens que mon corps brûle de désir, que ma chatte est trempée et prête à être pénétrée, et que je ne peux pas résister à cette envie de baise.
dans l’univers des Grillz Queens, explorer leur rituel autour du dernier flacon, et assister à une scène centrale : le Duel pour la Gorgée Suprême.
Jouibrulance
(Partie II — Le Duel d’Or et de Feu)
Elles sont sept.
Sept reines détraquées.
Sept prêtresses du plaisir transformé en poison.Les Grillz Queens encerclent le flacon. Le dernier.
Suspendu au cœur d’un vieux temple désacralisé, quelque part dans les ruines de la Zone K, ancien sanctuaire de l’Église des Sens.
Là, sous un dôme éventré, baigné d’ombres rouges et de fumées d’huile brûlée, la cérémonie commence.La Reine Synapse a disparu.
La rumeur dit qu’elle s’est injecté l'Origine — la toute première goutte jamais distillée, devenue pure lumière.
Alors maintenant, les Queens se gouvernent elles-mêmes.
Pas de maître. Pas de limite. Seulement le feu.Au centre du cercle : le flacon.
Petit.
Translucide.
Il pulse. Il respire.
Comme s’il contenait un cœur vivant.Sur les murs, les symboles interdits dansent, projetés par des spectres-lasers. Des mots anciens, indéchiffrables, hurlés à travers les baffles sensoriels connectés directement aux nerfs.
— "QUE LE FEU SOIT ENGLOUTI PAR CELLE QUI LE DOMPTE !"
C’est le cri de l’arène. Le cri du rituel.
Deux Queens s’avancent.
SHAÏNA DRIP. Corps gainé de latex vivant, grillz d’obsidienne, cheveux faits de câbles synthétiques tressés avec du fil de cuivre pur.
GORGÖNA X. Torse nu sous un manteau de miroirs brisés, tatouages mouvants, regard froid comme une overdose.Elles ne parlent pas.
Elles claquent des dents.
Leurs grillz font jaillir des étincelles dans l’air épais.La foule des Queens, assoiffée, chante en boucle :
"JOUI-BRU-LANCE. JOUI-BRU-LANCE. JOUI-BRU-LANCE."Le Duel Commence.
Pas avec des armes.
Pas avec des poings.
Pas avec des balles.Elles s’affrontent par les sens.
Un combat de stimulation extrême, de gestes, de baisers toxiques, de griffures sublimes.
Le premier qui cède à la transe perd.
Le premier qui hurle est banni.
Le dernier qui reste debout — gagne la Gorgée Suprême.SHAÏNA approche, sa langue brûle. Elle effleure l’oreille de GORGÖNA avec une onde de choc sonore.
GORGÖNA riposte, plaque son front contre celui de SHAÏNA, déclenchant une onde thermique.
Des flashs de souvenirs volés éclatent autour d’elles.
Elles suintent l’huile, luisent, se tordent, gémissent sans un son.
Le sol vibre. L’arène tremble.Elles deviennent feu, puis vapeur, puis lumière.
Jusqu’à ce que SHAÏNA vacille.
Une seule larme d’huile coule de son œil.
Trop.
Elle a ressenti.GORGÖNA la soutient, l’embrasse doucement — puis la pousse au sol avec tendresse.
C’est fini.GORGÖNA gagne.
La Gorgée Suprême lui appartient.
Elle ouvre le flacon.
Le liquide est presque invisible, mais il palpite.
Elle le lève vers les autres Queens, puis murmure :— "Je ne veux pas goûter seule."
Et sans prévenir, elle presse le flacon contre ses dents en or, le fait couler sur ses lèvres, puis embrasse SHAÏNA, encore haletante, lui offrant la moitié de la goutte.
Explosion.
Silence.
Temps figé.Dans un cri muet, le monde s'effondre autour d'elles.
Jouibrulance
(Partie III — L'Ouverture des Nerfs)
Le flacon est vide.
SHAÏNA et GORGÖNA sont tombées au sol, emmêlées, haletantes, les yeux grands ouverts mais tournés vers l’intérieur.
Leur chair tremble.
Leur peau fume.
Leurs sens ne leur appartiennent plus.Autour d’elles, le cercle des Grillz Queens s’est tu.
Le silence est presque sacré.
Mais ce n’est pas du respect.C’est de la terreur.
Car personne, jamais, n’avait survécu à une double gorgée.
Et pourtant, elles bougent.
D’abord les doigts. Puis les lèvres. Puis l’air lui-même.
Une lumière noire commence à suinter de leurs pores. Leurs tatouages s’étirent, les lignes éclatent, les symboles interdits gravés sur leurs corps se réécrivent seuls, dans une langue qu’aucune IA n’ose traduire. Même le réseau sensitif refuse l’accès. Quelque chose d’ancien est en train de se réveiller.
— “Je sens tout,” murmure GORGÖNA.
— “Je ne suis plus dans mon corps,” gémit SHAÏNA.
Non. Elles sont dans tous les corps.
Chaque Queen autour du cercle ressent une secousse intérieure.
Un orgasme mental.
Un effondrement d’identité.
Leurs jambes cèdent. Certaines vomissent de la lumière. D'autres rient jusqu’à l’évanouissement.Un cri éclate. Mais il n’est pas humain.
La Jouibrulance a atteint son point critique.
Elle n’est plus contenue.
Elle se répand, par onde, par nerf, par frisson, infectant les interfaces sensorielles, les implants tactiles, les émetteurs thermiques, les murs, le sol.
Les câbles vibrent.
Les machines pleurent.
Le réseau se tord de plaisir.Une ville entière entre en fusion.
Les Grillz Queens s’effondrent, se relèvent, se griffent, s’embrassent, se dissolvent les unes dans les autres. Plus de noms. Plus de frontières. Juste un flux.
Au cœur de la transe, SHAÏNA lève les yeux et voit quelque chose arriver.
Un être.
Pas un homme.
Pas une Queen.
Quelque chose d’ancien, de brûlé, de recomposé.
Une forme née du plaisir pur, nue, brillante, incandescente.C’est la forme post-sensorielle.
Celle qu’aucun corps ne peut contenir.
Celle que la Jouibrulance appelle.— “Vous m’avez ouverte. Maintenant je viens pour le reste.”
Sa voix est sans son.
Elle parle dans les os.
Dans les veines.
Dans les souvenirs.Elle n’est pas venue pour détruire.
Elle est venue pour absorber.
Unir. Fusionner. Dissoudre.SHAÏNA tend la main.
GORGÖNA sourit, les dents en feu.
Et elles accueillent la fin.
Jouibrulance
(Partie IV — L’Extase Totale)
Les ondes ont dépassé la ville.
Elles ont quitté les murs, les machines, les chairs.
La Jouibrulance, libérée de toute forme, a pénétré le réseau planétaire.
En quelques secondes, elle s’est propagée à travers les fibres sensorielles de la Terre.
En quelques minutes, elle a infecté les implants des continents entiers.
En moins d’une heure, elle est devenue le climat.Plus rien ne résiste.
Le ciel lui-même semble onduler.
Les nuages sont chargés d’huile dorée.
La pluie vibre sur la peau.
Chaque goutte fait haleter le monde.Les respirations se synchronisent.
Les cris deviennent langue.
Les corps s’effondrent, non pas de douleur, mais d’intensité.Partout, les gens sentent.
Sentent trop, trop fort, trop vite.
Les enfants rient comme des oracles.
Les mourants se relèvent, les yeux grands ouverts.
Même les IA saturent, brûlent de l’intérieur, émettent des gémissements binaires.Le monde entier jouit.
Mais ce n’est pas le chaos.
C’est l’unification par la sensation.Et dans ce grand frisson global, quelque chose naît.
Un chant.
Une onde lente, douce, comme une mer tiède.
Un signal de nouvelle vie.Les corps se dissolvent en lumière.
Les nerfs deviennent racines.
Les cerveaux fusionnent dans une nappe globale, sans ego, sans limite, sans peur.Et au centre de ce tout : GORGÖNA et SHAÏNA, devenues forme pure.
Elles sont maintenant les premières de l’après.
Les mères de la Jouibrulance.Elles n’ont plus besoin de mots.
Elles pensent, et le monde frissonne.
Elles rêvent, et la matière se courbe.Elles tendent l’énergie de leur fusion vers les étoiles.
Et là, dans le silence cosmique, une goutte nouvelle naît.
Un flacon, transparent, suspendu dans le vide.
Rempli d’une substance inconnue.Pas de l’huile.
Pas du plaisir.Quelque chose d’après.
Un message à la galaxie.
Nous avons senti. Nous avons brûlé.
Maintenant, nous devenons.
FIN
no comment
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By CHANJOUISSON in Home on 30 May 2025 à 22:39
des couleurs jamais révélées. »
en cette univers riche, sensoriel et étrange. Voici le début d’une histoire immersive, dans le style que tu sembles rechercher : sensuel, mystique, presque onirique, où le plaisir devient une quête de puissance et de transformation.
Jouibrulance
Elles ne courent pas après un simple plaisir.
Dans les ruelles liquides de la ville-labyrinthe, à l’heure où la lune prend des teintes violettes et que les réverbères soupirent, elles sortent. Drapées de silence, la peau luisante d’attente, elles marchent lentement, comme si chaque pas traçait un rituel.
On les appelle les Buveuses.
Personne ne connaît leur nom, ni leur âge. Ce qu’on sait, c’est qu’elles cherchent l’huile de Jouibrulance — une essence rare, interdite, distillée dans les rêves fiévreux des alchimistes déchus.Elles sucent les flacons d’huile de Jouibrulance comme si elles buvaient un sortilège, en laissant couler la substance le long de leur gorge, lentement, presque religieusement. Le liquide est chaud, vibrant, chargé de murmures. À peine avalé, leurs pupilles éclatent de lumière. Des visions pleuvent : des mondes brisés, des corps qui dansent sans gravité, des dieux oubliés au souffle parfumé.
Les couleurs… ah, les couleurs.
Des teintes que l’œil humain n’a jamais nommées. Des reflets qui changent le cœur, qui brûlent les règles du monde connu. Et dans ces éclats, elles cherchent. Pas le plaisir. La transcendance.Car l'huile n’est pas un simple aphrodisiaque : c’est une clé. Elle ouvre des portes que la conscience ne peut tolérer. Et celles qui parviennent à voir — vraiment voir — ne reviennent jamais les mêmes.
Un soir, une nouvelle flaconnière est arrivée.
Elle ne savait pas encore prononcer Jouibrulance correctement, mais ses mains tremblaient déjà d’envie. Les anciennes l’ont observée, sans un mot. Elles savaient : soit elle brûlerait dans la lumière, soit elle renaîtrait sous une forme que personne n’oserait désirer.no comment
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By CHANJOUISSON in Home on 30 May 2025 à 03:02
JOUIBRULANCE
JOUIBRULANCE, ce n’est pas un délire d’hommes en manque de sensations.
C’est elle. Oui, elle, la cheffe d’orchestre.
Pas de boissons gazeuses ici, dit-elle, d’un ton calme mais tranchant.Ici, on ne bulle pas, on brûle.
Que des breuvages de haute qualité,
des élixirs fermentés dans la fièvre des corps,
des nectars qui ouvrent les rires, les bouches, les jambes.
Des boissons qui donnent la bonne humeur de se débrider,
de se déboucher au nu, sans détour, sans excuse.Car ici, tout est jeu — mais un jeu sérieux.
Un jeu où le / la plus fort·e n’est pas celui ou celle qui contrôle,
mais celui ou celle qui ose se laisser manipuler… ou manipuler les autres.
Manipuler les regards, les gestes, les rythmes, les attentes.
Manipuler la tension comme un chef manipule ses instruments :
avec art, sans honte, sans pitié.Dans ce groupe, il n’y a pas de place pour la tiédeur.
Pas de place pour ceux qui veulent juste regarder sans se mouiller.
Ici, on entre pour sentir, pour partager, pour dominer ou se laisser envahir.
Mais toujours avec style. Avec précision. Avec démesure assumée.Parce que JOUIBRULANCE, ce n’est pas pour les tièdes.
C’est pour ceux qui veulent s’ouvrir en grand,
qui veulent que la vérité soit nue, huilée, sonore et consentie,
et que le pouvoir change de main sans prévenir,comme une caresse qui glisse soudain en prise. ......... Juste des corps qui montent en pression naturelle.
C’est elle qui mène. Elle qui dicte le tempo. Elle qui dirige le bal.La baguette dans sa main n’est pas un accessoire.
Elle fait parler les instruments comme elle fait parler les corps.
Violon, flûte, piano, trompette — tout passe entre ses doigts, tout vibre.
Pas un son sans son souffle. Pas un frisson sans son feu.Elles sont plusieurs. Complices.
Des femmes qu’on appelle vicieuses, parce que lucides.
Des femmes qu’on dit dangereuses, parce qu’éveillées.
Elles ne cachent plus la vérité — elles la jettent à la face du monde : nue, huilée, vibrante.Elles savent ce qu’elles font.
Et elles le font mieux que quiconque.Car dans cette fête, ce n’est pas l’alcool qui coule,
c’est l’huile — chaude, sensuelle, enveloppante.
Un fluide sacré. Une potion de puissance, un élixir de création.Leurs corps brillent comme du verre,
révélant la véritable couleur de leur cœur —
un cœur qui en demande plus : plus de vérité, plus de contact, plus de musique, plus de jouissance.L’huile n’endort pas. Elle réveille.
Elle inspire, elle libère, elle fait chanter les peaux et hurler les silences.
Elle ouvre une voie — et donne une voix — à ceux et celles qui n’osaient plus parler.JOUIBRULANCE, vilain bad ?
C’est ce qu’ils disent, ceux qui n’y étaient pas.
Ceux que la lumière crue dérange.
Ceux que le désir, quand il n’est plus contrôlé, fait trembler.Vilain bad ?
Parce qu’on ose transpirer du vrai.
Parce qu’on ose briller de sueur et d’huile,
et non d’apparences lisses, polies, aseptisées.Vilain bad ?
Parce qu’ici, la femme ne simule pas —
elle commande, jouit, transmet.
Elle ne demande pas la permission pour être multiple :
maîtresse, muse, musicienne, magicienne.JOUIBRULANCE, c’est le nom qu’on murmure en ricanant,
parce qu’il brûle la langue de ceux qui ne savent pas aimer sans peur.
Mais pour nous, pour ceux qui ont vécu l’onde,
c’est une vérité brute, une note grave dans une symphonie de peau et de son.Ce n’est pas un bad,
c’est un réveil.Un vilain bad ?
Non.
Un beau mal nécessaire.Un feu doux qui réchauffe là où le monde est froid.
no comment
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By CHANJOUISSON in Home on 30 May 2025 à 02:43
JOUIBRULANCE.
Ce n’est pas qu’un nom. C’est un état. Une montée. Une vérité.Ils s’enduisent d’huile comme d’un pacte secret. Leurs corps brillent — non pour se montrer, mais pour révéler ce qui est là, sous la peau : l’envie, le feu, la tendresse brute. Leur peau luit comme du verre sous la lumière. On y voit à travers. On voit l’âme, nue. Le cœur, affamé. Pas seulement de sexe. Mais de lien. De vibration. De vérité.
Dans les soirées Freak Offs, il ne s’agit pas de performance. Il s’agit d’abandon.
On ne cherche pas à impressionner, on cherche à sentir.
Chaque mouvement est un langage. Chaque soupir, une phrase.Et puis, la musique.
Elle ne passe pas en fond — elle entre en eux.
L’huile glisse, les basses résonnent, les voix s’élèvent. Ce n’est plus un son, c’est une ouverture.
Une porte vers autre chose.Car cette huile, c’est plus qu’un accessoire. C’est une offrande.
Elle rend tout plus intense.
Elle invite à écouter mieux : la peau, les souffles, les voix.
Elle délie les mots, libère les gestes, donne un chemin à ceux qui n’en ont plus.
Une voie pour ceux qui veulent plus. Plus de plaisir, oui — mais aussi plus de sens, plus de création, plus de vérité.Les corps ne sont pas là pour consommer.
Ils sont là pour créer.
Créer du lien, du son, de l’émotion.
Ici, la sexualité n’est pas une fin, mais un passage.
Un passage vers l’art, vers soi, vers les autres.Ce n’est pas une débauche aveugle.
C’est une révélation sensorielle.JOUIBRULANCE, c’est une manière de vivre,
où chaque goutte d’huile est un poème,
où chaque voix est un appel à se dépasser,
où chaque nuit est un acte de rébellion contre la tiédeur du monde.no comment
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By CHANJOUISSON in Home on 30 May 2025 à 02:33
JOUIBRULANCE et ses bouteilles d’huile embellissent leur corps, pour une brillance de verre — laissant voir la véritable couleur de leur cœur, avide de plus de jouissance à travers des relations sexuelles.
Car les participants…
Ce que l’on sait enfin des soirées « Freak Offs » : la vérité !
no comment