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Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.
By CHANJOUISSON in Home on 21 June 2025 à 14:26Il jouit ! Elle ne s'arrête pas, il jouit ! Il jouit encore, elle jouit, ils jouissent ensemble, ils ne s'arrêtent jamais ce couple.
S'il te plaît, ne t'arrête pas, je vais jouir ! Elle jouit, il jouit, ils chantent, ils se moquent, de tous car ils font l'amour, ils font du sexe, en sachant que t'es toute seule de ne pas étre en cette ensemble.
Oui,toi!...
Comme moi,Toutes seules, sans être ensemble... Tu veux être en couple, mais tu galères à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que tu trouves beaucoup plus facilement des relations femme-femme. Toi qui pensais t’en servir, c’est elle qui prend son plaisir sur toi, parce qu’elle est dans ce domaine caché depuis toujours.
Ils ont besoin de continuer SANS TOI,SANS EUX, de ne pas s'arrêter pour atteindre cet orgasme sublime.
"Arrete pas je vais jouir !" "S'il te plaît, ne t'arrête pas, ça fait trop bien !" de vous écouter,regarder "Je voulais me retenir, mais à la fin je jouisToutes seules, sans être ensemble...Je veux être en couple, mais je galère à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que je trouve beaucoup plus facilement des relations avec mes copines surtout des copines salopes des autre,haAAn,ouuuaiiis!!!.
Des relations femme-femme..Toi qui croyais pouvoir t’en servir tranquille, seul, c’est'elle qui te bouffe le plaisir, parce qu’elle maîtrise ce bordel depuis toujours, avec moi.
Qu’est-ce que tu croyais, JOUIBRULANCE ? Que t’étais seul à jouer dans cette merde ?
Tu cherches, tu espères, mais au final c’est elle qui mène le jeu, et toi, tu restes seul,à t'épuiser à transpirer à te demander où est ce que ça coince en son cul.
Fais gaffe en toi, Fais gaffe à toi,..à ton cul car elle va t’enculer avec un strap-on
Un gode solidement fixé à une ceinture réglable, conçue pour s'ajuster parfaitement à la taille, à la manière d'une ceinture de jean, assurant un maintien optimal pendant l'utilisation.
Ce n’est pas un jouet : sa longueur peut atteindre jusqu’à 27 cm, assez pour aller profond, et sa largeur, souvent entre 2,5 et 5 cm, te remplit bien.Elle te maîtrise comme si t’étais rien d’autre qu’un bât*rd de capote trouée....
Et tu comprends même pas comment t’en es arrivé là.
Tes deux mains sont plaquées au mur, incapables de résister.
Ses doigts s’enfoncent dans tes hanches, avec une force presque cruelle.
Elle te bouscule sans retenue, sans pitié.
Elle te brise, littéralement.
Et ses mots... ce ne sont pas des insultes ordinaires.
Ce sont des mépris, lancés comme des lames. Des vérités hurlées, crachées, que t’as jamais entendues. Et ça te fait pleurer et jouir! à la fois plusieurs fois mème.
Ce n’est pas du plaisir. C’est de la douleur… une douX l'HEURE qui déborde,en secondes qui monte comme une minute de jouissance volée en heures sale, impossible à assumer en ce jour ."
car elle va te surprends avec son accessoire bien attaché. Sa taille peut atteindre les profondeurs, et sa forme te remplit là où tu ne t’y attends pas.
JOUIIIiiiiiiiis!!!! salaud! pour la salope que je suis
Toi qui pensais maîtriser le jeu, seule, c’est elle qui mène la danse, parce qu’elle connaît ce secret depuis toujours, avec moi.
Qu’est-ce que tu croyais, Jouibrulance ? Que tu étais la seule à connaître ces règles du jeu ?
" "Oui, c'est bon,je n'arrête pas, de lire ton texte, je jouiiis."
Ce ricanement court, cassant, qui claque comme un fouet dans le silence, sans la moindre indulgence
Tous les couples, toutes les f*lles, tous les gars sont absorbés dans ce texte. Certains pétillent, leur bouche tremble, leur corps palpite comme un feu brûlant à fleur de peau.Ils s’ouvrent grand, s’immergent, se connectent, leurs cuisses s’entrelacent dans ce flot d’écriture.
Certains s'éclatent de bien mouiller dans ses cheveux, se cachent dans la culotte qui explosent partout, 12 lots de trois slips dans chaque souffle, chaque mot. Le silence est brisé, et ils murmurent, haletants :
Dans une pièce étouffante où la lumière tremblait, un rire sec déchirait le silence.
C’était un rire tranchant, rapide, comme le claquement d’un fouet, sans aucune douceur ni pitié.
Autour, les corps semblaient flotter dans une étrange transe, mêlant le chaos et la folie.
Ils étaient là,
tous ensemble,
couples désordonnés,
jeunes femmes
et jeunes hommes,
vieux,vielles pris dans une danse sauvage où les limites s’effaçaient.
Les sons de leurs corps résonnaient, étranges, presque grotesques : des éclats, des souffles, des rires nerveux.
On entendait des choses folles
— des flatulences s’échappant ici et là, dans la bouche, sur les cuisses, dans les cheveux, partout à la fois, comme un carnaval déjanté.
« Ne t’arrête pas, je brûle, » murmuraient-ils, enfiévrés, comme s’ils défiaient les règles, la bienséance, le monde lui-même.
Et ce rire, ce cri sans remords, continuait de claquer dans l’air, emportant avec lui toute illusion de contrôle.
C’était une nuit où les corps s’abandonnaient, où la folie, le désir et le grotesque se mêlaient sans filtre.
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