• Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Il jouit ! Elle ne s'arrête pas, il jouit ! Il jouit encore, elle jouit, ils jouissent ensemble, ils ne s'arrêtent jamais ce couple.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    S'il te plaît, ne t'arrête pas, je vais jouir ! Elle jouit, il jouit, ils chantent, ils se moquent, de tous car ils font l'amour, ils font du sexe, en sachant que t'es toute seule de ne pas étre en cette ensemble.

     Oui,toi!...

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Comme moi,Toutes seules, sans être ensemble... Tu veux être en couple, mais tu galères à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que tu trouves beaucoup plus facilement des relations femme-femme. Toi qui pensais t’en servir, c’est elle qui prend son plaisir sur toi, parce qu’elle est dans ce domaine caché depuis toujours.

    Ils ont besoin de continuer SANS TOI,SANS EUX, de ne pas s'arrêter pour atteindre cet orgasme sublime.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    "Arrete pas je vais jouir !" "S'il te plaît, ne t'arrête pas, ça fait trop bien !" de vous écouter,regarder "Je voulais me retenir, mais à la fin je jouisToutes seules, sans être ensemble...

    Je veux être en couple, mais je galère à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que je trouve beaucoup plus facilement des relations avec mes copines surtout des copines salopes des autre,haAAn,ouuuaiiis!!!.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Des relations femme-femme..Toi qui croyais pouvoir t’en servir tranquille, seul, c’est'elle qui te bouffe le plaisir, parce qu’elle maîtrise ce bordel depuis toujours, avec moi.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Qu’est-ce que tu croyais, JOUIBRULANCE ? Que t’étais seul à jouer dans cette merde ?

    Tu cherches, tu espères, mais au final c’est elle qui mène le jeu, et toi, tu restes seul,à t'épuiser à transpirer à te demander où est ce que ça coince en son cul.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Fais gaffe en toi, Fais gaffe à toi,..à ton cul car elle va t’enculer avec un strap-on

    Un gode solidement fixé à une ceinture réglable, conçue pour s'ajuster parfaitement à la taille, à la manière d'une ceinture de jean, assurant un maintien optimal pendant l'utilisation.

     Ce n’est pas un jouet : sa longueur peut atteindre jusqu’à 27 cm, assez pour aller profond, et sa largeur, souvent entre 2,5 et 5 cm, te remplit bien.Elle te maîtrise comme si t’étais rien d’autre qu’un bât*rd de capote trouée....

    Et tu comprends même pas comment t’en es arrivé là.

    Tes deux mains sont plaquées au mur, incapables de résister.

    Ses doigts s’enfoncent dans tes hanches, avec une force presque cruelle.

    Elle te bouscule sans retenue, sans pitié.

    Elle te brise, littéralement.

    Et ses mots... ce ne sont pas des insultes ordinaires.

    Ce sont des mépris, lancés comme des lames. Des vérités hurlées, crachées, que t’as jamais entendues. Et ça te fait pleurer et jouir! à la fois plusieurs fois mème.

    Ce n’est pas du plaisir. C’est de la douleur… une douX l'HEURE qui déborde,en secondes qui monte comme une minute de jouissance volée en heures sale, impossible à assumer en ce jour ."

    car elle va te surprends avec son accessoire bien attaché. Sa taille peut atteindre les profondeurs, et sa forme te remplit là où tu ne t’y attends pas.

    JOUIIIiiiiiiiis!!!! salaud! pour la salope que je suis

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Tu tiens là une phrase très forte, viscérale, criée autant par le corps que par la bouche

    — un cri de domination, de vengeance, de désir tordu.

    SiIIiiii tu le veux vraiment l'intégrer dans ses mots plus intense

    « Tiens-toi là, salope. Prends ça, bordel ! Tu le veux, hein ? Espèce de pute avide, tu le sens bien en toi, cette foutue brûlure ? C’est bon,dans ton cul

    Chouine!!! chouines encore enculé comme une m*rde ?
    Vas-y, encaisses çà!.OUIIIIiiiii!!!! jouis! encore, C’est profond, putain, bien profond. Tu vas rien oublier, espèce de traînée. »


    Veux-tu que je continue dans cette veine ?

    Et est-ce que tu préfères que ça reste uniquement brut

    ou tu veux aussi mêler un peu d’émotion ou de tension psychologique ?

     Voici,voilà quelques manières de la sublimer enculer enflure je vais  l’intégrer dans un contexte narratif, sans en amoindrir la brutalité :


    En Version directe et rythmée (scène intense) :

    Elle le prend sans douceur, l’accessoire bien sanglé à ses hanches, s’enfonçant en lui comme un verdict. Il gémit, vacille.
    Et elle hurle, les yeux brûlants de rage et de plaisir :

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.


    — JOUIIIiiiiiiiis !!! Salaud ! Pour la salope que je suis !


    Cette Version plus stylisée (pour roman ou nouvelle érotique) :

    Le rythme est brutal.

    Les reins claquent,

    les mains serrent,

    la chair plie.
    Et dans un souffle déchiré, elle crache :
    — Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.
    Ce n’est pas une demande. C’est une sentence.


    Tu veux que je t’aide à écrire la suite de cette scène ?

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Ou l’introduire dans un cadre plus large

    — un texte érotique, une domination psychologique, une tension entre les personnages ? Je peux t’accompagner 

     

     Jouibrulance va en redemander, les yeux grands ouverts, presque à verser des larmes de plaisir qu’elle ne peut contenir.

    Elle lui balance encore, dur, sans pitié. Il garde ce foutu ballon rouge,

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    comme une muselière, coincé entre ses dents, la bave dégoulinant le long de ses lèvres tremblantes. Il hoche la tête, sauvagement, comme un putain d’animal affamé, sans pouvoir prononcer un mot, incapable de faire autre chose que supplier silencieusement.

    Ses yeux brillent de cette faim débordante, cette envie sale, brutale. Il en veut plus, toujours plus. Et elle le sait.

    « Vas-y, bouffe ça, espèce de sale chien. Tu réclames encore ? »
    Il grogne, son souffle rauque prisonnier du ballon, la bave éclaboussant autour. Plus rien d’humain dans ce regard, juste ce désir crasse d’encaisser, d’absorber chaque morceau, chaque ordre.
    Elle sourit, cruelle. « Tu mérites ça, enfoiré. Alors prends. »

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.Son rire, un ricanement cruel, glacial, résonne dans la pièce, laissant une trace amère au creux des oreilles

     Toi qui pensais maîtriser le jeu, seule, c’est elle qui mène la danse, parce qu’elle connaît ce secret depuis toujours, avec moi.

     

    Qu’est-ce que tu croyais, Jouibrulance ? Que tu étais la seule à connaître ces règles du jeu ?

     

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    " "Oui, c'est bon,je n'arrête pas, de lire ton texte, je jouiiis."

    Ce ricanement court, cassant, qui claque comme un fouet dans le silence, sans la moindre indulgence

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Tous les couples, toutes les f*lles, tous les gars sont absorbés dans ce texte. Certains pétillent, leur bouche tremble, leur corps palpite comme un feu brûlant à fleur de peau.

    Ils s’ouvrent grand, s’immergent, se connectent, leurs cuisses s’entrelacent dans ce flot d’écriture.

    Certains s'éclatent de bien mouiller dans ses cheveux, se cachent dans la culotte qui explosent partout, 12 lots de trois slips dans chaque souffle, chaque mot. Le silence est brisé, et ils murmurent, haletants :

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Dans une pièce étouffante où la lumière tremblait, un rire sec déchirait le silence.

    C’était un rire tranchant, rapide, comme le claquement d’un fouet, sans aucune douceur ni pitié.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Autour, les corps semblaient flotter dans une étrange transe, mêlant le chaos et la folie.

     

    Ils étaient là,

    tous ensemble,

    couples désordonnés,

    jeunes femmes

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    et jeunes hommes,

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    vieux,vielles pris dans une danse sauvage où les limites s’effaçaient.

    Les sons de leurs corps résonnaient, étranges, presque grotesques : des éclats, des souffles, des rires nerveux.

    On entendait des choses folles

    — des flatulences s’échappant ici et là, dans la bouche, sur les cuisses, dans les cheveux, partout à la fois, comme un carnaval déjanté.

     

    « Ne t’arrête pas, je brûle, » murmuraient-ils, enfiévrés, comme s’ils défiaient les règles, la bienséance, le monde lui-même.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Et ce rire, ce cri sans remords, continuait de claquer dans l’air, emportant avec lui toute illusion de contrôle.

     

    C’était une nuit où les corps s’abandonnaient, où la folie, le désir et le grotesque se mêlaient sans filtre.

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