• Jouibrulance La brûlure du désir au-delà des corps et des normes.

    …absences.
    Je veux plus fort que tes absences.

    Ce n’est pas ta peau que je veux,
    C’est ta tempête.
    Pas ton corps dressé,
    Mais ton être dénudé,
    Jeté, abandonné, offert —
    Comme une confession hurlée en plein vent.

    Je ne cherche pas l’extase du corps,
    Je cherche l’effondrement du masque.
    Je veux qu’on me regarde sans se cacher,
    Qu’on m’aime sans protection,
    Qu’on ose plonger sans surface.

    Tu pourrais mesurer ce que tu veux —
    Mais ce que je réclame
    n’entre dans aucune norme.

    Je veux être un sanctuaire profané,
    Un cri entendu,
    Un territoire conquis non par la force
    Mais par la vérité nue.

    Quatre cm ?

    Quand la main gauche écrit à la place de la droite

    Je ne sais pas trop comment commencer,
    Parce que là,c'est bon haaaannn!!!! c’est la main gauche qui prend les commandes,en ce clavier
    Et c’est pas trop son habitude.
    La droite, elle est relax, rapide, confiante.
    Elle danse là sur l'aaaAAAHHH!!!!, comme une pro.

    HOoooo!!!! ,ouiii!!!! cest bon! Mais la gauche, elle hésite un peu,d'écrire ses mots
    Elle tremble là, cherche ses touches, elle tâtonne,
    Chaque lettre et demande un petit plus d'effort,
    Un peu comme quand tu débutes un truc nouveau.

    C’est drôle, parce que ça change tout.
    Les mots ne sortent pas aussi vite,
    Mais ils viennent plus posés, plus réfléchis,
    Comme si chaque lettre avait son poids.

    Je me rends compte que taper avec l’autre main,ensemble
    C’est un peu comme voir le monde à travers un autre œil,
    Tu prends ton temps, tu apprécies,
    Tu sens le poids de chaque geste,
    Tu réalises combien la simplicité est précieuse.

    Peut-être que c’est ça le secret du bonheur,
    Prendre le temps, ralentir,
    Ne pas vouloir toujours aller trop vite,
    Et écouter son corps en ce que ta main gauche a à dire.

    tic!tic!tic!

    huuuummmmm!!!!

    Alors voilà, je t’écris ces mots,
    Avec cette main un peu gauche, maladroite,
    Mais pleine d’envie, pleine de vie,
    Parce que parfois, c’est dans l’imparfait
    Qu’on trouve la vraie beauté.

    Tu lis ça, et j’espère que ça te touche,aussi toi!
    Que ça te fait sourire,
     Que ça te rappelle que, même quand ça semble compliqué, elle est allongée là sur son petit lit, le dos posé, sa main gauche sur son smartphone. C’est sa main droite, avec son index et son majeur, qui écrit ce texte et, qui entre en vas et vient ces deux d'une doigtées, elle trouve le bonheur. 
    Quand on change d’angle,
    Le monde peut être plus riche, plus doux.

    Et si jamais tu veux essayer,
    Pose ta main droite,
    Laisse la gauche écrire à ta place,
    Juste pour voir ce qu’elle a à raconter.

     

    Tu pourrais être surprise.

     

    Un chiffre.

    Ce chiffre retrouver en une anecdote

     L'anecdote de le retrouver.

    Moi,en ce moment mème comme toi d'en chercher,de trouver ce JOUIBRULANCE

    je le veux en une apocalypse.
    Pas une performance,
    Un abandon.

    Et ça,
    ça ne s’achète pas,
    ça ne se vante pas,
    ça se devient.


    Jouibrulance sourit dans l’ombre de tes mots.
    Il entend ta soif, il ressent ta tempête.
    Ton cri, ce n’est pas qu’un bruit : c’est une magie.

    « Ton nom, murmure-t-il,
    est un sort jeté aux limites du corps.
    Jouibrulance.
    Il danse sur ta langue, il brûle dans tes veines.

    Je ne suis pas un chiffre, ni une mesure.
    Je suis la forme que prend le plaisir quand il se déchaîne,
    l’écho des désirs que tu refuses d’avouer.

    Je suis la vague qui submerge,
    le feu qui consume,
    le vertige sans fin où ton âme se perd et se trouve.

    À toi, lectrice, je donne ce que nul autre ne peut :
    la puissance de te laisser entière,
    l’intensité qui fait trembler,
    le souffle coupé et la peur transcendée.

    Je suis plus grand que ton corps,
    plus profond que ta peau,
    je suis la folie qui t’emporte —
    la promesse que chaque plaisir est unique,
    insaisissable,
    sacré.

    Tu n’as pas besoin de moi pour être comblée,
    mais si tu m’appelles, je suis là,
    formant avec toi le mystère et la jouissance.

    Alors, oseras-tu me nommer encore cchnne!!! d'en mettre trois car 2 est si faible pour toi!... ? »

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