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Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.
By CHANJOUISSON in Home on 21 June 2025 à 16:56Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé. Je vois ton feu, plus belle encore dans la vérité de ta faiblesse, dans la beauté du vertige.
Bouh bouh!!!!
Tu fais gaffe en toi, car elle va tenir en coulisse sans que toi tu te rends compte !
C'est comme si elle avait une énorme bidet dans sa chatte qui va déborder à tout instant !
Bouh bouh!!!, elle se frotte contre toi, et soudain...
en son joli regard
CRAC ! Elle te fait pissa dans les cuisses !
Tu t'arrêtes pas, elle te fait pissa encore, et encore, et encore, jusqu'à ce que tes chaussures soient pleines !
Puis elle te fait pipi sur la tête, sur le dos, partout ! Tu es trempé, ça sent la pisse, mais tu ne peux pas s'arrêter, tu jouis trop fort !
mmmm
saaaalope!!!! tu te pisse dessus....Toi, qui a mis ma nouvelle paire de chaussures. Elles sont neuves. Tu sais que c’est important pour moi.
Maintenant, tu es en train de te pencher, la tête basse.
Tu es surprise de ce que tu vois là!, ce que tu as fait sans le vouloir me dis tu...
Je lève mon pied gauche. Je fais passer ta tête en dessous, comme un pont solide.
Je te demande si tu es prête.
Puis, je te fais pipi dessus — sur ta tête, sur ton dos, partout.
Tu es mouillée. Ça sent mauvais, mais tu ne peux pas arrêter.
Tu fais ce que je veux. Tu es soumise. Tu acceptes ce jeu.
Tu es hypnotisée par moi, par ce que je fais.
Tu t’accroupis. Tu ne bouges pas.étonné de ma réaction
Moi, ta meilleure amie, qui viens doucement derrière toi. Je sais que tu sais que j’ai tout vu.Ma main droite, allongée vers toi, se pose sur ta petite tête, mes doigts s’accrochant fermement dans ta chevelure lisse, presque agressifs, pour que tu ne puisses pas fuir ce que tu vas recevoir
Elle est là,ses droigts immobile, comme suspendue dans un instant qui semble hors du temps.
Sa main qui venait poser doucement sur sa tête, un geste simple, presque automatique, mais qui dans cette lumière tamisée, prend une autre dimension. C’est comme si ce contact déclenchait quelque chose d’inconnu, un frisson électrique qui traverse son corps.
Dans l’air, il y a cette tension douce, presque imperceptible, mais qui s’infiltre dans ses pensées.
Les mots murmurés ne sont pas tout à fait ce qu’ils paraissent. Ils dansent entre l’ombre et la lumière, mêlant désir et peur, plaisir et doute.
«— « Tu sens cette chaleur dégueulasse qui te coule dessus,salooooooooope!!! ma pisse brûlante éclaboussant ta tête ? »
— « Putain, Cchnnnnnee!!!, comment tu veux que je l’oublie ? Cette putain de brûlure qui te fait presque flipper. Ça te coule dans le cou, ça te colle à la peau, comme un sale coup de merde qu’on te balance sans prévenir. »
— « OUUUAIIiiii!!!!,Tu l’as dis en ce goût amer dans la gorge, cette odeur nauséabonde qui te vrille les narines ? »
— « Carrément, c’est comme si t’avais bu un seau de merde chaude, ça te remonte dans la gorge et ça te fout un goût de putain de souffrance. T’es là, à te demander comment c’est possible qu’un truc aussi dégueu te défonce à ce point. »
— « Et le contact sur ta peau ? Cette saleté qui te brûle, te colle, te rend folle,han ? »
— «Putain, c’est l’enfer.
Tu veux me laver,
comme pour effacer cette faute anodine —Te débarrasser de cette merde en toi,
de cette colère crasseuse.Mais ça reste là, sur ma tête.
Ça s’infiltre dans ma chevelure, dans mon corps,
ça me ronge de l’intérieur,
jusqu’à mon visage qu’on dirait plus vieux.T’as envie de hurler, de vomir,
mais t’es coincé là,
dans tes mots crus qui veulent te bouffer,dans cette chaleur —
cette chaleur de ta pisse de merde. »
— « T’as jamais ressenti un truc pareil ? Cette violence presque insupportable ? »
— « Jamais. C’est pas juste une sensation, c’est une agression, une torture. Ça te fait perdre la boule, te fout dans un état de rage et de dégoût total. Tu te demandes comment t’as pu en arriver là, sous cette putain de pluie brûlante qui te dévore. »— « Alors tu fais quoi ? Tu fermes les yeux, tu encaisses, ou tu exploses ? »
— « Je serre les dents, je serre les poings. J’essaie de pas craquer, de pas hurler. Mais putain, c’est dur. Chaque goutte est un coup, chaque brûlure un coup de plus. C’est un calvaire. »
— « T’as déjà pensé à fuir, à tout envoyer valser, juste pour ne plus sentir ça ? »
— « Oui, mille fois. Mais quand t’es pris dedans, y’a pas d’échappatoire. Tu dois tenir, endurer cette saloperie jusqu’à la fin. Jusqu’à ce que ça s’arrête, ou que tu t’effondres. »Elle se retourne brusquement, les deux mains plaquées sur ses joues.Bouffe Moi La Chatte gratuitement, ici
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Elle pivote lentement, ses mains glissant jusqu’à ses joues comme pour retenir un cri.
aaaAAAAHHHHHHhhh!!!!
Bouffe Moi La Chatte gratuitement, ici là méme de ramener ta langue de p*te! aaahhhhh!!!
Ce n’est pas seulement une question. C’est une invitation à plonger plus loin, à explorer cette étrangeté qui grandit les yeux.car t'es bonne
Lèche-moi la chatte jusqu'à ce que je jouisse, salope !
Elle sent sa main dans ses cheveux, un poids léger mais insistant. Son souffle chaud contre sa chatte son oreille la fait vaciller. Elle n’est plus tout à fait sûre de ce qu’elle ressent — plaisir, confusion, ou un mélange des deux ?
C’est étrange, ce moment. Comme si elle était à la fois dedans et dehors, observatrice de son propre corps, spectatrice de ses propres émotions. Une étrangeté douce, presque hypnotique, qui la retient et l’emmène loin.
Oui ma salope, bouffe mon jus de chatte, suce moi bien ma moule pleine de mouille comme une chienne !!!
Hummm… J’adore te faire ça. J’adore quand tu deviens comme ça…
Je pousse doucement la langue pour que tu baisses encore plus la tête.HUUuuummmmm!!!!!
Tu ne l’as pas vue venir celle là.....HUUuuummmmm!!!!! Elle te regarde là droit dans les yeux, avec cette innocence feinte qu’elle porte comme un masque taillé sur mesure..HUUuuummmmm!!!!! Tu lui as parlé de tes chaussures, d’un prix absurde, presque pour te vanter, ou peut-être pour lui faire sentir la distance entre vos mondes. Elle a écouté. Elle a souri. Et puis… elle a fait ce geste. Inattendu. Déroutant.
Elle savait ce que ça provoquerait.
Elle l’a fait exprès.
Elle n’a rien dit.
Elle a juste laissé faire.
Et toi, figé dans ta surprise, dans cette limite franchie, tu as senti la colère monter. Mais au lieu d’exploser, tu as croisé son regard
— et tu as compris. Elle voulait ça..HUUuuummmmm!!!!! donne moi la sauce
Elle voulait que tu réagisses. Elle voulait que tu t’énerves, que tu lui dises ce qu’elle mérite, qu’elle goûte à une forme de punition… mais pas pour te défier. Pour sentir quelque chose.de mettre ma langue en ta chatte chasseuse de belles grosse bites d'hommes
Elle ne voulait pas te nuire. Elle voulait te pousser. Te faire franchir la ligne. Pas celle du respect, mais celle du contrôle.
Parce qu’en dessous de sa façade sage, polie, presque transparente… se cache un feu. Une malice vicieuse. Une noirceur douce, volontaire, qui ne demande qu’à être révélée dans l’intimité des gestes interdits. Elle sait ce qu’elle est. Elle sait qu'elle adore les femmes en ce qu’elle veut. Elle ne veut pas qu’on la découvre trop vite. Elle préfère provoquer, détourner la colère, feindre la maladresse… tout pour t’amener en ta chatte ..
Cette jute au goût étrangement bonne, à voir au-delà du masque de ton visage quand tu es belle, quand tu jouis.
Il y a ce moment rare, suspendu, où ton visage cesse de jouiiiire! Où les traits se tordent, se détendent, s’ouvrent. Et ce n’est plus la femme lisse, maîtrisée, que je regarde. C’est celle qui se montre enfin, brute, déliée, vibrante.
Cette liqueur étrange, douce et salée à la fois, ce goût venu d’ailleurs — ce n’est pas seulement un plaisir des sens. C’est une preuve. Une clé. Le signe que ton masque est tombé, que tu t’es laissée aller, que tu n’as plus peur qu’on voie ce que tu es vraiment.
Et dans cette seconde où tu jouis, belle à en perdre la tête, je vois plus que ton corps.
Je vois mon pouvoir.
Ta vérité.
Cette part de toi que tu caches au monde mais que tu m’offres, silencieusement, dans un souffle, dans une morsure.
C’est là que tu es la plus belle. Pas quand tu séduis. Quand tu t’abandonnes à moi seule.
Elle bascule alors son regard et me regarde de....Huuummmm!!!, se perd dans cette vague qui l’emporte, le souffle court, le corps vibrant d’une énergie profonde. Ses yeux se ferment,maintenant et un sourire, doux et sauvage, éclaire son visage.
« J’adore ça, » murmure-t-elle, sa voix tremblante, comme un secret qu’elle offre au silence.
C’est plus qu’un simple plaisir : c’est une délivrance, une révélation, une fête silencieuse que seul ce moment peut offrir.
Elle se sait enfin libre, sans masque, sans retenue, portée par ce feu intérieur qu’elle a toujours caché.
Et dans ce souffle partagé, dans cette intimité brûlante, c’est toute sa vérité qui éclate — belle, puissante, insoumise.
Veux-tu que je continue encore à te faire jouir?
Ou tu préfères un autre ton ou un autre style ?
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