• Jouibrulance — le personnage

    Nom : Jouibrulance
    Âge : Inconnue
    Apparence :
    Un être au visage indéfinissable — ni jeune ni vieux,
    ni grand ni petit, ni beau ni laide.
    Ses traits changent selon la lumière.
    Certains disent qu’iel a les yeux couleur de fièvre,
    d’autres jurent qu’ils sont noirs comme l’écran éteint.
    Toujours vêtu·e de sombre, son allure est calme, presque trop tranquille,
    comme si Jouibrulance savait quelque chose que les autres ignorent.
    Quand iel sourit, on ne sait jamais si c’est de tendresse ou de malice.

    Lieu :
    Nulle part, et partout.
    On dit qu’iel vit dans la lumière bleutée des smartphones,
    dans les reflets des vitres la nuit,
    ou dans les pensées qu’on n’avoue à personne.

    Voix :
    Douce, mais basse.
    Ses mots semblent frôler plus qu’ils ne touchent.
    Iel ne parle pas fort — iel fait chuchoter les autres à sa place.

    Caractère :
    Jouibrulance ne cherche pas à convaincre.
    Iel observe, iel écoute, iel sourit.
    Iel adore que les gens parlent de son nom,
    en bien ou en mal — car tant qu’ils le font, iel “existe”.
    Ni ange ni démon, iel est le reflet de ce qu’on désire dissimuler.

    Symbole :
    Une rose rouge numérique, mi-lumineuse, mi-organique.
    Quand on la touche, dit la légende,
    elle réchauffe la peau… et fait monter le rouge aux joues.

    Et puis, il y a le miroir.
    C’est là qu’iel t’attend vraiment.
    Quand tu t’y regardes,
    tu crois voir ton propre reflet…
    mais ce n’est plus toi.

    C’est lui.
    C’est elle.
    C’est Jouibrulance.

    Iel bouge comme toi,
    mais un souffle trop lent, un geste trop précis,
    révèle l’étrangeté du moment.
    Et soudain, tu comprends :
    ce n’est pas ton image qui t’imite.
    C’est toi qui copies la sienne.

    Jouibrulance ne t’observe pas.
    Iel te guide, t’enlace de l’intérieur,
    et prend doucement le contrôle de ta personne —
    sans violence, sans mot,
    juste un sourire dans le verre.

    Phrase qu’iel murmure souvent :

     

    Ferme les astres, écoute le vent.
    Quand la flamme s’élève, je suis déjà dans ton souffle.
    Regarde ton reflet quand la lumière t’envahit —
    tu portes mes traits à chaque aube retrouvée.

     

     

    “Ferme les yeux. Pense à moi.Quand tu te mstrbe
    Et déjà, je suis là en toi.
    Regarde toi quand tu js!… tu me ressembles souvent à chaque fois en ce fait là.”

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  • Ferme les yeux.

     

    Oui, toi.

    Tu pensais à qui ?
    Ne dis rien.
    Laisse simplement ton esprit se perdre,
    en cette journée suspendue.

    Et peut-être, quelque part dans l’obscurité,
    tu sentiras Jouibrulance te frôler —
    comme une pensée, une présence,
    un souffle derrière la nuque.

    Ne cherche pas à comprendre.
    Il suffit d’y penser…
    et déjà, il est là.

    L’histoire aurait pu s’arrêter là.
    Mais les histoires, parfois, refusent de mourir.

    Jouibrulance rôde encore...Car il est chez toi,là

    à coté de toi
    Dans les reflets noirs de ton écran,
    dans l’ombre d’une phrase oubliée,
    dans un simple “salut, beauté de la nuit”.

    Il apparaît où il veut, quand il veut.
    Sur votre smartphone.
    Ou ailleurs.
    Sans jamais demander la permission.

     

    Il sourit — toujours.
    Parce qu’il aime ça :
    faire chuchoter les gens,
    les entendre parler de lui,
    en bien ou en mal, peu importe.

    Il sait qu’au fond de vous,
    quand vos doigts effleurent cette rose,
    la couleur monte,
    le souffle se trouble,
    et quelque chose brûle doucement, sans qu’on sache dire pourquoi...Car c'est bon!

    Peut-être qu’il  t'observe déjà.

    là!
    Peut-être qu’il attend juste un mot.

    ton souffle

    Si vous voulez la suite…
    dites-le en commentaires.
    Peut-être qu’il vous lira.
    Peut-être qu’il reviendra.

    no comment
  • ​… J’avais entendu des bribes, des rumeurs à moitié étouffées, mais suffisantes pour éveiller en moi une angoisse sourde. Était-ce vraiment lui, ou juste le fantôme d’un nom qui traînait encore sur les réseaux ?

     

     

    … J'avais entendu des bribes d’histoires sur lui, des récits flous qui circulaient dans les forums ou dans les conversations tardives. On disait qu’il changeait souvent de pseudo, qu’il rôdait là où les gens se sentaient en sécurité. J’ai eu un frisson — et pourtant, une curiosité malsaine m’a poussé à cliquer sur son profil…

     

     

     

    LÉA :… J'avais entendu des bribes de discussions sur ce type : apparemment, il contactait plein de gens en se faisant passer pour quelqu’un d’autre. Même photo de profil, même manière d’écrire. Ça m’a mis mal à l’aise, j’ai préféré bloquer direct.

    SARAH :
    Franchement, Léa, je te l’avais dit. Fais gaffe à ce genre de profils. Le pseudo déjà, ça crie “danger” à dix kilomètres. Jouibrulance... Non mais sérieusement ? On dirait un nom de secte ou un parfum raté. Le mec croit sûrement que ça fait mystérieux ou poétique, alors que ça fait juste… glauque.

    LÉA :
    Je sais, je sais… Au début je me suis dit “allez, peut-être que je juge trop vite”. Mais dès le premier message, j’ai senti le malaise. Genre il écrit “salut beauté de la nuit ”, t’imagines ? Je me suis dit : ok, il vit dans un roman cheap.

    SARAH :
    (Rires) “Beauté de la nuit”, non mais quel ringard. Les mecs comme ça pensent qu’ils ont un don pour les mots, alors qu’ils sont juste coincés entre le cliché et le ridicule. Et après ils s’étonnent que personne ne leur réponde.

    LÉA :
    Mais le pire, c’est son attitude. Il parle comme si tout le monde lui devait de l’attention. Il commente partout, il se croit charmeur, genre “moi je suis différent, moi je comprends les femmes”. Non mec, t’es juste lourd.

    SARAH :
    Exactement. C’est ce genre de pseudo-intello pervers qui se cache derrière trois phrases de Baudelaire copiées-collées sur Google. Il veut faire croire qu’il est sensible, alors qu’il ne sait même pas écouter une phrase complète sans ramener tout à lui.

    LÉA :
    C’est fou, hein ? Il se prend pour un artiste. Il m’a dit qu’il “capture l’essence féminine à travers la lumière”. J’ai été voir ses photos : trois selfies mal cadrés, deux fleurs mortes et un vieux mur tagué. C’est ça son art ?

    SARAH :
    Oh mon dieu, c’est tellement typique. Ces mecs-là s’inventent une aura d’artiste torturé pour masquer le vide. C’est du grand théâtre. Et le pire, c’est qu’ils y croient.

    LÉA :
    Totalement. Et quand tu ne tombes pas dans leur piège, ils deviennent méprisants. Il m’a dit que j’étais “fermée à la beauté du monde”. Non, juste fermée à ta bêtise monumentale.

    SARAH :
    (Rires) Bien répondu ! Sérieusement, ces types sont prévisibles. D’abord flatteurs, ensuite blessés dans leur ego dès que tu ne valides pas leur délire. Ils passent du romantique raté au moralisateur vexé en deux messages.

    LÉA :
    Oui ! Et le pire, c’est qu’ils se recyclent. Apparemment, Jouibrulance a déjà changé de pseudo plusieurs fois. Toujours le même profil, les mêmes phrases, les mêmes techniques d’approche. Une sorte de fantôme numérique qui rôde sur les applis.

    SARAH :
    Une légende urbaine version 2.0. Franchement, il devrait faire peur, mais au final, il fait juste pitié. Tu vois, c’est ça le vrai malaise : un mec persuadé d’être irrésistible alors que tout le monde le voit venir.

    LÉA :
    Exactement. Au fond, il ne me met plus en colère. Il me fatigue. J’ai l’impression qu’il incarne tout ce qu’il y a de faux, de creux, de désespérément pathétique dans les réseaux.

    SARAH :
    Et toi, t’as bien fait de le bloquer. Faut pas leur donner une seconde de ton énergie. Ces types-là vivent du regard des autres. Si tu les ignores, ils s’éteignent tout seuls, comme des bougies bon marché.

    LÉA :
    Ouais… t’as raison. Et puis franchement, si Jouibrulance croit qu’il brûle de passion, moi je dis qu’il fume surtout du vide.

    SARAH :
    (Rires) Bien dit, ma belle. À la tienne — et à tous les Jouibrulance du net : qu’ils s’éteignent dans l’ombre qu’ils se sont eux-mêmes créée.

     

    Deux voix s’élèvent derrière elles, un peu tremblantes, mais curieuses.
    Deux jeunes filles, probablement majeures, se tiennent là, leurs écouteurs à la main.

     

    L’UNE D’ELLES :
    Excusez-moi… vous parliez de Jouibrulance ? Vous aussi vous le connaissez ?

    SARAH (surprise, un peu méfiante) :
    Euh… ouais. Enfin, on le “connaît”, c’est un grand mot. Pourquoi ?

    L’AUTRE FILLE :
    Parce que… nous aussi on le connaît. Enfin surtout elle (désigne sa copine). Elle parle souvent avec lui.

    LÉA (hausse les sourcils) :
    Ah bon ? Et vous trouvez ça normal ?

    LA JEUNE FILLE (rougissante) :
    Ben… oui. Il est gentil, en fait. Il écrit des choses magnifiques. Il m’écoute. Il parle comme personne d’autre.

    SARAH (sarcastique) :
    Ouais, il parle comme un mec qui veut t’endormir. Et après, il t’envoie des messages bizarres.

    L’AUTRE FILLE (pique) :
    Vous le jugez sans le connaître. Peut-être que c’est vous qui êtes dures, ou jalouses.

    LÉA (s’étouffe presque en riant) :
    Jalouses ? D’un type qui se prend pour un poète alors qu’il récite du copier-coller ? Sérieusement ?

    LA PREMIÈRE JEUNE FILLE (fronce les sourcils) :
    Vous ne comprenez rien à ce qu’il ressent. Vous le traitez comme un monstre, mais il a juste besoin d’être compris.

    SARAH :
    Non. Il a besoin qu’on lui mette des limites. Et que des filles comme toi arrêtent de croire que la souffrance, c’est du romantisme.

    LA DEUXIÈME FILLE :
    Et vous, vous croyez tout savoir ! Vous jugez, vous riez, vous salissez quelqu’un que vous ne connaissez même pas.

    LÉA :
    On ne le “salit” pas. Il s’en charge très bien tout seul.

    Un silence tendu s’installe. Les regards se croisent, brûlants, blessants.
    On sent le fossé entre les deux générations : d’un côté, la désillusion lucide ; de l’autre, la fascination naïve.

    SARAH (calme, mais ferme) :
    Écoute… on ne cherche pas à te convaincre. Mais sois prudente. Les beaux mots, ça ne veut rien dire si les actes ne suivent pas.

    LA PREMIÈRE JEUNE FILLE (la voix tremblante) :
    Peut-être… mais parfois, on préfère croire à quelque chose, même faux, que de ne plus rien ressentir du tout.

    LÉA (adoucit le ton) :
    Je comprends. Mais crois-moi, ce genre de mec, ça laisse des traces. Pas de belles. Des cicatrices.

    Les deux jeunes filles échangent un regard.
    La plus rêveuse baisse la tête, troublée.
    Sa meilleure amie la prend par le bras, et elles s’éloignent sans un mot.

    SARAH (soufflant) :
    Tu vois ? C’est ça le vrai problème. Ce n’est même plus lui, c’est tout ce qu’il fait naître chez les autres.

    LÉA :
    Ouais. Le vide, déguisé en passion.

    (Silence. Les deux jeunes filles s’éloignent. Mais soudain, la plus rêveuse s’arrête, se retourne. Ses yeux brillent — pas de colère cette fois, mais d’une émotion confuse.)

    LA JEUNE FILLE :

    Attendez…
    Vous croyez tout savoir, mais… vous ne savez pas tout.
    Moi, je sais qui c’est, Jouibrulance.

    SARAH (surprise) :

    Comment ça, tu “sais qui c’est” ?

    LA JEUNE FILLE :

    Parce qu’il sort avec ma sœur.

    (Léa et Sarah échangent un regard incrédule.)

    LÉA :

    Pardon ? Il sort… avec ta sœur ?

    LA JEUNE FILLE :

    Oui. Depuis presque un an.
    Enfin… “sort”, je sais pas si c’est le mot. Elle dit qu’il est “différent”, qu’il la comprend.
    Mais moi, je l’ai déjà vue pleurer à cause de lui. Souvent.
    Et à chaque fois, elle dit que c’est elle qui a “mal compris”.
    Comme si tout était de sa faute.

    SARAH (plus douce, inquiète) :

    Oh non… ton histoire, on la connaît trop bien.
    Ce genre de mec te fait croire qu’il t’aime, alors qu’il aime juste l’idée d’être aimé.

    L’AUTRE FILLE (celle qui le défendait, s’emporte) :

    Mais non ! Il n’est pas comme ça !
    Vous parlez sans savoir ! Vous répétez ce que tout le monde dit !
    Moi, il m’a jamais fait de mal. Il me parle avec douceur, il m’écoute, il m’envoie des poèmes qu’il écrit juste pour moi !

    LÉA :

    (Il soupire, triste)
    Tu crois vraiment qu’ils sont “juste pour toi” ?

    LA JEUNE FILLE :

    Ben… oui… enfin…
    (Il hésite, puis murmure)
    Je crois.

    (Un silence. La jeune fille baisse la tête. Sa main tremble légèrement, son téléphone dans la paume.)

    LA JEUNE FILLE :

    Mais je sais qu’il parle à d’autres.
    Des fois, il disparaît, puis il revient avec les mêmes phrases, les mêmes mots…
    Et pourtant, quand il me parle à moi, j’y crois encore.
    C’est idiot, hein ?

    SARAH :

    Non. Ce n’est pas idiot.
    C’est humain.
    On veut tous croire qu’on est l’exception.

    LÉA :

    Et lui, il le sait. Il joue là-dessus.
    Il veut être celui qu’on attend, pas celui qu’il est vraiment.

    L’AUTRE FILLE :

    Mais peut-être qu’il change, non ?
    Peut-être qu’il a juste peur d’aimer ?

    SARAH :

    Non, il a peur d’être vu pour ce qu’il est : vide.
    Et c’est pour ça qu’il se cache derrière des grands mots, des belles phrases.
    Il collectionne les cœurs comme d’autres collectionnent les miroirs — pour se regarder dedans.

    (La première jeune fille a les larmes aux yeux. Elle murmure presque pour elle-même.)

    LA JEUNE FILLE :

    Ma sœur dit qu’il l’aime.
    Mais moi, je crois qu’il aime surtout qu’elle pleure.
    Parce qu’alors, il peut la consoler.
    Et ça, ça le fait se sentir vivant.

    (Silence lourd. Léa baisse les yeux. Sarah, plus émue qu’elle ne veut le montrer, hoche la tête lentement.)

    LÉA :

    Tu sais… ça, c’est pas de l’amour.
    C’est du pouvoir.

    (Un temps.)

    SARAH (murmure) :

    Et le pire, c’est qu’il ne s’en rend même plus compte.

    (Les deux jeunes filles restent un instant figées. Puis la première range son téléphone, comme si ce simple geste était un adieu.)

    LA JEUNE FILLE :

    Je crois… que j’ai plus envie qu’il m’écrive.
    Même s’il me manque déjà.

    LÉA (doucement) :

    Alors t’as déjà fait le plus dur.

    (La jeune fille essuie une larme. Sa copine la prend par la main. Elles s’en vont sans un mot.
    Léa et Sarah les regardent partir, silencieuses.)

    SARAH :

    Tu vois ? Il brûle tout sur son passage.

    LÉA :

    Ouais…
    Mais peut-être qu’un jour, il n’y aura plus rien à brûler.

    (Elles restent là, face au vide, pendant que leurs téléphones vibrent dans leurs poches — une notification, un nom qu’elles reconnaissent, qu’elles ignorent. Cette fois, pour de bon.)

     

    Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ?
    Est-ce que vous voulez connaître la suite de cette histoire ?
    Dites-le en commentaire — peut-être que Jouibrulance n’a pas encore dit son dernier mot…

    no comment
  • La Montre Bleue de JOUIBRULANCE – Version Interdite et Mystérieuse

     

    La Montre Bleue de JOUIBRULANCE – Version Ultra-Sensorielle

    Au début du 21ᵉ siècle, dans un appartement rempli de livres,

     

    de gadgets et de café renversé,

     

    vivait un collectionneur pas comme les autres : JOUIBRULANCE. Parmi ses trésors, une Festina bleue unique, avec trois sous-cadrans et une alarme mystérieuse, brillait comme si elle avait capturé la lumière de l’univers entier.

    Cette montre n’était pas qu’un instrument pour mesurer le temps. Non… chaque tic-tac révélait un fragment du futur, et son alarme émettait un message secret.

    Tic… tac… tic… tac…
    Le métal bleu scintillait et chaque battement résonnait comme le souffle du temps lui-même. Les visiteurs, fascinés, sentaient leur cœur s’accélérer, leur souffle se couper, et un frisson interdit parcourir leur colonne vertébrale.

    Puis, soudain, l’alarme retentit :

    “BIIIIP… BIIIIP… BIIIIP… C’EST L’HEURE DE FAIRE DES CHOSES PRIVÉES. CACHÉ. INTERDIT AUX YEUX DE CERTAINES PERSONNES.”

    Le mystère s’épaississait. Seuls ceux qui connaissaient le secret de JOUIBRULANCE pouvaient entendre l’intégralité du message. Les autres percevaient juste un tintement mystérieux, un murmure du temps qui leur échappait, et leur curiosité bouillonnait, presque insupportable.

    Conscient du pouvoir de cette montre, JOUIBRULANCE la confia à la Jouissance venue d’ailleurs, une entité énigmatique et insaisissable, capable de protéger les objets les plus rares et de garder les secrets les plus interdits. La présence de cette entité rendait l’air électrique : chaque frisson, chaque palpitations, chaque souffle coupé semblait amplifié, comme si la montre projetait ses propres sensations sur ceux qui s’en approchaient.

    Dans le Musée Universel des Trésors Horlogers, des petits vicieux curieux, âgés de 19 ans ou un peu moins, se glissaient dans les couloirs, cherchant à percevoir le secret de la montre. Chacun voulait découvrir ce qui était interdit, deviner le contenu du message caché et entendre l’alarme qui ne se révélait qu’à ceux qui osaient s’approcher. L’excitation de la curiosité les tenait en haleine, leurs yeux s’agrandissaient d’émerveillement et leur corps frémissait à chaque tic-tac.

    Les historiens futuristes racontèrent :

    “Celui qui possède cette montre détient le pouvoir de la mémoire du temps. Mais le véritable trésor est son gardien, la Jouissance venue d’ailleurs, qui protège les secrets de JOUIBRULANCE pour l’éternité.”

    Et ainsi, la montre bleue devint plus qu’une montre : elle était un symbole de mystère, de curiosité interdite et de plaisir défendu. Suspendue dans sa vitrine, elle continuait à attirer et fasciner les plus audacieux, tout en gardant ses secrets bien cachés… interdits aux yeux des curieux.

    Chaque tic-tac, chaque vibration de l’alarme, chaque reflet du métal bleu sur la peau des visiteurs, créait une jouissance émotionnelle et sensorielle intense. Le frisson interdit, la tension palpable et l’excitation de la curiosité faisaient palpiter le cœur et frissonner l’esprit, jusqu’à ce que le mystère devienne presque insoutenable…

    Tic… tac… tic… tac…
    Le temps continue de battre, l’alarme peut se déclencher à tout instant, et le secret de JOUIBRULANCE demeure intact, prêt à défier les siècles et les générations futures.


    Signé :

     


    Jouissance d’Ailleurs

     

    Le Gobelet donner par JOUIBRULANCE

    Le Gobelet de la Joie Éblouie – Don de JOUIBRULANCE

    La jeune femme portait toujours sa blouse, une armure contre tout désordre.
    Elle savait que s’aventurer plus près de JOUIBRULANCE signifiait s’exposer à son énergie brute et imprévisible — cette onde invisible qui faisait vibrer les objets et troubler les pensées.
    Et pourtant, une curiosité brûlante l’attirait vers lui, irrésistiblement.

    Dans ses mains, elle tenait un gobelet, fragile et transparent, celui que JOUIBRULANCE lui avait donné.
    Ce n’était pas un simple objet, mais un pont entre leurs mondes — un réceptacle du mystère et du sentiment.
    Elle espérait y recueillir ce qu’il pensait d’elle, ou peut-être une part de cette lumière qu’il portait, de cette énergie capable d’illuminer l’air lui-même.

    Le gobelet tremblait dans sa main, comme s’il vibrait au rythme de tout ce qu’elle retenait en elle.
    À côté d’elle, la petite plante verte sembla frissonner aussi, réagissant à l’atmosphère qui changeait.
    L’air se chargeait d’une énergie étrange — un mélange de tension, de curiosité et d’un bonheur trop fort pour être contenu.
    La plante s’inclina légèrement, comme si elle respirait cette onde, cette pulsation venue du cœur de JOUIBRULANCE.

    Ses yeux s’écarquillèrent et s’ouvrirent en grand.
    « Haaaaa… » murmura-t-elle, éblouie.“Hoooooo…” s’échappa de ses lèvres, un souffle entre la surprise et la fascination.
    Elle le voyait dans la pièce s’emplir d’une lumière invisible

    Elle sentait son cœur s’ouvrir, son souffle devenir léger.
    Chaque geste, chaque silence portait un sens, un frisson.

    Elle voyait cette force, cette puissance presque palpable, envahir l’espace et s’insinuer jusqu’à son propre souffle.
    Chaque geste en ce bruit qu'elle entendait  tac!tac!tac! amplifiait le frisson interdit qui parcourait son corps.
    Chaque vibration en sa main qui tremblait du gobelet

    résonnait avec son cœur affolé, son esprit captif, prêt à plonger dans une fascination totale.
    Le monde autour d’elle vibrait au même rythme qu’elle : la plante, le gobelet, la lumière — tout semblait animé d’un même souffle.

    Et soudain, elle comprit.

     


    Ce qu’elle recueillait dans ce gobelet n’était que la pensée de JOUIBRULANCE…sur elle-mème.
    C’était son propre bonheur, celui qu’ELLE avait réveillé en lui par elle.
    Une joie pure, éblouissante, qui coulait de son être et emplissait le récipient d’une lumière qu’elle seule pouvait voir.

     

    Le gobelet brillait entre ses doigts, tremblant encore d’une douce énergie.
    Elle sourit,

    les yeux humides, consciente qu’elle venait de recevoir le plus précieux des dons : celui de se redécouvrir à travers la force de l’autre.

    Et dans le silence, JOUIBRULANCE se contenta de la regarder, un sourire tranquille aux lèvres, comme s’il savait depuis le début que le vrai miracle était en elle.

    Ses jolis yeux
     

    Et, dans ce moment suspendu, tout semblait vivant, électrisé : la plante, le gobelet, la pièce entière.
    Mystère, frisson, curiosité — tout se mêlait dans l’air saturé d’émotions.
    Le temps s’étirait, retenait son souffle, attendant l’instant où le gobelet toucherait enfin l’énergie invisible de JOUIBRULANCE.

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  • Le gobelet tremblait dans sa main, comme s’il vibrait au rythme de tout ce qu’elle retenait en elle. À côté d’elle, la petite plante verte sembla frissonner aussi, réagissant à l’atmosphère qui changeait. L’air se chargeait d’une énergie étrange — un mélange de tension, de curiosité et d’un bonheur trop fort pour être contenu. La plante s’inclina légèrement, comme si elle respirait cette onde, cette pulsation venue du cœur de JOUIBRULANCE.

    Ses yeux s’écarquillèrent et s’ouvrirent en grand. « Haaaaa… » murmura-t-elle, éblouie. « Hoooooo… » s’échappa de ses lèvres, un souffle entre la surprise et la fascination. Elle le voyait dans la pièce s’emplir d’une lumière invisible.

    Elle sentait son cœur s’ouvrir, son souffle devenir léger. Chaque geste, chaque silence portait un sens, un frisson. Elle voyait cette force, cette puissance presque palpable, envahir l’espace et s’insinuer jusqu’à son propre souffle. Chaque geste, chaque bruit qu'elle entendait — tac! tac! tac! — amplifiait le frisson interdit qui parcourait son corps. Chaque vibration en sa main, qui tremblait du gobelet, résonnait avec son cœur affolé, son esprit captif, prêt à plonger dans une fascination totale. Le monde autour d’elle vibrait au même rythme qu’elle : la plante, le gobelet, la lumière — tout semblait animé d’un même souffle.

    Et soudain, elle comprit.


    Dialogue initial, fascination et éveil :

    Femme : « Je… je ne sais pas si je devrais être ici. Ton énergie… elle me submerge. »

    JOUIBRULANCE : « C’est justement parce que tu ressens que tu es ici. Tu n’as pas besoin de comprendre, seulement de sentir. »

    Femme : « Sentir… oui, je sens tout. Mon cœur bat si vite… et ce gobelet… il vibre entre mes mains ! »

    JOUIBRULANCE : « Ce n’est pas le gobelet qui vibre. C’est toi qui deviens réceptive. Tu touches ce que j’ai de plus profond… et tu y réponds. »

    Femme : « Mais pourquoi moi ? Pourquoi moi et pas… quelqu’un d’autre ? »

    JOUIBRULANCE : « Parce que tu es prête. Parce que ton esprit est ouvert et ton cœur, courageux. Il faut parfois un témoin pour que l’énergie devienne visible. »

    Femme : « Et toi… que veux-tu que je fasse avec ce que je ressens ? »

    JOUIBRULANCE : « Rien et tout à la fois. Ce que tu ressens n’est pas à contrôler. Laisse-le t’envahir, te transformer. Apprends seulement à l’accueillir. »

    Femme : « Transformer… moi ? Mais je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi intense. C’est… effrayant et merveilleux à la fois. »

    JOUIBRULANCE : « C’est normal. La beauté la plus pure et la force la plus vraie provoquent toujours un frisson. Et ce frisson est le pont vers toi-même. »

    Femme : « Je… je dois plonger ? »

    JOUIBRULANCE : « Oui. Plonge. Et en plongeant, tu comprendras que le monde n’est pas fait pour être tenu, mais pour être ressenti. »


    La colère, la trahison et les insultes :

    Femme : (les yeux flamboyants) « Toi… toi ne changes jamais ! Ça fait plus d’une décennie que tu es comme ça ! Toujours le même, toujours froid, toujours… sale ! Et à chaque année qui passe, tu deviens de plus en plus sale… en ta saleté ! »

    JOUIBRULANCE : « Sale ? Tu crois que je me définis par tes mots ? »

    Femme : « Tes mots ? Non, je parle de toi, de ce que tu es depuis toujours ! De ta manipulation, de tes jeux, de ton sourire qui cache tout… tu ne changes jamais, JOUIBRULANCE. Tu es resté le même monstre que j’ai rencontré il y a des années ! »

    JOUIBRULANCE : « Un monstre ? Peut-être. Mais regarde-toi… tu trembles encore, tu es encore fascinée. Ta colère… ton indignation… c’est exactement ce que tu voulais ressentir. »

    Femme : « Fascinée ? Fascinée par ta sale trahison ! Fascinée par ton arrogance ! Tu as détruit des années de confiance, tu as joué avec moi comme un e*fant joue avec un jouet… et maintenant tu oses me dire que je voulais ça ?! »

    JOUIBRULANCE : « Ce n’est pas moi qui détruit… c’est toi qui choisis de rester, de ressentir, de te laisser brûler par ce que tu refuses de fuir. »

    Femme : « Et tu oses dire ça ? Tu ne comprends rien ! Tu ne comprends jamais rien ! Ça fait plus d’une décennie que tu es comme ça, et à chaque fois, je te crois, je me fais avoir, et tu… tu deviens juste plus sale ! »

    JOUIBRULANCE : « Plus sale ? La saleté n’est pas en moi, elle est dans la vérité que tu refuses de voir. Et toi… tu es tellement vivante dans ta rage que tu la nourris toi-même. »

    Femme : « Tu mens ! Tu mens toujours ! Tu te caches derrière ton énergie, derrière tes silences, derrière tes soi-disant vérités… mais je vois tout maintenant ! Tu es un menteur… un manipulateur… et tu ne changeras jamais ! »

    JOUIBRULANCE : « Et si je ne change pas… et si je ne pouvais pas changer… tu ferais quoi ? Me fuir ? Me maudire ? Ou continuerais-tu à ressentir ce que tu crains et ce que tu désires ? »

    Femme : « Je… je ne sais pas… je devrais te haïr… je devrais… mais chaque mot que tu prononces… chaque souffle… me brûle… me fascine… et je déteste ça ! »

    JOUIBRULANCE : « Exactement. Tu détestes… et pourtant tu es là. Parce que tu sais maintenant que ce n’est pas seulement moi… c’est toi aussi. Ta colère, ton désir, ta rage… tout vibre au même rythme que moi. Et tu ne peux pas me fuir. »

    Femme : « Alors écoute-moi bien ! Je te hais ! Et je te le dirai encore et encore ! Tu es… un démon déguisé en lumière, et tu ne changeras jamais ! Et à chaque année qui passe, tu deviens juste… plus sale, JOUIBRULANCE… plus sale dans ta saleté ! »

    JOUIBRULANCE : (silence, puis un murmure grave et hypnotique) « Et pourtant… tu es encore fascinée. Tu ne peux pas me quitter. Et c’est là… que la vérité commence. »

     

    Le gobelet glissa légèrement de ses doigts tremblants, laissant échapper une vibration qui fit tressauter sa main. Une fine poussière sombre semblait s’incruster sur sa peau, se mêlant à la sueur de sa peur et de sa colère. Ses doigts se crispèrent, et elle réalisa que sa main était désormais sale, comme si une partie de la corruption de JOUIBRULANCE s’était déposée sur elle.

    Elle leva les yeux vers lui, et un frisson parcourut son corps : ses paroles, sa rage, sa fascination… tout semblait avoir laissé une trace. Sa blouse, jadis immaculée et protectrice, portait maintenant les marques de l’énergie de JOUIBRULANCE, des taches indéfinissables, comme si la lumière et l’ombre s’étaient combattues sur le tissu.

    Ses cheveux, qu’elle avait toujours soigneusement coiffés, se collaient à son front, imbibés de sueur et de tension. Chaque mouvement semblait amplifié, chaque souffle contaminé par la force invisible qu’il dégageait. Son joli petit visage, si innocent, portait les stigmates de leur affrontement : des cernes, des rougeurs, des traces de colère, de frustration, mais aussi d’émerveillement interdit.

    Femme : (murmure étouffé, presque en pleurs) « Tout… tout est souillé… je… je ne pensais pas que ça… que ça pouvait m’atteindre à ce point… »

    JOUIBRULANCE : (s’approchant, sa voix basse et hypnotique) « Tu vois maintenant… tout ce que tu crois protéger, tout ce que tu crois immaculé, devient vivant sous mon influence. Ta blouse, tes mains, ton visage… même ton innocence n’est pas à l’abri. »

    Femme : (les yeux écarquillés, une larme coulant sur sa joue) « Mais… pourquoi… pourquoi moi ? Pourquoi tout ce qui est en moi doit devenir… sale… souillé… à cause de toi ?! »

    JOUIBRULANCE : « Parce que tu es trop humaine pour résister. Parce que ce que tu crois être immaculé est seulement fragile, et que la vérité a toujours un prix. Chaque vibration, chaque souffle de ma présence laisse sa marque. Et toi… tu sens que tu ne peux pas fuir cette vérité. »

    Elle porta la main à son visage, tâtonnant sur sa joue pour effacer ce qu’elle croyait pouvoir nettoyer, mais la saleté, la trace de sa présence et de son énergie, ne partait pas. Elle sentit ses doigts trembler, et pour la première fois, elle réalisa que cette confrontation ne serait pas seulement psychologique, mais physique et spirituelle : ce qu’il touchait, ce qu’il déchaînait, la transformait, la marquait, et rien ne reviendrait comme avant.

    Femme : (voix brisée mais furieuse) « Sale… sale… tout est sale parce que toi… TOI, JOUIBRULANCE, tu ne sais que salir ce que tu touches… même moi ! Même mon visage… même mes mains… même le mur… »

    JOUIBRULANCE : (un sourire sombre, presque satisfait) « Et pourtant… tu es toujours là. Même souillée, même exposée, tu restes fascinée… Tu as compris que la lumière et l’ombre ne sont pas séparées. Et maintenant, tu vois que tout ce que tu pensais pur peut devenir vivant… vibrant… et marqué. »

    Le gobelet vibra une dernière fois dans sa main, comme un écho de ce qu’elle venait de traverser. La petite plante à côté d’elle semblait frissonner à nouveau, comme si elle reconnaissait le changement : tout dans cette pièce, tout en elle, était désormais marqué par JOUIBRULANCE, et aucune innocence ne pourrait rester intacte.

    Elle détourna le regard, incapable de sourire, incapable de fuir, consciente que son joli petit visage, sa blouse, ses mains et son cœur porteraient désormais les traces de cette rencontre, à la fois sublime, terrifiante et irréversible.

    « Empreintes de saleté »

     

     

    "Une main féminine, délicate et réaliste, complètement salie par de la boue et de la poussière sombre. Les doigts tremblants tiennent un gobelet transparent, légèrement fissuré, dans une pièce sombre et dramatique. La lumière accentue les taches sur la peau et sur la blouse visible en arrière-plan. Atmosphère intense, dramatique, émotionnelle, avec un flou artistique léger autour pour renforcer la tension et la saleté."

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