• Ferme les yeux Il suffit d’y penser. Jouibrulance. Dans la lumière du silence. Quelque part dans l’obscurité.

    Ferme les yeux.

     

    Oui, toi.

    Tu pensais à qui ?
    Ne dis rien.
    Laisse simplement ton esprit se perdre,
    en cette journée suspendue.

    Et peut-être, quelque part dans l’obscurité,
    tu sentiras Jouibrulance te frôler —
    comme une pensée, une présence,
    un souffle derrière la nuque.

    Ne cherche pas à comprendre.
    Il suffit d’y penser…
    et déjà, il est là.

    L’histoire aurait pu s’arrêter là.
    Mais les histoires, parfois, refusent de mourir.

    Jouibrulance rôde encore...Car il est chez toi,là

    à coté de toi
    Dans les reflets noirs de ton écran,
    dans l’ombre d’une phrase oubliée,
    dans un simple “salut, beauté de la nuit”.

    Il apparaît où il veut, quand il veut.
    Sur votre smartphone.
    Ou ailleurs.
    Sans jamais demander la permission.

     

    Il sourit — toujours.
    Parce qu’il aime ça :
    faire chuchoter les gens,
    les entendre parler de lui,
    en bien ou en mal, peu importe.

    Il sait qu’au fond de vous,
    quand vos doigts effleurent cette rose,
    la couleur monte,
    le souffle se trouble,
    et quelque chose brûle doucement, sans qu’on sache dire pourquoi...Car c'est bon!

    Peut-être qu’il  t'observe déjà.

    là!
    Peut-être qu’il attend juste un mot.

    ton souffle

    Si vous voulez la suite…
    dites-le en commentaires.
    Peut-être qu’il vous lira.
    Peut-être qu’il reviendra.

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