• Jouibrulance

    Il y a des mots qu’on ne choisit pas.
    Des mots qui nous attendent dans l’ombre de l’écran,
    comme un souffle oublié entre deux instants.
    Elle ne l’avait pas cherché. Elle l’avait senti.
    Au bout de ses doigts.
    Un mot revenu d’un monde disparu : Jouibrulance.

    Cela faisait des années. Des lustres numériques.
    Le web avait changé, les pseudos s’étaient effacés, les messages du matin étaient devenus silence.
    Mais ce mot, lui, vibrait encore.

    Un jour, comme les autres, elle avait glissé ses doigts sur le clavier,
    sans but, sans attente —
    juste le geste ancien,
    le rituel oublié : écrire pour se retrouver.
    Et dans la lumière pâle de l’écran,
    une page s’était ouverte.
    Sans nom, sans image.
    Mais avec ce mot, écrit en plein centre.
    Jouibrulance.

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  •  Jouir sans repos : pleine tous les jours  Jouisseuse 7/7, pleine de tout   Elle jouit d’être pleine, chaque jour

     La jouisseuse du dimanche… et des six autres jours 

    Fragment original d’un monde disparu

    "Bonjour à vous tous et toutes, je vous souhaite un bon mercredi... avant que celui ne disparaisse."
    – 15 octobre 2024

    Cela revient. Encore. Chaque semaine, chaque boucle du temps.
    Un message posté dans le silence. Comme une onde qu’on envoie au loin,
    sans savoir si quelqu’un la captera.

    "Très bonne journée à vous mes ami(es). Gros bisous. Bon jeudi."
    – 19 décembre 2013

    Le message se répète, mais il ne se répète jamais tout à fait pareil.
    Chaque mot est un battement. Chaque jour, un souffle.
    Et ceux qui le lisent savent : ce n’est pas rien. C’est un geste,
    un va-et-vient de doigtées préférés,
    sur un écran jauni ou un clavier en veille.
    Ce mouvement simple,
    qui réveille le cerveau,
    qui calme le stress,
    qui donne du bon-heure(s)
    comme une bénédiction chuchotée à l’oreille du monde.

    "Bon jeudi."
    – 19 janvier 2018

    Et au milieu de tout ça, une rumeur.
    Un nom effacé. Un nom que l’on ne trouve plus.
    Mais ceux qui ont été là, ce fameux bon temps, savent.

    Ils savent ce que ça fait d’attendre le mercredi,
    ils savent ce que ça veut dire d’écrire malgré tout,
    ils savent que les messages sont codés,
    même quand ils parlent juste de bisous, de soleil, de bons jours.


     

    Dans ce monde effacé mais pas éteint,
    les doigts dansent encore.
    Les cœurs battent encore.
    Et la mémoire reste vivante,
    dans chaque texte posté sans prétention,
    dans chaque matin où l’on écrivait pour se sentir bien,
    dans chaque écho silencieux d’un pseudo disparu.

     

    Suite – La vibration de la main qui en donne l’oublie

    Et puis, un mot revenait.
    Souvent ignoré, mal compris, dissimulé dans les dictionnaires...
    Mets ici! salooooope!!!Pose le plus long de tes doigts ici… Voilà, comme ça.

    Masse en cercle, doucement, comme si tu appliquais un baume — un geste pour soigner, pour apaiser.
    Lentement, laisse la chaleur naître, la douleur s’éclipser,
    et quand tu le sens… quand cette pointe vive de plaisir éclot — comme un éclat de guérison —
    voix tu ce rose, timide,humide qui rougit, qui réclame davantage.

    Glisse-en deux maintenant… tout en douceur.

    GLISSE_02 :: 90 secondes

    maintenant
    tous les 2 doigts
    glissent sans problème
    sur cette surface vivante,
    en des doigtées humides,
    presque douce —
    et qui presse cette main à accélérer,
    à fermer tes yeux,
    à en trouver le chemin du bonheur perdu,

    cette personne double de toi,
    qui met ton visage
    plié en ton front.

    en ce bonheur de plaisir
    qui pourtant
    en réclame trois.

    L’entends-tu ?
    tic ! tic ! tic !
    comme une pendule
    qui en donne des secondes
    pour aller prendre la minute.js!

    Cchnne !
    là, à la jointure de la lumière —
    90 secondes
    et de la pensée fantasmatique.

    ???

    Ton clit'EAU vibrait,
    comme une pulsation volée à l’intérieur.
    il sonnait vrai,
    comme une voix
    qu’aucun programme
    n’a su simuler.

    Puis accélère. SALOPE!!!!

    Oui, avec plus d’élan, plus de vie.

    Tu l’entends, n’est-ce pas ?
    Là ! Tu l’entends là ?Glisse-en 4

    Il vibrait.Glisse-en 5 Il résonnait tes jolis yeux en vrai.

     

    Il faisait frissonner les pages mortes.
    Ce mot :Le Livre de Jouibrulance

    Chaque soir, il m’ouvrait.

     Je ne veux pas seulement le lire, car ce livre, entre mes doigts, me fait suer de désir, tant les va-et-vient qu’il exige pour déchiffrer ses mots codés sont la clé de ma jouissance.

    Ma main, mais en mes yeux, en ses nerfs, dans l’espace brûlant entre deux respirations.Il m’ouvrait comme on entrouvre une porte vers un monde fleuri de différentes fleurs, un monde dévêtu et d’orgie extrême.  — un monde qu’elle ne connaissait pas encore, mais que je portais en moi, page après page, en silence.

    Ses mots abritaient celle qui cherchait à s’abriter dans ses phrases,n’étaient pas là pour être simplement lus. Ils pulsaient. Ils attendaient. Ils vibraient d’un sens obscur, trop dense pour les dictionnaires. Car ses mots n’avaient pas été écrits pour tous. Non. c'est pour toutes les ptites cchnnes ,qu'elles étaient là à déchiffrer. À ressentir. À traverser.

    Certaines, curieuses, s’y étaient brûlé les doigts, jouissant chaque fois de perdre leur énergie dans ce plaisir voulu, à la recherche de ce mot brûlant qui faisait jaillir de leur gorge un long "aaah".

    Car ce que je cachais, c’était un monde. Un nom. Un lieu de fièvre et de murmures :ce nom Jouibrulance. Un pays sans cartes, où chaque mot glissait, changeait de forme, se déformait pour mieux frapper le cœur. Là-bas, les mots n’étaient plus dociles. Ils fondaient, hurlaient, jouissaient d’être libérés.

    À chaque lecture je m’y perdais
    et moi je le regardais frissonner
    dire ouiiiiii encore plus
    en ses phrases qui devenaient sur ma peau
    mouillées de la sorte
    OUIIIIIIII C’EST BON
    mes silences qui crient
    halètements pour trouver ce mot long
    faire trembler mes cuisses entrouvertes
    trouver ce gros long

    Il ne le savait pas encore, mais chaque soir, en me lisant, c’est lui que je déchiffrais. Lui que je brûlais doucement. Lui que je réveillais.

    Un jour, quand je saurai prononcer le vrai nom de Jouibrulance avec la langue, je deviendrai l’auditrice de moi-même. En ce livre refermé, je dormirai enfin seule, sans lui, en cette perversion rose bonbon devenue rouge, marron, violette, d’être calme.

    Jouir.

    Pas seulement dans les draps,
    pas seulement dans les corps.

    Mais jouir de l’instant,
    jouir de l’acte d’écrire,
    jouir de la douceur des doigts sur le clavier,
    jouir de retrouver une trace,
    de faire revenir l’éclat ancien d’un moment oublié.

    Les dictionnaires disent :

    « Jouir : tirer plaisir, agrément, profit… »
    « Ressentir un état de bien-être physique ou moral… »
    « Atteindre l’orgasme. »

    Mais ici, entre les lignes effacées et les pseudos fantômes, ce mot devient un rituel.

    Un mot qu’on ne dit plus trop fort,
    mais que l’on connaît au bout des doigts,
    quand ils dansent sur l’écran,
    quand ils cherchent, encore,
    ce lieu, ce temps, cet espace
    où l’on pouvait jouir d’écrire,
    jouir de lire,
    jouir de s’oublier pour mieux se retrouver.


    Il ne s’agissait pas de vulgarité,
    mais de vérité.

    Ceux qui étaient là, dans ce bon temps, savent.
    Ils savent ce que c’est que de jouir d’un mercredi,
    de jouir d’un simple bonjour,
    de jouir d’un blog oublié,
    de jouir d’un pseudo revenu d’entre les lignes.

     

    Et si ce n’était pas le corps qu’on cherchait à réveiller,

    mais la mémoire 
    La mémoire du plaisir.

    La mémoire du calme.

    La mémoire d’un monde doux,
    où le stress s’apaisait,

    **« tape sur ton clavier.
    Un mot discret, un sésame caché dans un coin du web.
    Un murmure pour ceux qui cherchent,
    un appel pour t'éveillée, curieuse, brûlante de sentir.

    Te voilà en faim.
    Tu es venu, tu es revenu…
    Après tant d’années, de mois, de semaines,
    de jours, d’heures, de minutes,
    et même de secondes.
    À prendre, à reprendre,
    tant de bonheur.

     

    Ce mot t’a guidé ici.
    Ce mot t’a reconnu.
    Ce mot t’attendait.
    Jouibrulance. »**

      

    T'as retrouver ton titre : Ce mot t’a reconnu


    Ce mot t’a guidé ici.
    Ce mot t’a reconnu.
    Ce mot t’attendait.

    Jouibrulance.

    Tu ne l’as pas cherché avec ton cerveau.
    Tu l’as senti au bout de tes doigts.
    Comme une vibration enfouie dans le souvenir d’un matin sans stress,
    un matin d’écran pâle et de café tiède,
    où quelques mots suffisaient à faire du bien.

    Tu ne sais plus très bien d’où ça vient.
    Un vieux pseudo ?
    Une page effacée ?
    Un mercredi perdu ?
    Mais tu sais ce que ça faisait.

    C’était doux.
    Simple.
    Un geste.
    Un va-et-vient du doigt sur la lumière.
    Un clic.
    Un scroll.
    Et soudain, le cœur se posait.

    Ce mot, jouir, on l’a sali, on l’a enfermé.
    Mais toi, tu sais.

    Jouir, c’était écrire sans réfléchir.
    Jouir, c’était lire sans pression.
    Jouir, c’était répondre “bon jeudi” à quelqu’un que tu n’as jamais vu.

    Et sentir, l’espace d’un instant,
    que ça suffit.
    Que le cerveau s’apaise,
    que le souffle ralentit,
    que le bon-heure(s) revient.

    Il y avait ceux qui disaient “gros bisous”.
    Ceux qui disaient “bon mercredi”.
    Ceux qui postaient sans jamais signer.
    Et ceux qui lisaient, en silence.

    Tous,
    ensemble sans se connaître,
    connectés par le même geste ancien.
    Un doigt sur l’écran.
    Un mot au bon moment.
    Une émotion presque invisible,
    mais inoubliable.

    Aujourd’hui, le mot revient.
    Il traverse les couches de poussière numérique.
    Il appelle.

    Jouibrulance.

    Pas un lieu.
    Pas un blog.
    Pas un souvenir.
    Mais une sensation.
    Un état de passage.
    Un retour à soi.

    Et si tu es ici,
    c’est que tu le portes encore, quelque part.
    Ce mot t’a reconnu.
    Il t’attendait car tu es la jouisseuse du dimanche d'ètre pleine... .


     

     

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  • Pour moi, c'est délicieux de sucer et de lécher la chatte lesbienne, j'adore sucer les lesbiennes, sucer la chatte,

     

    Tu n'as pas honte de me parler JOUIBRULANCE...Toi QUI me dis à moi si je suis, une jeune de la vingtaine et qui manque beaucoups d'espérience. Et ce que vous devez savoir encore c'est que je suis une accro du sexe. Je suis une grosse pute gratuite et videuse de couilles. Pour commencer, tu vas me faire me mettre à quatre pattes, pour que tes potes obséder puissent mater sa chatte et son cul, et je vais leur lécher les pieds sàle "

    no comment
  •  

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé. Je vois ton feu, plus belle encore dans la vérité de ta faiblesse, dans la beauté du vertige.

     

     

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.

     

    Bouh bouh!!!!

    Tu fais gaffe en toi, car elle va tenir en coulisse sans que toi tu te rends compte !

    C'est comme si elle avait une énorme bidet dans sa chatte qui va déborder à tout instant !

    Bouh bouh!!!, elle se frotte contre toi, et soudain...

    en son joli regard

    CRAC ! Elle te fait pissa dans les cuisses !

    Tu t'arrêtes pas, elle te fait pissa encore, et encore, et encore, jusqu'à ce que tes chaussures soient pleines !

    Puis elle te fait pipi sur la tête, sur le dos, partout ! Tu es trempé, ça sent la pisse, mais tu ne peux pas s'arrêter, tu jouis trop fort !

     

     

     

    mmmm

     

    saaaalope!!!! tu te pisse dessus....Toi, qui a mis ma nouvelle paire de chaussures. Elles sont neuves. Tu sais que c’est important pour moi.

    Maintenant, tu es en train de te pencher, la tête basse.

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.

    Tu es surprise de ce que tu vois là!, ce que tu as fait sans le vouloir me dis tu...

    Je lève mon pied gauche. Je fais passer ta tête en dessous, comme un pont solide.

    Je te demande si tu es prête.

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.


    Puis, je te fais pipi dessus — sur ta tête, sur ton dos, partout.
    Tu es mouillée. Ça sent mauvais, mais tu ne peux pas arrêter.
    Tu fais ce que je veux. Tu es soumise. Tu acceptes ce jeu.
    Tu es hypnotisée par moi, par ce que je fais.


    Tu t’accroupis. Tu ne bouges pas.étonné de ma réaction
    Moi, ta meilleure amie, qui viens doucement derrière toi. Je sais que tu sais que j’ai tout vu.

    Ma main droite, allongée vers toi, se pose sur ta petite tête, mes doigts s’accrochant fermement dans ta chevelure lisse, presque agressifs, pour que tu ne puisses pas fuir ce que tu vas recevoir

    Elle est là,ses droigts immobile, comme suspendue dans un instant qui semble hors du temps.

    Sa main qui venait poser doucement sur sa tête, un geste simple, presque automatique, mais qui dans cette lumière tamisée, prend une autre dimension. C’est comme si ce contact déclenchait quelque chose d’inconnu, un frisson électrique qui traverse son corps.

    Dans l’air, il y a cette tension douce, presque imperceptible, mais qui s’infiltre dans ses pensées.

    Les mots murmurés ne sont pas tout à fait ce qu’ils paraissent. Ils dansent entre l’ombre et la lumière, mêlant désir et peur, plaisir et doute.

    «— « Tu sens cette chaleur dégueulasse qui te coule dessus,salooooooooope!!! ma pisse brûlante éclaboussant ta tête ? »

    — « Putain, Cchnnnnnee!!!, comment tu veux que je l’oublie ? Cette putain de brûlure qui te fait presque flipper. Ça te coule dans le cou, ça te colle à la peau, comme un sale coup de merde qu’on te balance sans prévenir. »

     

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.

    — « OUUUAIIiiii!!!!,Tu l’as dis en ce goût amer dans la gorge, cette odeur nauséabonde qui te vrille les narines ? »

    — « Carrément, c’est comme si t’avais bu un seau de merde chaude, ça te remonte dans la gorge et ça te fout un goût de putain de souffrance. T’es là, à te demander comment c’est possible qu’un truc aussi dégueu te défonce à ce point. »

     

    — « Et le contact sur ta peau ? Cette saleté qui te brûle, te colle, te rend folle,han ? »

    — «Putain, c’est l’enfer.

    Tu veux me laver,
    comme pour effacer cette faute anodine —

    Te débarrasser de cette merde en toi,
    de cette colère crasseuse.

    Mais ça reste là, sur ma tête.
    Ça s’infiltre dans ma chevelure, dans mon corps,
    ça me ronge de l’intérieur,
    jusqu’à mon visage qu’on dirait plus vieux.

    T’as envie de hurler, de vomir,
    mais t’es coincé là,
    dans tes mots crus qui veulent te bouffer,

    dans cette chaleur —

    cette chaleur de ta pisse de merde. »

     

    — « T’as jamais ressenti un truc pareil ? Cette violence presque insupportable ? »
    — « Jamais. C’est pas juste une sensation, c’est une agression, une torture. Ça te fait perdre la boule, te fout dans un état de rage et de dégoût total. Tu te demandes comment t’as pu en arriver là, sous cette putain de pluie brûlante qui te dévore. »

     

    — « Alors tu fais quoi ? Tu fermes les yeux, tu encaisses, ou tu exploses ? »

    — « Je serre les dents, je serre les poings. J’essaie de pas craquer, de pas hurler. Mais putain, c’est dur. Chaque goutte est un coup, chaque brûlure un coup de plus. C’est un calvaire. »

     

    — « T’as déjà pensé à fuir, à tout envoyer valser, juste pour ne plus sentir ça ? »
    — « Oui, mille fois. Mais quand t’es pris dedans, y’a pas d’échappatoire. Tu dois tenir, endurer cette saloperie jusqu’à la fin. Jusqu’à ce que ça s’arrête, ou que tu t’effondres. »

    Elle se retourne brusquement, les deux mains plaquées sur ses joues.Bouffe Moi La Chatte gratuitement, ici 

    suce la chatte d'une belle fille cchnne!!! de 19 ans et qui t'encule avec un gros gode ceinture !  

    Elle pivote lentement, ses mains glissant jusqu’à ses joues comme pour retenir un cri.

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.

    aaaAAAAHHHHHHhhh!!!!

    Bouffe Moi La Chatte gratuitement, ici là méme de ramener ta langue de p*te! aaahhhhh!!! 

    Ce n’est pas seulement une question. C’est une invitation à plonger plus loin, à explorer cette étrangeté qui grandit les yeux.car t'es bonne 

     Lèche-moi la chatte jusqu'à ce que je jouisse, salope ! 

    Elle sent sa main dans ses cheveux, un poids léger mais insistant. Son souffle chaud contre sa chatte son oreille la fait vaciller. Elle n’est plus tout à fait sûre de ce qu’elle ressent — plaisir, confusion, ou un mélange des deux ?

     

    C’est étrange, ce moment. Comme si elle était à la fois dedans et dehors, observatrice de son propre corps, spectatrice de ses propres émotions. Une étrangeté douce, presque hypnotique, qui la retient et l’emmène loin.

    Oui ma salopebouffe mon jus de chatte, suce moi bien ma moule pleine de mouille comme une chienne !!!

    Hummm… J’adore te faire ça. J’adore quand tu deviens comme ça…

     

    Je pousse doucement la langue pour que tu baisses encore plus la tête.HUUuuummmmm!!!!! 

    Tu ne l’as pas vue venir celle là.....HUUuuummmmm!!!!!  Elle te  regarde là droit dans les yeux, avec cette innocence feinte qu’elle porte comme un masque taillé sur mesure..HUUuuummmmm!!!!!  Tu lui as parlé de tes chaussures, d’un prix absurde, presque pour te vanter, ou peut-être pour lui faire sentir la distance entre vos mondes. Elle a écouté. Elle a souri. Et puis… elle a fait ce geste. Inattendu. Déroutant.

    Elle savait ce que ça provoquerait.

    Elle l’a fait exprès.

    Elle n’a rien dit.

    Elle a juste laissé faire.

    Et toi, figé dans ta surprise, dans cette limite franchie, tu as senti la colère monter. Mais au lieu d’exploser, tu as croisé son regard

    — et tu as compris. Elle voulait ça..HUUuuummmmm!!!!!  donne moi la sauce

    Elle voulait que tu réagisses. Elle voulait que tu t’énerves, que tu lui dises ce qu’elle mérite, qu’elle goûte à une forme de punition… mais pas pour te défier. Pour sentir quelque chose.de mettre ma langue en ta chatte chasseuse de belles grosse bites d'hommes

    Elle ne voulait pas te nuire. Elle voulait te pousser. Te faire franchir la ligne. Pas celle du respect, mais celle du contrôle.

     

    Parce qu’en dessous de sa façade sage, polie, presque transparente… se cache un feu. Une malice vicieuse. Une noirceur douce, volontaire, qui ne demande qu’à être révélée dans l’intimité des gestes interdits. Elle sait ce qu’elle est. Elle sait qu'elle adore les femmes en ce qu’elle veut. Elle ne veut pas qu’on la découvre trop vite. Elle préfère provoquer, détourner la colère, feindre la maladresse… tout pour t’amener en ta chatte ..

    Cette jute au goût étrangement bonne, à voir au-delà du masque de ton visage quand tu es belle, quand tu jouis.

     

    Il y a ce moment rare, suspendu, où ton visage cesse de jouiiiire! Où les traits se tordent, se détendent, s’ouvrent. Et ce n’est plus la femme lisse, maîtrisée, que je regarde. C’est celle qui se montre enfin, brute, déliée, vibrante.

    Cette liqueur étrange, douce et salée à la fois, ce goût venu d’ailleurs — ce n’est pas seulement un plaisir des sens. C’est une preuve. Une clé. Le signe que ton masque est tombé, que tu t’es laissée aller, que tu n’as plus peur qu’on voie ce que tu es vraiment.

    Et dans cette seconde où tu jouis, belle à en perdre la tête, je vois plus que ton corps.

    Je vois mon pouvoir.

    Ta vérité.

    Cette part de toi que tu caches au monde mais que tu m’offres, silencieusement, dans un souffle, dans une morsure.

     

    C’est là que tu es la plus belle. Pas quand tu séduis. Quand tu t’abandonnes à moi seule.

    Elle bascule alors son regard et me regarde de....Huuummmm!!!, se perd dans cette vague qui l’emporte, le souffle court, le corps vibrant d’une énergie profonde. Ses yeux se ferment,maintenant et un sourire, doux et sauvage, éclaire son visage.

    Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé.

    « J’adore ça, » murmure-t-elle, sa voix tremblante, comme un secret qu’elle offre au silence.

    C’est plus qu’un simple plaisir : c’est une délivrance, une révélation, une fête silencieuse que seul ce moment peut offrir.

    Elle se sait enfin libre, sans masque, sans retenue, portée par ce feu intérieur qu’elle a toujours caché.

    Et dans ce souffle partagé, dans cette intimité brûlante, c’est toute sa vérité qui éclate — belle, puissante, insoumise.


     

    Veux-tu que je continue encore à te faire jouir?

    Ou tu préfères un autre ton ou un autre style ?

     

     

    no comment
  • Il jouit ! Elle ne s'arrête pas, il jouit ! Il jouit encore, elle jouit, ils jouissent ensemble, ils ne s'arrêtent jamais ce couple.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    S'il te plaît, ne t'arrête pas, je vais jouir ! Elle jouit, il jouit, ils chantent, ils se moquent, de tous car ils font l'amour, ils font du sexe, en sachant que t'es toute seule de ne pas étre en cette ensemble.

     Oui,toi!...

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Comme moi,Toutes seules, sans être ensemble... Tu veux être en couple, mais tu galères à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que tu trouves beaucoup plus facilement des relations femme-femme. Toi qui pensais t’en servir, c’est elle qui prend son plaisir sur toi, parce qu’elle est dans ce domaine caché depuis toujours.

    Ils ont besoin de continuer SANS TOI,SANS EUX, de ne pas s'arrêter pour atteindre cet orgasme sublime.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    "Arrete pas je vais jouir !" "S'il te plaît, ne t'arrête pas, ça fait trop bien !" de vous écouter,regarder "Je voulais me retenir, mais à la fin je jouisToutes seules, sans être ensemble...

    Je veux être en couple, mais je galère à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que je trouve beaucoup plus facilement des relations avec mes copines surtout des copines salopes des autre,haAAn,ouuuaiiis!!!.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Des relations femme-femme..Toi qui croyais pouvoir t’en servir tranquille, seul, c’est'elle qui te bouffe le plaisir, parce qu’elle maîtrise ce bordel depuis toujours, avec moi.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Qu’est-ce que tu croyais, JOUIBRULANCE ? Que t’étais seul à jouer dans cette merde ?

    Tu cherches, tu espères, mais au final c’est elle qui mène le jeu, et toi, tu restes seul,à t'épuiser à transpirer à te demander où est ce que ça coince en son cul.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Fais gaffe en toi, Fais gaffe à toi,..à ton cul car elle va t’enculer avec un strap-on

    Un gode solidement fixé à une ceinture réglable, conçue pour s'ajuster parfaitement à la taille, à la manière d'une ceinture de jean, assurant un maintien optimal pendant l'utilisation.

     Ce n’est pas un jouet : sa longueur peut atteindre jusqu’à 27 cm, assez pour aller profond, et sa largeur, souvent entre 2,5 et 5 cm, te remplit bien.Elle te maîtrise comme si t’étais rien d’autre qu’un bât*rd de capote trouée....

    Et tu comprends même pas comment t’en es arrivé là.

    Tes deux mains sont plaquées au mur, incapables de résister.

    Ses doigts s’enfoncent dans tes hanches, avec une force presque cruelle.

    Elle te bouscule sans retenue, sans pitié.

    Elle te brise, littéralement.

    Et ses mots... ce ne sont pas des insultes ordinaires.

    Ce sont des mépris, lancés comme des lames. Des vérités hurlées, crachées, que t’as jamais entendues. Et ça te fait pleurer et jouir! à la fois plusieurs fois mème.

    Ce n’est pas du plaisir. C’est de la douleur… une douX l'HEURE qui déborde,en secondes qui monte comme une minute de jouissance volée en heures sale, impossible à assumer en ce jour ."

    car elle va te surprends avec son accessoire bien attaché. Sa taille peut atteindre les profondeurs, et sa forme te remplit là où tu ne t’y attends pas.

    JOUIIIiiiiiiiis!!!! salaud! pour la salope que je suis

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Tu tiens là une phrase très forte, viscérale, criée autant par le corps que par la bouche

    — un cri de domination, de vengeance, de désir tordu.

    SiIIiiii tu le veux vraiment l'intégrer dans ses mots plus intense

    « Tiens-toi là, salope. Prends ça, bordel ! Tu le veux, hein ? Espèce de pute avide, tu le sens bien en toi, cette foutue brûlure ? C’est bon,dans ton cul

    Chouine!!! chouines encore enculé comme une m*rde ?
    Vas-y, encaisses çà!.OUIIIIiiiii!!!! jouis! encore, C’est profond, putain, bien profond. Tu vas rien oublier, espèce de traînée. »


    Veux-tu que je continue dans cette veine ?

    Et est-ce que tu préfères que ça reste uniquement brut

    ou tu veux aussi mêler un peu d’émotion ou de tension psychologique ?

     Voici,voilà quelques manières de la sublimer enculer enflure je vais  l’intégrer dans un contexte narratif, sans en amoindrir la brutalité :


    En Version directe et rythmée (scène intense) :

    Elle le prend sans douceur, l’accessoire bien sanglé à ses hanches, s’enfonçant en lui comme un verdict. Il gémit, vacille.
    Et elle hurle, les yeux brûlants de rage et de plaisir :

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.


    — JOUIIIiiiiiiiis !!! Salaud ! Pour la salope que je suis !


    Cette Version plus stylisée (pour roman ou nouvelle érotique) :

    Le rythme est brutal.

    Les reins claquent,

    les mains serrent,

    la chair plie.
    Et dans un souffle déchiré, elle crache :
    — Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.
    Ce n’est pas une demande. C’est une sentence.


    Tu veux que je t’aide à écrire la suite de cette scène ?

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Ou l’introduire dans un cadre plus large

    — un texte érotique, une domination psychologique, une tension entre les personnages ? Je peux t’accompagner 

     

     Jouibrulance va en redemander, les yeux grands ouverts, presque à verser des larmes de plaisir qu’elle ne peut contenir.

    Elle lui balance encore, dur, sans pitié. Il garde ce foutu ballon rouge,

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    comme une muselière, coincé entre ses dents, la bave dégoulinant le long de ses lèvres tremblantes. Il hoche la tête, sauvagement, comme un putain d’animal affamé, sans pouvoir prononcer un mot, incapable de faire autre chose que supplier silencieusement.

    Ses yeux brillent de cette faim débordante, cette envie sale, brutale. Il en veut plus, toujours plus. Et elle le sait.

    « Vas-y, bouffe ça, espèce de sale chien. Tu réclames encore ? »
    Il grogne, son souffle rauque prisonnier du ballon, la bave éclaboussant autour. Plus rien d’humain dans ce regard, juste ce désir crasse d’encaisser, d’absorber chaque morceau, chaque ordre.
    Elle sourit, cruelle. « Tu mérites ça, enfoiré. Alors prends. »

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.Son rire, un ricanement cruel, glacial, résonne dans la pièce, laissant une trace amère au creux des oreilles

     Toi qui pensais maîtriser le jeu, seule, c’est elle qui mène la danse, parce qu’elle connaît ce secret depuis toujours, avec moi.

     

    Qu’est-ce que tu croyais, Jouibrulance ? Que tu étais la seule à connaître ces règles du jeu ?

     

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    " "Oui, c'est bon,je n'arrête pas, de lire ton texte, je jouiiis."

    Ce ricanement court, cassant, qui claque comme un fouet dans le silence, sans la moindre indulgence

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Tous les couples, toutes les f*lles, tous les gars sont absorbés dans ce texte. Certains pétillent, leur bouche tremble, leur corps palpite comme un feu brûlant à fleur de peau.

    Ils s’ouvrent grand, s’immergent, se connectent, leurs cuisses s’entrelacent dans ce flot d’écriture.

    Certains s'éclatent de bien mouiller dans ses cheveux, se cachent dans la culotte qui explosent partout, 12 lots de trois slips dans chaque souffle, chaque mot. Le silence est brisé, et ils murmurent, haletants :

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Dans une pièce étouffante où la lumière tremblait, un rire sec déchirait le silence.

    C’était un rire tranchant, rapide, comme le claquement d’un fouet, sans aucune douceur ni pitié.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    Autour, les corps semblaient flotter dans une étrange transe, mêlant le chaos et la folie.

     

    Ils étaient là,

    tous ensemble,

    couples désordonnés,

    jeunes femmes

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    et jeunes hommes,

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

    vieux,vielles pris dans une danse sauvage où les limites s’effaçaient.

    Les sons de leurs corps résonnaient, étranges, presque grotesques : des éclats, des souffles, des rires nerveux.

    On entendait des choses folles

    — des flatulences s’échappant ici et là, dans la bouche, sur les cuisses, dans les cheveux, partout à la fois, comme un carnaval déjanté.

     

    « Ne t’arrête pas, je brûle, » murmuraient-ils, enfiévrés, comme s’ils défiaient les règles, la bienséance, le monde lui-même.

    Jouis, salaud… jouis pour la salope que je suis.

     

    Et ce rire, ce cri sans remords, continuait de claquer dans l’air, emportant avec lui toute illusion de contrôle.

     

    C’était une nuit où les corps s’abandonnaient, où la folie, le désir et le grotesque se mêlaient sans filtre.

    no comment