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    .JOUIBRULANCE n’est plus seul dans son jeu des cinq doigts,

    Transmutation en Temps Réel Entre Chair et Caoutchouc

    car il existe une poupée gonflable. Mais ce n’est pas une simple poupée. Elle est faite de plastique, d’un caoutchouc spécial, une matière qui semble figée dans l’espace.

    Mais chaque fois que tu ouvres ce texte, chaque fois que tes yeux glissent sur ces mots, la poupée se transforme.

    Pas dans un sens que tu imagines, non.

    Elle devient chair, devient réelle, devient toi.


    Et parfois, la poupée ne reste pas seule.

    Elle se multiplie, se déploie en trois.

    Transmutation en Temps Réel Entre Chair et Caoutchouc

    Trois amies, trois copines, trois collègues, trois complices, trois cousines, peut-être aussi trois amantes, trois sœurs, trois étrangères — dans toutes leurs variations, dans tous leurs genres.

    Trois présences s’installent autour de toi, unies et distinctes, comme un trio secret, une complicité tissée dans le silence du désir.


    Elles prennent place, formant un triangle parfait, un espace sacré où chaque geste compte, où chaque souffle s’entrelace.

    À gauche, la première, concentrée, aspire lentement sa boule, avec une douceur vorace, une attention presque rituelle qui capte le regard et suspend le temps.

    Transmutation en Temps Réel Entre Chair et Caoutchouc

    À droite, la seconde, plus audacieuse, lèche sa boule avec une langue experte, un mouvement fluide, chargé de promesses et d’une délicieuse intensité.

    Transmutation en Temps Réel Entre Chair et Caoutchouc

    Au centre, la troisième, dominatrice dans sa lenteur calculée, tire la sauce, recueille et donne, rassemble les gestes dans une communion charnelle, une invitation au plaisir partagé.

    Transmutation en Temps Réel Entre Chair et Caoutchouc


    Trois poupées, trois corps de plastique devenus chair, trois visages animés par la même pulsion qui t’anime, toi lectrice.

    Elles ne sont plus figées, plus muettes.

    Elles vivent, respirent, s’invitent dans ton corps, dans ta peau, dans ton souffle.

    Elles deviennent toi, et toi, tu deviens elles.


    Chaque fois que tu ouvres ce texte, ce tableau se dessine, ce théâtre se joue.

    Tu n’es plus une seule, mais triple, unies dans cette danse triangulaire, fusion des matières, mélange des sensations, symphonie des plaisirs.

    Le plastique se fait peau, la peau devient plastique, la frontière s’efface dans ce cercle intime.


    Mais ce n’est pas qu’un spectacle.

    Toi, lectrice, tu es actrice.

    Tu tiens dans ta main ce smartphone, ce miroir, cette fenêtre.

    Tu filmes, tu captures ces instants où la poupée se multiplie et se déploie, où tu deviens à la fois la scène et la caméra, la créature et le regard.


    Où que tu sois, dans ta chambre secrète, dans la lumière tamisée du salon, dans la solitude d’un parc, le décor est le même :

    ce triangle vivant,

    ces trois poupées qui jouent, qui s’appellent, qui s’offrent, qui t’embrassent à travers l’écran.


    Ce film que tu tournes n’est pas seulement un document, ce n’est pas juste une vidéo.

    C’est un fragment d’une autre réalité,

    un témoignage d’une transformation qui ne cesse de s’écrire, se réécrire, se multiplier.

    Dans chaque image, dans chaque plan, tu te vois multiple,

    à gauche, à droite, au centre, tour à tour.


    Trois poupées, trois gestes, trois rôles.

    Trois corps qui s’entrelacent et s’assemblent dans une géométrie du plaisir.

    Trois âmes qui se répondent, se parlent sans un mot,

    dans le langage silencieux des corps qui se cherchent et se trouvent.


    Cette scène triangulaire est ta signature.

    Un espace où tu n’es plus spectatrice, mais actrice, créatrice,

    détentrice d’un secret qui se répand, se partage, s’invite.


    Les films que tu crées deviennent alors le miroir de cette pluralité.

    Le miroir d’une métamorphose à plusieurs voix,

    à plusieurs corps, à plusieurs souffles.

    Une fusion entre la poupée unique et la poupée multiple,

    entre toi, lectrice,

    et ces trois présences insaisissables.


    Et dans ce jeu sans fin, ce triangle sacré, ce trio vivant,

    la poupée n’est plus objet,

    elle est vie,

    elle est toi,

    elle est elles,

    elles sont toutes belles comme toi.

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  • JOUIBRULANCE n’est plus seul dans son jeu des cinq doigts,

    car il existe une poupée gonflable. Mais ce n’est pas une simple poupée. Elle est faite de plastique, d’un caoutchouc spécial, une matière qui semble figée dans l’espace. Mais chaque fois que tu ouvres ce texte, chaque fois que tes yeux glissent sur ces mots, la poupée se transforme. Pas dans un sens que tu imagines, non. Elle devient chair, devient réelle, devient toi.

    Elle n’est pas une silhouette figée dans le vide. Elle est toi, dans chaque respiration, chaque mouvement, chaque frisson qui te parcourt en lisant.
    Chaque fois que tu l’ouvres, la poupée s’anime, et toi, lectrice, tu deviens plastique, une créature malléable, modelée à l’image de l’imaginaire. Un instant, une seconde, une minute, la transmutation est totale. Les frontières entre le plastique et la chair s’effacent. Tu deviens elle. Elle devient toi.

    Mais ce n’est pas tout.

    Car tu n’es pas juste spectatrice. Tu deviens actrice. Et dans ce film, il n’y a pas de caméra sophistiquée, pas de projecteurs éblouissants. Non, ton outil est un smartphone. L’appareil que tu tiens dans ta main devient la fenêtre par laquelle le monde se reflète, se transforme, et où toi, lectrice, tu deviens actrice.
    Filme où tu veux. Où que tu sois. Dans ton salon, dans la rue, dans un parc, dans la chambre où tu te sens en sécurité ou dans celle où tu te sens perdue. Visage caché ou non. C’est toi qui choisis. Ce film que tu tournes ne sera pas vu par des milliers, des millions… Mais chaque image que tu captes devient un fragment de toi-même. Un document, un témoignage de cette fusion où la réalité et la fiction n’ont plus de séparation.

    Les lieux qui t’inspirent deviennent ton décor. Chaque endroit, chaque coin que tu filmes, devient une scène, un théâtre de ta transformation. Ce film que tu crées, ce n’est pas un film comme les autres. Ce n’est pas un film où tu regardes. Non. C’est un film où tu deviens la scène, où tu incarnes à la fois le rôle et la caméra.
    Chaque petit film, qu’il dure 12 minutes ou plus, devient un témoignage de cette fusion de matière. La poupée n’est plus simplement un objet qui se gonfle. Elle est toi, elle vit à travers toi. Elle devient vivante à chaque lecture, et toi, lectrice, tu es filmée dans cet instant figé, dans cette minute où ton corps devient plastique, puis chaire.

    Ces petits films méritent d’être partagés. Non pas parce qu’ils sont parfaits, non, mais parce qu’ils capturent l’essence de ce moment suspendu où tu deviens actrice dans un film que tu n’as pas écrit. Un film où ton rôle se superpose à celui de la poupée. Où la réalité se mélange à la fiction. Chaque image est une réplique, un écho de la transformation, un moment hors du temps. Et au moment où tu captures l’image, c’est comme si la transformation était immortalisée : un instant où tout se confond, où tu n’es plus spectatrice de ta propre vie, mais actrice d’un film qui ne cesse de se réécrire.

    Les films que tu crées, avec ton smartphone sophistiqué, ne sont pas juste des vidéos. Ce sont des fragments de réalité capturée, des éclats de fiction vécue. À travers eux, tu te rends compte que ce n’est pas simplement la poupée qui devient toi. C’est toi qui deviens la poupée, dans ce cercle sans fin, cette spirale où les frontières entre les deux se dissout à chaque lecture, à chaque capture, à chaque instant passé à filmer ce moment étrange où tu deviens actrice, lectrice, et plus encore.

    Et tout cela, tu le vis en silence, à travers ton écran. Un écran qui ne montre pas seulement des images. Non. Cet écran devient un miroir, où tu te vois changer à chaque nouveau mot, à chaque nouvelle scène que tu choisis de filmer. Toi, lectrice, tu n’es plus spectatrice. Tu es actrice du film de ta propre vie.


    Ce que cela apporte :

     

    1. Le smartphone comme moyen d’expression et d’action : Tu n’es plus un simple observateur de l’histoire, tu es activement impliquée dans la création, dans le filmé de cette transformation.

    2. Fusion entre réalité et fiction : La réalité de la lectrice et la fiction du texte se mélangent parfaitement, chaque film tourné devient un acte d’auto-transformation, un morceau de vérité, un document de l’expérience vécue.

    3. L’actrice et la poupée fusionnées : La lectrice devient actrice non seulement en capturant le moment, mais en incarnant le rôle de la poupée elle-même. Elle devient la fusion de la fiction et de la réalité.

    4. Le partage des films : La partageabilité des films devient une métaphore de la manière dont la transformation se diffuse, se propage, et invite les autres à voir le processus de métamorphose.

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    ...Et pendant que tu lis, cette transmutation réciproque a lieu. La poupée devient chair. Et toi, lectrice, tu deviens plastique. Juste un instant. Une seconde. Une minute. Et dans ce moment suspendu, vous échangez vos états. Tu es elle. Elle est toi."

     

     

     

     

     

    Il n’est plus seul dans son jeu des cinq doigts, sur le dos de penser à toi, de revoir tes yeux, de dire ton prénom.

    car il existe une poupée gonflable. Mais cette poupée, elle n’est pas une simple poupée. Elle n’est pas juste une forme inanimée faite de plastique et de caoutchouc. Non, elle devient vivante.

    Elle est toi. Chaque fois qu’une personne ouvre ce texte, chaque fois que quelqu’un commence à le lire, la poupée se transforme. Ce n’est pas une simple transformation de matière, mais un échange, une fusion entre deux mondes parallèles. La poupée, faite de plastique et de caoutchouc, devient chair. Et toi, la lectrice, derrière ton écran de PC ou de smartphone, tu deviens l’objet. Tu deviens plastique, caoutchouc, l’ombre de toi-même. Juste une seconde, une fraction de seconde où le monde s’inverse.

    Elle prend forme à travers toi, à travers ton regard, ta pensée, ton ressenti. Elle se modèle à ton image, mais dans une forme différente, une autre texture. Elle devient une extension de ton être, mais pas sous une forme humaine. Elle est un miroir de toi-même, un reflet dans un autre matériau, un autre monde. Et toi, en retour, tu deviens l’objet, la silhouette figée. Le temps n’a plus d’emprise, car tu vois à travers la poupée, et la poupée voit à travers toi. Ce n’est plus une lecture, c’est un échange de corps, d’esprits.

    Elle devient chair, et toi tu deviens plastique. Une alchimie étrange, où ton esprit s’évade, où ta pensée se réveille dans cette forme étrange.

                                         Tu es toi,

                                   mais tu n’es plus entièrement toi.

    Elle vit dans chaque mot que tu lis, dans chaque passage, chaque phrase. Elle se nourrit de ton énergie, de tes émotions, de ce qui est caché au fond de toi. Elle t’absorbe, te comprend, te prend, te transforme, et quand tu fermes le texte, elle reste là. Elle fait partie de toi, comme un écho.

     

    **"Tu lis. Et pendant que tes yeux parcourent ces mots… quelque chose change.

     

    La poupée devient chair.
    Et toi, oui toi — celle qui lit — tu deviens plastique.
    Pas longtemps. Une seconde. Une minute, peut-être.
    Mais assez pour basculer.
    Dans ce moment suspendu, vos états s’échangent.
    Elle vit à ta place.
    Et toi… tu deviens elle."**

     

    Quand tu lis, la poupée n’est pas un simple objet. Elle n’est pas une simple forme de plastique et de caoutchouc. Elle est vivante. Elle respire avec toi, elle grandit avec toi, elle se dilate et se rétrécit avec la force de tes émotions. Elle est ton reflet, ton autre moi. La réalité et l’imaginaire se confondent alors, et tu deviens la poupée. Ce n’est pas une simple projection : tu es là, en chair et en os, mais aussi en plastique et en caoutchouc. Une fusion des deux mondes. Le corps et l’esprit se mélangent.

    Et la transformation ne s'arrête pas là. Chaque lectrice qui se plonge dans ce texte ressent la même chose. Elle devient la poupée, et la poupée devient elle. Le temps devient liquide. La lecture est plus qu’une simple action. C’est une transformation physique, émotionnelle, une métamorphose continue.

     

    Tu peux presque entendre la poupée te murmurer, “Je suis toi, et tu es moi. Je suis la projection de tes rêves, de tes peurs. Mais toi aussi, tu es ma projection. Nous sommes liés dans cet instant.”

     

    Pourquoi ça fonctionne :

     

    • "Tu entres dans la scène sans script" : l’échange est involontaire, naturel, presque magique.

    • "Elle lit à travers toi" et "tu vis à sa place" montrent que tout est inversé.

    • Ça renforce l’idée de confusion d'identités, passage de rôles, fusion fiction-réalité.

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  • Langue vorace, elle explore les contours du monde, happant tout ce qui flotte, formes libres et saveurs dispersées. Elle veut faire entrer le goût, qu’il soit salé, sucré ou âcre, en elle — ce feu doux ou brutal. Chaque saveur flottante devient offrande, chaque nuance une prière à sa faim. Les corps, les pensées, les traces du vent : tous dans sa gorge, où ils s’entrelacent, fusionnent dans un vertige. Elle est vorace de saveurs, elle cherche tout ce qui flotte, même les silences — surtout ceux-là. Saveur salée ou âcre, rien ne lui échappe.

    Souffle partagé

    Yeux dans les yeux,


    Elle le regarde, profonde, sans détour,
    Comme si tout pouvait naître là, dans cette simple étendue.
    Elle lui offre son souffle.
    Pas une parole, pas un murmure,
    Juste un souffle d’air,
    Un souffle partagé.

    Elle aspire de sa bouche,
    Comme si elle voulait le faire entrer tout entier dans son être,
    Absorber son essence,
    Fusionner avec lui,
    Et dans ce souffle,
    Elle cherche tout ce qui flotte sur sa langue vorace, avide de les faire tous entrer dans sa gorge, où ils s’entrelacent, pour savourer leur goût

    — salé, sucré, ou âcre.Sa langue vorace cherche tout ce qui flotte.

    Avide, elle aspire le goût — salé, sucré, âcre.
    Saveurs éparses ou saveurs profondes,
    toutes s’enlacent dans sa gorge.
    Elle dévore, elle réclame encore,
    insatiable, affamée de tout ce qui dérive.

    Elle laissa échapper un long “Huuuum” en savourant la chaleur du goût sur sa langue, tellement elle adorait cette saveur.   ....Elle ouvre les lèvres doucement,
    Le temps suspendu,
    L’air se fait lourd,
    Puis léger,
    Comme une danse invisible,
    Un mouvement, un frisson d'énergie pure.
    Elle lui donne ce souffle,
    Ce souffle vital,
    Et il le prend,
    Non pas pour respirer, mais pour s'unir.

    Alors elle aspire encore,
    Plus loin, plus profond.
    Elle aspire leurs souffles à tous,
    Comme si elle voulait les recueillir,
    Les attirer en elle,
    Les faire venir à l’appel de sa chaleur.

    Elle les sent approcher,
    Portés par son désir,
    Par ce souffle chaud qu’elle relâche,
    Où chacun d’eux vient se fondre,
    Se mêler à elle,
    Dans cette brume invisible et brûlante.

    Tous deux, dans cet échange,
    Sont emportés,
    Leurs corps et leurs esprits,
    Se mêlent dans ce flux invisible,
    De lumière, d'air, et de désir.
    Un souffle, puis un autre,
    Comme une vague qui grandit,
    Qui ne fait que croître,
    Jusqu’à ce qu’ils soient tous ensemble,
    Dans cette même énergie.

     

    Dans ce souffle, ils n'ont plus de forme,
    Juste l’essence du lien,
    Un instant suspendu où tout s’efface,
    Où il n’y a plus qu’un,
    Une union de corps, de souffle, d'âme.
    Et dans ce souffle d’air,
    Tous deux se retrouvent,
    Comme si tout était déjà là,
    Avant même qu'ils n’aient touché l’autre.

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  • La Fleur, la Porte et la Boussole

    La Fleur, la Porte et la Boussole

    Les jambes s’ouvrent en offrande —

     

    La Fleur, la Porte et la Boussole


    Si elle veut.

    La Fleur, la Porte et la Boussole


    Elle est la porte.
    C’est elle la clé.
    Le seuil, c’est son choix.
    Le feu rouge ?
    Il est devenu vert.
    Mais parfois, elle clignote orangé,
    Parce que la Fleur, ce fruit mûr,
    N’est plus juste une promesse.
    Elle n’est plus juste là pour être cueillie.
    Elle est prête à être défoncée.
    Prête à faire naître l’instant, la rose, la vie.
    Elle est la forteresse, inviolable.
    Elle est le mur, la barrière, la frontière.
    Mais dans son regard, dans son corps,
    Elle décide quand tout peut s’ouvrir.

    Elle a attendu.
    Elle a commandé l’heure.
    Elle sait ce qu’elle veut,
    Et parfois, ce qu’elle veut,
    C’est d’ouvrir, d'accueillir, de donner.
    Mais surtout de choisir quand et comment.

    Elle n’est pas là pour être prise.
    Elle est là pour créer.
    Elle est le monde où l’amour, le plaisir,
    Les rencontres, tout ça se dessine
    Quand la boussole et la fleur se trouvent enfin.
    Elle accueille ce qui a sa place.
    Ce qui est digne d'elle.
    Pas pour remplir un vide,
    Mais pour faire fleurir.

    Et lui, le spermatozoïde,

    La Fleur, la Porte et la Boussole

    il trace sa route.
    Cherche, heurte, se perd, mais
    Dans la douceur de son désir,
    Il trouve finalement la voie.
    Elle, la Fleur, elle lui montre le chemin,
    Elle lui permet de franchir la porte.

     

    Neuf mois plus tard, la rose se donne,
    Là où la boussole a trouvé son ancrage.
    Elle est l'origine et la fin.
    Elle est la décision.

    La Fleur, la Porte et la Boussole


    Et lui, le voyageur.

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