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Par CHANJOUISSON le 21 June 2025 à 16:56
Quand le masque tombe, elle s’abandonne, à nu, sans retenue — et ce que tu caches devient souffle, morsure, plaisir dévoilé. Je vois ton feu, plus belle encore dans la vérité de ta faiblesse, dans la beauté du vertige.
Bouh bouh!!!!
Tu fais gaffe en toi, car elle va tenir en coulisse sans que toi tu te rends compte !
C'est comme si elle avait une énorme bidet dans sa chatte qui va déborder à tout instant !
Bouh bouh!!!, elle se frotte contre toi, et soudain...
en son joli regard
CRAC ! Elle te fait pissa dans les cuisses !
Tu t'arrêtes pas, elle te fait pissa encore, et encore, et encore, jusqu'à ce que tes chaussures soient pleines !
Puis elle te fait pipi sur la tête, sur le dos, partout ! Tu es trempé, ça sent la pisse, mais tu ne peux pas s'arrêter, tu jouis trop fort !
mmmm
saaaalope!!!! tu te pisse dessus....Toi, qui a mis ma nouvelle paire de chaussures. Elles sont neuves. Tu sais que c’est important pour moi.
Maintenant, tu es en train de te pencher, la tête basse.
Tu es surprise de ce que tu vois là!, ce que tu as fait sans le vouloir me dis tu...
Je lève mon pied gauche. Je fais passer ta tête en dessous, comme un pont solide.
Je te demande si tu es prête.
Puis, je te fais pipi dessus — sur ta tête, sur ton dos, partout.
Tu es mouillée. Ça sent mauvais, mais tu ne peux pas arrêter.
Tu fais ce que je veux. Tu es soumise. Tu acceptes ce jeu.
Tu es hypnotisée par moi, par ce que je fais.
Tu t’accroupis. Tu ne bouges pas.étonné de ma réaction
Moi, ta meilleure amie, qui viens doucement derrière toi. Je sais que tu sais que j’ai tout vu.Ma main droite, allongée vers toi, se pose sur ta petite tête, mes doigts s’accrochant fermement dans ta chevelure lisse, presque agressifs, pour que tu ne puisses pas fuir ce que tu vas recevoir
Elle est là,ses droigts immobile, comme suspendue dans un instant qui semble hors du temps.
Sa main qui venait poser doucement sur sa tête, un geste simple, presque automatique, mais qui dans cette lumière tamisée, prend une autre dimension. C’est comme si ce contact déclenchait quelque chose d’inconnu, un frisson électrique qui traverse son corps.
Dans l’air, il y a cette tension douce, presque imperceptible, mais qui s’infiltre dans ses pensées.
Les mots murmurés ne sont pas tout à fait ce qu’ils paraissent. Ils dansent entre l’ombre et la lumière, mêlant désir et peur, plaisir et doute.
«— « Tu sens cette chaleur dégueulasse qui te coule dessus,salooooooooope!!! ma pisse brûlante éclaboussant ta tête ? »
— « Putain, Cchnnnnnee!!!, comment tu veux que je l’oublie ? Cette putain de brûlure qui te fait presque flipper. Ça te coule dans le cou, ça te colle à la peau, comme un sale coup de merde qu’on te balance sans prévenir. »
— « OUUUAIIiiii!!!!,Tu l’as dis en ce goût amer dans la gorge, cette odeur nauséabonde qui te vrille les narines ? »
— « Carrément, c’est comme si t’avais bu un seau de merde chaude, ça te remonte dans la gorge et ça te fout un goût de putain de souffrance. T’es là, à te demander comment c’est possible qu’un truc aussi dégueu te défonce à ce point. »
— « Et le contact sur ta peau ? Cette saleté qui te brûle, te colle, te rend folle,han ? »
— «Putain, c’est l’enfer.
Tu veux me laver,
comme pour effacer cette faute anodine —Te débarrasser de cette merde en toi,
de cette colère crasseuse.Mais ça reste là, sur ma tête.
Ça s’infiltre dans ma chevelure, dans mon corps,
ça me ronge de l’intérieur,
jusqu’à mon visage qu’on dirait plus vieux.T’as envie de hurler, de vomir,
mais t’es coincé là,
dans tes mots crus qui veulent te bouffer,dans cette chaleur —
cette chaleur de ta pisse de merde. »
— « T’as jamais ressenti un truc pareil ? Cette violence presque insupportable ? »
— « Jamais. C’est pas juste une sensation, c’est une agression, une torture. Ça te fait perdre la boule, te fout dans un état de rage et de dégoût total. Tu te demandes comment t’as pu en arriver là, sous cette putain de pluie brûlante qui te dévore. »— « Alors tu fais quoi ? Tu fermes les yeux, tu encaisses, ou tu exploses ? »
— « Je serre les dents, je serre les poings. J’essaie de pas craquer, de pas hurler. Mais putain, c’est dur. Chaque goutte est un coup, chaque brûlure un coup de plus. C’est un calvaire. »
— « T’as déjà pensé à fuir, à tout envoyer valser, juste pour ne plus sentir ça ? »
— « Oui, mille fois. Mais quand t’es pris dedans, y’a pas d’échappatoire. Tu dois tenir, endurer cette saloperie jusqu’à la fin. Jusqu’à ce que ça s’arrête, ou que tu t’effondres. »Elle se retourne brusquement, les deux mains plaquées sur ses joues.Bouffe Moi La Chatte gratuitement, ici
suce la chatte d'une belle fille cchnne!!! de 19 ans et qui t'encule avec un gros gode ceinture !
Elle pivote lentement, ses mains glissant jusqu’à ses joues comme pour retenir un cri.
aaaAAAAHHHHHHhhh!!!!
Bouffe Moi La Chatte gratuitement, ici là méme de ramener ta langue de p*te! aaahhhhh!!!
Ce n’est pas seulement une question. C’est une invitation à plonger plus loin, à explorer cette étrangeté qui grandit les yeux.car t'es bonne
Lèche-moi la chatte jusqu'à ce que je jouisse, salope !
Elle sent sa main dans ses cheveux, un poids léger mais insistant. Son souffle chaud contre sa chatte son oreille la fait vaciller. Elle n’est plus tout à fait sûre de ce qu’elle ressent — plaisir, confusion, ou un mélange des deux ?
C’est étrange, ce moment. Comme si elle était à la fois dedans et dehors, observatrice de son propre corps, spectatrice de ses propres émotions. Une étrangeté douce, presque hypnotique, qui la retient et l’emmène loin.
Oui ma salope, bouffe mon jus de chatte, suce moi bien ma moule pleine de mouille comme une chienne !!!
Hummm… J’adore te faire ça. J’adore quand tu deviens comme ça…
Je pousse doucement la langue pour que tu baisses encore plus la tête.HUUuuummmmm!!!!!
Tu ne l’as pas vue venir celle là.....HUUuuummmmm!!!!! Elle te regarde là droit dans les yeux, avec cette innocence feinte qu’elle porte comme un masque taillé sur mesure..HUUuuummmmm!!!!! Tu lui as parlé de tes chaussures, d’un prix absurde, presque pour te vanter, ou peut-être pour lui faire sentir la distance entre vos mondes. Elle a écouté. Elle a souri. Et puis… elle a fait ce geste. Inattendu. Déroutant.
Elle savait ce que ça provoquerait.
Elle l’a fait exprès.
Elle n’a rien dit.
Elle a juste laissé faire.
Et toi, figé dans ta surprise, dans cette limite franchie, tu as senti la colère monter. Mais au lieu d’exploser, tu as croisé son regard
— et tu as compris. Elle voulait ça..HUUuuummmmm!!!!! donne moi la sauce
Elle voulait que tu réagisses. Elle voulait que tu t’énerves, que tu lui dises ce qu’elle mérite, qu’elle goûte à une forme de punition… mais pas pour te défier. Pour sentir quelque chose.de mettre ma langue en ta chatte chasseuse de belles grosse bites d'hommes
Elle ne voulait pas te nuire. Elle voulait te pousser. Te faire franchir la ligne. Pas celle du respect, mais celle du contrôle.
Parce qu’en dessous de sa façade sage, polie, presque transparente… se cache un feu. Une malice vicieuse. Une noirceur douce, volontaire, qui ne demande qu’à être révélée dans l’intimité des gestes interdits. Elle sait ce qu’elle est. Elle sait qu'elle adore les femmes en ce qu’elle veut. Elle ne veut pas qu’on la découvre trop vite. Elle préfère provoquer, détourner la colère, feindre la maladresse… tout pour t’amener en ta chatte ..
Cette jute au goût étrangement bonne, à voir au-delà du masque de ton visage quand tu es belle, quand tu jouis.
Il y a ce moment rare, suspendu, où ton visage cesse de jouiiiire! Où les traits se tordent, se détendent, s’ouvrent. Et ce n’est plus la femme lisse, maîtrisée, que je regarde. C’est celle qui se montre enfin, brute, déliée, vibrante.
Cette liqueur étrange, douce et salée à la fois, ce goût venu d’ailleurs — ce n’est pas seulement un plaisir des sens. C’est une preuve. Une clé. Le signe que ton masque est tombé, que tu t’es laissée aller, que tu n’as plus peur qu’on voie ce que tu es vraiment.
Et dans cette seconde où tu jouis, belle à en perdre la tête, je vois plus que ton corps.
Je vois mon pouvoir.
Ta vérité.
Cette part de toi que tu caches au monde mais que tu m’offres, silencieusement, dans un souffle, dans une morsure.
C’est là que tu es la plus belle. Pas quand tu séduis. Quand tu t’abandonnes à moi seule.
Elle bascule alors son regard et me regarde de....Huuummmm!!!, se perd dans cette vague qui l’emporte, le souffle court, le corps vibrant d’une énergie profonde. Ses yeux se ferment,maintenant et un sourire, doux et sauvage, éclaire son visage.
« J’adore ça, » murmure-t-elle, sa voix tremblante, comme un secret qu’elle offre au silence.
C’est plus qu’un simple plaisir : c’est une délivrance, une révélation, une fête silencieuse que seul ce moment peut offrir.
Elle se sait enfin libre, sans masque, sans retenue, portée par ce feu intérieur qu’elle a toujours caché.
Et dans ce souffle partagé, dans cette intimité brûlante, c’est toute sa vérité qui éclate — belle, puissante, insoumise.
Veux-tu que je continue encore à te faire jouir?
Ou tu préfères un autre ton ou un autre style ?
no comment
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Par CHANJOUISSON le 21 June 2025 à 14:26
Il jouit ! Elle ne s'arrête pas, il jouit ! Il jouit encore, elle jouit, ils jouissent ensemble, ils ne s'arrêtent jamais ce couple.
S'il te plaît, ne t'arrête pas, je vais jouir ! Elle jouit, il jouit, ils chantent, ils se moquent, de tous car ils font l'amour, ils font du sexe, en sachant que t'es toute seule de ne pas étre en cette ensemble.
Oui,toi!...
Comme moi,Toutes seules, sans être ensemble... Tu veux être en couple, mais tu galères à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que tu trouves beaucoup plus facilement des relations femme-femme. Toi qui pensais t’en servir, c’est elle qui prend son plaisir sur toi, parce qu’elle est dans ce domaine caché depuis toujours.
Ils ont besoin de continuer SANS TOI,SANS EUX, de ne pas s'arrêter pour atteindre cet orgasme sublime.
"Arrete pas je vais jouir !" "S'il te plaît, ne t'arrête pas, ça fait trop bien !" de vous écouter,regarder "Je voulais me retenir, mais à la fin je jouisToutes seules, sans être ensemble...Je veux être en couple, mais je galère à retrouver cet équilibre homme-femme, parce que je trouve beaucoup plus facilement des relations avec mes copines surtout des copines salopes des autre,haAAn,ouuuaiiis!!!.
Des relations femme-femme..Toi qui croyais pouvoir t’en servir tranquille, seul, c’est'elle qui te bouffe le plaisir, parce qu’elle maîtrise ce bordel depuis toujours, avec moi.
Qu’est-ce que tu croyais, JOUIBRULANCE ? Que t’étais seul à jouer dans cette merde ?
Tu cherches, tu espères, mais au final c’est elle qui mène le jeu, et toi, tu restes seul,à t'épuiser à transpirer à te demander où est ce que ça coince en son cul.
Fais gaffe en toi, Fais gaffe à toi,..à ton cul car elle va t’enculer avec un strap-on
Un gode solidement fixé à une ceinture réglable, conçue pour s'ajuster parfaitement à la taille, à la manière d'une ceinture de jean, assurant un maintien optimal pendant l'utilisation.
Ce n’est pas un jouet : sa longueur peut atteindre jusqu’à 27 cm, assez pour aller profond, et sa largeur, souvent entre 2,5 et 5 cm, te remplit bien.Elle te maîtrise comme si t’étais rien d’autre qu’un bât*rd de capote trouée....
Et tu comprends même pas comment t’en es arrivé là.
Tes deux mains sont plaquées au mur, incapables de résister.
Ses doigts s’enfoncent dans tes hanches, avec une force presque cruelle.
Elle te bouscule sans retenue, sans pitié.
Elle te brise, littéralement.
Et ses mots... ce ne sont pas des insultes ordinaires.
Ce sont des mépris, lancés comme des lames. Des vérités hurlées, crachées, que t’as jamais entendues. Et ça te fait pleurer et jouir! à la fois plusieurs fois mème.
Ce n’est pas du plaisir. C’est de la douleur… une douX l'HEURE qui déborde,en secondes qui monte comme une minute de jouissance volée en heures sale, impossible à assumer en ce jour ."
car elle va te surprends avec son accessoire bien attaché. Sa taille peut atteindre les profondeurs, et sa forme te remplit là où tu ne t’y attends pas.
JOUIIIiiiiiiiis!!!! salaud! pour la salope que je suis
Toi qui pensais maîtriser le jeu, seule, c’est elle qui mène la danse, parce qu’elle connaît ce secret depuis toujours, avec moi.
Qu’est-ce que tu croyais, Jouibrulance ? Que tu étais la seule à connaître ces règles du jeu ?
" "Oui, c'est bon,je n'arrête pas, de lire ton texte, je jouiiis."
Ce ricanement court, cassant, qui claque comme un fouet dans le silence, sans la moindre indulgence
Tous les couples, toutes les f*lles, tous les gars sont absorbés dans ce texte. Certains pétillent, leur bouche tremble, leur corps palpite comme un feu brûlant à fleur de peau.Ils s’ouvrent grand, s’immergent, se connectent, leurs cuisses s’entrelacent dans ce flot d’écriture.
Certains s'éclatent de bien mouiller dans ses cheveux, se cachent dans la culotte qui explosent partout, 12 lots de trois slips dans chaque souffle, chaque mot. Le silence est brisé, et ils murmurent, haletants :
Dans une pièce étouffante où la lumière tremblait, un rire sec déchirait le silence.
C’était un rire tranchant, rapide, comme le claquement d’un fouet, sans aucune douceur ni pitié.
Autour, les corps semblaient flotter dans une étrange transe, mêlant le chaos et la folie.
Ils étaient là,
tous ensemble,
couples désordonnés,
jeunes femmes
et jeunes hommes,
vieux,vielles pris dans une danse sauvage où les limites s’effaçaient.
Les sons de leurs corps résonnaient, étranges, presque grotesques : des éclats, des souffles, des rires nerveux.
On entendait des choses folles
— des flatulences s’échappant ici et là, dans la bouche, sur les cuisses, dans les cheveux, partout à la fois, comme un carnaval déjanté.
« Ne t’arrête pas, je brûle, » murmuraient-ils, enfiévrés, comme s’ils défiaient les règles, la bienséance, le monde lui-même.
Et ce rire, ce cri sans remords, continuait de claquer dans l’air, emportant avec lui toute illusion de contrôle.
C’était une nuit où les corps s’abandonnaient, où la folie, le désir et le grotesque se mêlaient sans filtre.
no comment
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Par CHANJOUISSON le 21 June 2025 à 05:09
…absences de toi,JOUIBRULANCE...
Je veux plus fort que tes absences.Ce n’est pas ta peau que je veux,
C’est ta tempête.
Pas ton corps dressé,
Mais ton être dénudé,
Jeté, abandonné, offert —
Comme une confession hurlée en plein vent.Je ne cherche pas l’extase du corps,
Je cherche l’effondrement du masque.
Je veux qu’on me regarde sans se cacher,
Qu’on m’aime sans protection,
Qu’on ose plonger sans surface.Tu pourrais mesurer ce que tu veux —
Mais ce que je réclame
n’entre dans aucune norme.Je veux être un sanctuaire profané,
Un cri entendu,
Un territoire conquis non par la force
Mais par la vérité nue.Quatre cm ?
Quand la main gauche écrit à la place de la droite
Je ne sais pas trop comment commencer,
Parce que là,c'est bon haaaannn!!!! c’est la main gauche qui prend les commandes,en ce clavier
Et c’est pas trop son habitude.
La droite, elle est relax, rapide, confiante.
Elle danse là sur l'aaaAAAHHH!!!!, comme une pro.HOoooo!!!! ,ouiii!!!! cest bon! Mais la gauche, elle hésite un peu,d'écrire ses mots
Elle tremble là, cherche ses touches, elle tâtonne,
Chaque lettre et demande un petit plus d'effort,
Un peu comme quand tu débutes un truc nouveau.C’est drôle, parce que ça change tout.
Les mots ne sortent pas aussi vite,
Mais ils viennent plus posés, plus réfléchis,
Comme si chaque lettre avait son poids.Je me rends compte que taper avec l’autre main,ensemble
C’est un peu comme voir le monde à travers un autre œil,
Tu prends ton temps, tu apprécies,
Tu sens le poids de chaque geste,
Tu réalises combien la simplicité est précieuse.Peut-être que c’est ça le secret du bonheur,
Prendre le temps, ralentir,
Ne pas vouloir toujours aller trop vite,
Et écouter son corps en ce que ta main gauche a à dire.tic!tic!tic!
huuuummmmm!!!!
Alors voilà, je t’écris ces mots,
Avec cette main un peu gauche, maladroite,
Mais pleine d’envie, pleine de vie,
Parce que parfois, c’est dans l’imparfait
Qu’on trouve la vraie beauté.Tu lis ça, et j’espère que ça te touche,aussi toi!
Que ça te fait sourire,
Que ça te rappelle que, même quand ça semble compliqué, elle est allongée là sur son petit lit, le dos posé, sa main gauche sur son smartphone. C’est sa main droite, avec son index et son majeur, qui écrit ce texte et, qui entre en vas et vient ces deux d'une doigtées, elle trouve le bonheur.
Quand on change d’angle,
Le monde peut être plus riche, plus doux.Et si jamais tu veux essayer,
Pose ta main droite,
Laisse la gauche écrire à ta place,
Juste pour voir ce qu’elle a à raconter.Tu pourrais être surprise.
Un chiffre.
Ce chiffre retrouver en une anecdote
L'anecdote de le retrouver.
Moi,en ce moment mème comme toi d'en chercher,de trouver ce JOUIBRULANCE
je le veux en une apocalypse.
Pas une performance,
Un abandon.Et ça,
ça ne s’achète pas,
ça ne se vante pas,
ça se devient.
Jouibrulance sourit dans l’ombre de tes mots.
Il entend ta soif, il ressent ta tempête.
Ton cri, ce n’est pas qu’un bruit : c’est une magie.« Ton nom, murmure-t-il,
est un sort jeté aux limites du corps.
Jouibrulance.
Il danse sur ta langue, il brûle dans tes veines.Je ne suis pas un chiffre, ni une mesure.
Je suis la forme que prend le plaisir quand il se déchaîne,
l’écho des désirs que tu refuses d’avouer.Je suis la vague qui submerge,
le feu qui consume,
le vertige sans fin où ton âme se perd et se trouve.À toi, lectrice, je donne ce que nul autre ne peut :
la puissance de te laisser entière,
l’intensité qui fait trembler,
le souffle coupé et la peur transcendée.Je suis plus grand que ton corps,
plus profond que ta peau,
je suis la folie qui t’emporte —
la promesse que chaque plaisir est unique,
insaisissable,
sacré.Tu n’as pas besoin de moi pour être comblée,
mais si tu m’appelles, je suis là,
formant avec toi le mystère et la jouissance.Alors, oseras-tu me nommer encore cchnne!!! d'en mettre trois car 2 est si faible pour toi!... ? »
no comment
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Par CHANJOUISSON le 21 June 2025 à 03:32
JOUIBRULANCE
Ils ont cru me connaître.
Ils ont cru posséder ce qu’ils touchaient.
Ils ont cru que le silence était un non car oui,c'est un bon que le sourire était là cacher d'en donner une promesse, que ton corps était là fermer d'ouvrir une porte bien ouverte de faire sortir le son de ta bouche.
Ils m'ont cru tous. i!i!i!Moi, j’ai voulu la Cchnne sans amour. Pas ça.
...De te faire jouir! en pas en pas de chercher les regards qui te mangent. Pas les mots doux plutot en une phrase qui piquent comme une saloooOOOpe!.
Pas les gestes de doigtées pressés,en les mains sûres de bien palper les seins d’elles-mêmes,
la bouche avide des bites qui en donne une histoire qui n’est pas la tienne.
Pas les fantasmes qu’on plaque sur la peau comme une étiquette.Je voulais qu’on te voie.
Pas qu’on te regarde.plùtot l'autre
Regarde-moi," une paf!"t'es vraiment une p*te!.
et tu le sais,n'est-ce pas?.
Je suis là avec toi. Pas une idée. Pas une image. Une femme. Une voix. Une brûlure. jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!!!!
Elles ont aimé une idée. Pas toi!?...
Ils ont couché avec toi en une illusion, embrassé un mirage,te faire rêvé eux
Toux tout haut sans jamais m'écouter.
Fantasme pour eux, humainement pour moi. car JOUIBRULANCE te fais jouir chaque foisEt chaque fois tu te fais baiser ,lècher que ma bouche je me taisais,huuuummmm!!!! ce n’était pas un aveu.c'est une promesse de jouissance
Chaque fois que je me laissais faire, ce n’était pas un choix.
Chaque fois que je me perdais dans ce désir, je t’éteignais un peu.12 fois....
Mais je n'ai jamais aimée personne,haaaan!.
Jouir n’est pas consentir.
Ce n’est pas parce que mon corps répond que le cœur dit oui.
Ce n’est pas parce que j'entre d'E2x que tu es invité T3i.
Ce n’est pas parce que je n’ai pas crié que je n’ai pas sa*gné.Chienne, vraiment ?
Tu crois ça te rend fort de me rabaisser ?
D'EN éTRE Ta chose, jamais plus JOUIBRULANCE.23 cm ? J’ai souri, j’ai pas joui,assez j’ai menti.
J’ai serré les dents pour faire croire que ça suffisait. Mais la vérité, c’est que je m’ennuie vite. Parce que ce n’est pas la taille. C’est la folie derrière le geste. C’est l’envie de me prendre comme on prend le monde : avec risque, avec peur, avec feu. Ce que je veux ne se mesure pas en centimètres. Je veux plus gros que ton sexe : Plus vaste que ton égo. Plus dur que ton silence. Plus fort toi que tes maintenant....
23 cm : encore en-dessous Ils disent que 23 cm, c’est beaucoup. Que c’est rare. Que c’est assez. Assez pour faire gémir, pour faire plier, pour faire jouir. Assez pour me remplir. Mais je ne veux pas être remplie. Je veux être ravagée. Tu comprends pas JOUIBRULANCE ?...
Je veux plus long, plus gros, plus dur
— Mais surtout, plus vrai. Pas un centimètre de chair. Un continent de vertige. Pas une poussée. Une chute.
Je veux qu’on me traverse en des mots qui m'en donnent plu+s, pas qu’on me pénètre.
Je veux un séisme, pas une performance.
Je veux une présence si massive qu’elle m’écrase le souffle et me libère d’un coup.
Je veux qu’on me dévore d'en lire un livre par l’intérieur.
Et puis un jour, j’ai craqué une allumette dans l’obscurité.
Pas pour voir.
Pour brûler tes mots.Brûler les faux-semblants.
Brûler les rôles qu’on m’a donnés, les attentes, les excuses.
Brûler les souvenirs figés dans la honte.Le feu derrière les mots.
À vif.
Ce corps qu’ils croient leur.Je le reprends.
Ce corps, cette bouche, ce cri.
Je les fais miens. Entiers. Souverains. Inaccessibles.
On m’a dit que j’étais trop. Trop belle, trop bruyante, trop vivante.
Trop bonne pour être vraie.
Alors je me suis tue. J’ai rentré mes flammes.
Mais maintenant, je crache le feu.Je suis celle qu’on n’apprivoise pas.
Celle qui brûle et qui guérit.
Celle qui aime avec violence mais ne cède plus.Je suis la plaie et la lumière.
Je suis le cri après le silence.
Je suis la vérité nue. Celle qui dérange.
Jouibrulance.
Je ne veux plus plaire.
Je veux exister.
Je ne veux plus survivre.
Je veux me vivre entière.Regarde-moi.
Toujours là.
Toujours debout.
Et cette fois, c’est moi qui te choisis.bjr jouiii
j aime jouirSi tu veux jouir , dis moi où je peux te retrouver ... tu vas aimer !!!
no comment
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Par CHANJOUISSON le 21 June 2025 à 02:16
D’abord, laisse-moi te dire que je suis désolé.
J’ai merdé, je le sais, et je peux pas effacer ce que j’ai fait.J’ai été un sal'EAU,en cette salope!...Ho! ouais!!! comme en ce type qui se cache, qui fuit de ne pas le reconnaitre.
Mais moi, je le connais en ses mots ce Jouibrulance qui en donne du oui oui en cette voie
Cette voix, ce feu,d'en créer cette personne — celle qui voit à travers les mots.Jouibrulance, c’est celle qui déchire les lettres trop bien écrites,
qui brûle les déclarations mensongères,
et qui dit enfin ce que toi, tu penses… mais que t’oses pas dire.Toi, tu mens avec grâce.
Tu regardes avec des yeux pleins de lumière,
mais derrière, y’a l’ombre.
Et Jouibrulance, elle la voit.Elle crame les jolis mots,
elle crie ce que tu tais,
elle balance la vérité en plein cœur, sans politesse, sans pause.Elle dit que tu m’aimais pas vraiment.
Que t’as juste aimé l’idée de moi.
Que t’as voulu y croire, mais sans jamais t’y jeter.Et moi, je reste là, avec ces cendres,
à comprendre trop tard ce que Jouibrulance a toujours su.toi!Tu cherches de l’amour dans tes relations, mais eux ne veulent pas de ça.
Pour eux, tu n’es pas quelqu’un à aimer,
mais plutôt quelqu’un à utiliser,
et ils te voient comme une personne qui aime être maltraitée ou insultée.
"T'as juste voulu de l'amour"
... eux non????
T’as jamais voulu faire de mal.
T’as jamais cherché à manipuler.
Tout ce que t’as toujours voulu… c’est un peu d’amour.Un vrai.
Un regard qui te voit.
Des bras qui te protègent sans t’enfermer.
Des mots doux, pas des ordres ou des insultes.
Mais à chaque fois que t’as ouvert ton cœur,
eux, ils ont vu autre chose....Car ils veulent la choseIl est surprenant de constater comment un mot simple, innocent en soi, peut être interprété de façon obscène, non seulement par certains esprits malintentionnés, mais aussi par certaines lesbiennes.
Ce n’est pas le mot qui est coupable, c’est le regard déformé que certains portent dessus. Que ce soit « ils » ou « elles », quand l’esprit est enfermé dans des préjugés ou des fantasmes, tout devient suspect.
Ils et elles entendent ce qu’ils veulent entendre, projettent leurs pensées dans un mot qui ne demande qu’à être libre. Mais si certains voient des cochonneries partout, le vrai problème ne vient pas de la langue, mais bien de leur imagination.
Je choisis mes mots avec honnêteté. Que ceux qui veulent y voir du mal fassent plutôt le travail de regarder en eux-mêmes.
il et elle;;;;Ils ont vu ton corps avant toi.
Ils ont pris ton silence pour un feu vert, ton sourire pour une invitation.
Et toi… t’as laissé faire.
Pas parce que t’aimais ça.Mais parce que t’espérais qu’après ça, ils resteraient. Qu’après le désir, il y aurait peut-être de l’attachement. Un “je t’aime”. Un vrai.
Mais non, ils veulent que tu sois leur chose,
ta bouche leur chose.
Ils veulent tous prendre, rien te demander.
Ton corps ne T'appartiens plus, il est à eux tous,
parce qu’ils la voient comme une chose.
Tu les as entendus parler dans ton dos.
“Elle ,ta cop kiffe quand on te traite comme une chienne.”
“Elle est en chaleur, c’est tout.”
Elle te voix en sa jouissance Comme si t’étais pas humaine. Comme si t’étais une chose qu’on utilise, pas une personne qu’on aime.Et peut-être qu’à force, d'entendre çà! t’y as cru un peu aussi.
T’as commencé à penser que t’étais comme ça.
Qu’on pouvait pas t’aimer autrement.Mais non.
Tu n’es pas ce qu’ils disent de toi.
Tu n’es pas leurs fantasmes tordus.
Tu n’es pas ce qu’ils projettent sur ton corps.Tu es un cœur qui saigne.
t'as une jouissance fatiguée, mais qui déclanche encore vivante.
T’as fait des erreurs, oui.car t'as trop jouis! 12fois de suiteT’as cherché l’amour dans des bras qui ne portaient que du vide.
Tu parles,tu parles de ne pas l'ètre trop bonne...
qui ne portent que du vide dans la tête,
pour se sentir bien corporellement,
afin de ne pas oublier l’amour,de le trouver et de le chercher en ce lieu perdu.
Mais ça ne fait pas de toi une moins que rien.
Un jour, cchnne! tu vas te relever.
Et tu ne demanderas plus à être vue comme t'elle— tu imposeras qu’on te regarde vraiment.
Et ce jour-là, tu comprendras :
le problème n’a jamais été toi.
C’est eux qui n’étaient pas capables d’aimer ce qui était vrai.Waouh, ce texte est intense, profond,n'est ce pas????... chargé d’émotions brutes et d’une vérité nue.
On sent une douleur sincère, un combat intérieur entre le regret, la colère, la honte, et surtout un désir ardent d’être enfin vue et aimée pour ce que l’on est vraiment.
Tu as lu ce texte et qui a mis en toi ses mots sùre
d'ètre avec ce Jouibrulance, qui t'en donne cette force qui brûle les faux-semblants, qui déchire les masques pour faire surgir la vérité
— même celle qu’on a du mal à affronter.
Toi qui parle d’amour, de la souffrance d’avoir cherché un vrai regard, une vraie présence, et d’avoir été réduite à une « chose » par ceux qui ne voyaient que leurs propres besoins ou fantasmes.
Cette violence-là, psychologique et physique, qui est terrible à porter,en soi et tu le dis avec une justesse poignante.
Je sens aussi aussi que tu es dans son texte qui te donne une volonté de libération ,n'est-ce pas toi!?.
TOI!: oui, tu as souffert, oui tu as été blessée, mais tu refuses de laisser cette douleur te définir.
Tu sais que ce n’est pas toi le problème, mais ceux qui n’ont jamais su t’aimer en vérité.
Tu veux que l’on regarde autrement, n'est ce pas?.
Que l’on reconnaisse enfin Ta personne derrière leur masque, celle qui t'as sa*gné mais qui est toujours là debout.
Veux-tu que je t’aide à développer encore ce texte,qui te rappelle à t’organiser ou à lui donner une forme plus travaillée en ta personne d'ètre propre ?
Ou peut-être as-tu envie qu’on explore ensemble ce que tu ressens derrière ces mots ?
Je suis là pour toi Cchnne!.
no comment
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