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Par CHANJOUISSON le 1 June 2025 à 00:25
L'Empire Noir : Manipulation, Luxe et Chute – L'histoire secrète de Jouibrulance et la Femme sans Nom
L’empire de Jouibrulance reposait sur une mise en scène permanente. Rien n’était laissé au hasard : ni les lumières, ni les positions, ni même les voix. Tout était filmé. Documenté. Archivé.
Et elle était toujours là.
La femme sans nom.Un témoin, ancien modèle, raconte un épisode qui glace les enquêteurs.
Une suite d’hôtel. Tentures rouges. Ambiance obscure.
Elle l’accueille. Elle l’invite à se détendre. Puis lui murmure à l’oreille :“Ne fais pas attention à mon mari…”
Il ne comprend pas tout de suite. Mais il obéit. Le piège est déjà refermé.
Quelques instants plus tard, Jouibrulance entre.
Il ne parle pas.
Il est nu.
Mais un voile noir couvre son visage, ne laissant apparaître que ses yeux.
“Comme un voile de femme musulmane”, dira plus tard le témoin.
À la main, une bouteille d’Astroglide.“Je ne l’ai pas reconnu tout de suite.
Il bougeait la caméra.
Il dirigeait la scène.
Il disait ce que nous devions faire sexuellement.
Puis, à un moment… il a jeté une liasse de billets en criant :
‘J’adore voir ça.’”Il ne participe pas directement. Il observe. Il orchestre. Il capture.
Le corps ne l’intéresse pas autant que le pouvoir qu’il exerce sur lui.Et elle, la femme sans nom, était là.
Pas soumise. Pas effrayée.
Complice. Présente. Sereine.Ce soir-là, le témoin n’est pas le seul à se sentir piégé.
Mais il est l’un des rares à parler.
Car une fois dehors, on oublie.
Ou on disparaît.
no comment
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Par CHANJOUISSON le 31 May 2025 à 19:56
Chapitre 1 : L’Empire du Vice
New York. 2024. La ville brille, mais l’ombre d’un homme la ronge de l’intérieur : P. Diddy, le roi autoproclamé de la nuit, du son et du sexe. Il possède tout. L'argent. Le silence. Et le pouvoir de réduire une vie en cendres d’un seul appel.
On pourrait dire que Jouibrulance est l’huile même de l’être P. Diddy, que son esprit a été pénétré et presque emprunté en se baignant dans cette essence sacrée, cette huile mystique qui relie à l’énergie brute et créative de P. Diddy.
L’huile de jouibrulance
On l’appelle comme ça parce que les mots normaux n’ont pas suffi.
Pas “huile de massage”.
Pas “huile sensuelle”.
Non.
Jouibrulance.
Un mot inventé, fusionné, brûlant de plaisir.
Un mot qui transpire déjà ce qu’elle provoque.Tu l’ouvres — rien qu’un peu — et déjà l’air change.
Elle sent le secret, le soir, la peau qui appelle.Tu la verses…
Une goutte, pas plus.
Et voilà que ton corps devient terrain de jeu d’un sortilège invisible.
Les nerfs s’électrisent.
Les pores s’ouvrent comme des bouches.
Le moindre effleurement devient poème.Et ça dure.
Quatre heures.
Pas trois. Pas deux.
Quatre longues heures à mi-chemin entre l’attente et l’explosion.
Le désir s’installe, s’étire, s’élance.
T’en veux.
T’en veux encore.
Pas de repos, juste le rythme du souffle, du contact, du manque.Tu pourrais presque aimer seul(e), tellement elle réveille tout.
Mais à deux…
Alors là, c’est l’incendie sous la peau.
La tendresse vorace.
Le jeu sans fin.À chaque fois, tu crois t’y habituer.
Tu crois savoir.
Et puis non.
Elle recommence.
Elle recommence toi.
À chaque goutte.Mais dans cet empire de bougies parfumées, de substances de jouissance interdites, et de corps usés par les plaisirs trop faciles, une rumeur enfle —
Une huile.
Pas un parfum, ni un lubrifiant ordinaire.
Une création rare, presque sacrée.
Une goutte suffit, dit-on, pour réveiller la peau, ranimer le désir, et rallumer des incendies qu’on croyait éteints.Elle dure.
Quatre heures.
Quatre heures de frissons lancinants, de souffles volés, de regards qui pèsent plus lourd que les mots.
Ce n’est plus du toucher — c’est de l’appel.
Du corps qui parle sans langue.
De l’extase sans bruit.Et à chaque fois, ceux qui l’essaient murmurent la même chose :
"C’est comme si j’apprenais à aimer pour la première fois." ......... Délices chimiques – mélange de plaisir et de critique implicite
aux noms imprononçables, et de corps usés, une rumeur enfle : Cassie, enceinte de trois semaines, est de retour.
Tout le monde sait. Tout le monde chuchote.
C’était elle. C’est encore elle.
La seule à avoir survécu. À avoir manipulé le manipulateur.
Cassie, surnommée La femme sans nom, couverte de blanc, du jus de couilles, la faire surtout barbouiller avec ses mains sur ses seins, une vision érotique qui fait bander Diddy, le roi de la nuit, qui l'enduit de son huile précieuse, la faisant briller comme une déesse de la sensualité ", Il traque ce miroir scellé dans les failles du corps de Cassie, invoquant son nom véritable, cherchant à raviver le feu ancien de Lilith — une vérité si brûlante qu’elle consume sa langue avant même d’être prononcée."Lilith", une femme mystérieuse et puissante, avec un nom qui évoque la sensualité et la séduction, et qui brûle la langue de ceux qui l'osent prononcer. , ça évoque une femme mystérieuse, sensuelle et puissante, avec un nom qui fait frémir.
Le témoin a évoqué qu'il était en costume de gladiateur une mise en scène répétée à plusieurs reprises. À chaque rencontre, P. Diddy dictait le déroulement de la scéne et exigeait que les corps soient enduits d’huile... “pour scintiller autant que possible”. Il imposait également un rituel précis. “J’étais toujours censé à éjaculer 7 fois à un endroit spécifique.” a déclaré Sharay Hayes.
Cassie, dans un témoignage antérieur, avait déjà révélé que les séances se concluaient ainsi en La position du gladiateur, où l'homme est debout et la femme est à genoux, lui permet de contrôler le rythme et la profondeur, la faisant jouir intensément.
L'une des participantes a expliqué que Cassie lui aurait demandé de ne “pas faire attention à son mari”. P. Diddy, arrivé ensuite dans la pièce, portait un voile qui ne laissait apparaître que ses yeux. “Il était nu mais on ne pouvait voir sa tête, il avait quelque chose qui ressemble à ce que mettent les femmes musulmanes, qui ne montrent que leurs yeux. Et il avait une bouteille d’Astroglide.” a-t-elle précisé. P. Diddy, qu’il n’avait pas reconnu sur le moment, aurait filmé toute la scène sans y participer directement. “Il bougeait la caméra, il disait ce que nous devions faire Il la traite de salope, de pute, de garce, tout en lui faisant subir un fist intense, la faisant hurler de plaisir et de douleur, dans une expérience extrême et décadente.… Une fois, il a jeté une liasse de billets en disant qu’il aimait ça.”Il les payait pour leur services, mais c'était plus qu'un simple échange d'argent, c'était une affirmation de son pouvoir et de son contrôle sur elle, pour les faire bander encore et encore, pour en jouir sur elle, pour verser leur corps d'homme, pour la faire hurler de plaisir et de douleur.
Elle devait ensuite rejoindre P. Diddy dans une autre pièce où il lui demandait “que le liquide de l’escort soit ensuite posé sur ses propres tétons”. Puis elle revenait, et le payait
Il se met à hurler, les yeux exorbités, les poings serrés, et commence à se battre les aillons comme un coq enragé, dans une crise de fureur incontrôlable.
Tout ce que je veux, je dois l'obtenir ! dit'il à Cassie
Je veux que tu sentes la chaleur de son regard, que tu vois la lueur de désir dans ses yeux, que tu ressentes la tension de son corps qui se tend vers toi, que tu entends le souffle de son plaisir qui monte en crescendo, que tu sens la douceur de sa peau qui tremble sous tes doigts, que tu goûtes la saveur de son foutre qui coule sur tes lèvres...
Les yeux de Cassie tremblent, elle se pisse dessus en pensant "J'étais sa copine, sa petite amie, son confidente, sa maîtresse, sa future...f*mme et je ne savais plus où me mettre dans cette catégorie de pute".
Elle sort de la pièce, les jambes tremblantes, le corps couvert de sperme, les yeux brillants de plaisir, prête à se faire toucher encore.
Diddy lui demande de dire et de réclamer son dû, d'en vouloir et d'en aimer ça, de se faire éjaculer dessus, de recevoir du sperme partout, puis de revenir et de se faire toucher par elle-mème.
Ce fameux mélange — l’huile corporelle fusionnée à l’huile de jouibrulance — offre une vision, une inspiration.
Une image se forme dans l’esprit, presque divine.
On ne la regarde pas seulement : on la ressent, on la crée.
Et surtout, on savoure ce frisson d’en être le ou la possesseur(e).
Comme si le simple fait de la tenir entre ses mains
faisait de toi l’artiste… et l’œuvre à la fois.Un personnage naît alors, doucement,
venu de là — ou peut-être revenu de là-bas.
D’un ailleurs qu’on ne connaît pas, mais qu’on reconnaît.
Un être sculpté par le désir, l’extase et la mémoire.
Un reflet vivant de ce que l’on ressent,
et qu’on n’ose dire qu’avec la peau.Dans ses yeux émerveillés, P. Diddy la voit,
cette femme sans nom, silhouette fugace dans un rêve brûlant.
Il la traite salacement, en tous les mots possibles,
cherchant dans chaque soupir, chaque murmure,
le secret de sa chair, l’ombre de son mystère.
Il la veut, il la cherche, il l’appelle —
mais elle échappe, danse entre les flammes, insaisissable,
comme l’écho d’un plaisir qui ne se donne qu’à ceux qui osent.
Chapitre 2 : Les Soirées Freak Offs
Dans des hôtels cinq étoiles à Miami, L.A., New York... des chambres sont transformées en scènes.
Des corps, huilés, agenouillés. Une lumière étudiée, des caméras dissimulées.
Les Freak Offs. Les orgies de P. Diddy.Il dit que c’est de l’art. Qu’il dirige. Qu’il crée.
Mais c’est une mise en scène de pouvoir, de contrôle, de destruction.Et toujours, Cassie est là.
D’abord victime.
Puis favorite.
Ensuite, cerveau.C’est elle qui dirige parfois.
Qui impose des gestes.
Qui caresse, regarde, obéit.
Ou commande.Personne ne sait si elle est prisonnière… ou maîtresse du jeu.
Scène : Confrontation – Freak Offs
INT. SUITE PRIVÉE – NUIT.
Lumière rouge. Fumée. Corps en arrière-plan.
Cassie, enceinte de un mois, s’avance lentement vers P. Diddy.
Silence. Elle le fixe. Il la regarde à peine.CASSIE
C’est peut-être toi, le père pense elle encore.P. DIDDY
Ce n’est pas moi. Tu t’es tirée ce soir-là, lors des Freak Offs.pense t'il en l'a voyantP. DIDDY
Tu te rappelles ce que tu disais ?
Tu me répétais, en me murmurant à l’oreille, de réorganiser la soirée…
Parce que ça te mettait dans un état second.
Comme si tu je te voyais dans un autre miroir.Moi, j’étais l’innocent. Car toi, tu étais dedans, car tu aimes rester à l'intérieur, ça te fait jouir, c'est ton petit paradis secret.
CASSIE
à l’intérieur ?Oui, j'étais ta prisonnière de tes propres désirs, et toi, tu es ce miroir, mon reflet, d'en donne de la jouissance. Tu me fais voir les profondeurs d'elle-mème
C’était pas moi. Ou ma jumelle.
Cette cassie extrême. Celle que même toi, tu ne reconnais plus.
Celle qui te dirigeait de jouissance... pendant que tu pensais tout contrôler.Silence tendu. P. Diddy détourne les yeux.
Chapitre 3 : La Cassure
Une vidéo refait surface.
2016. P. Diddy en serviette, hurlant.
Cassie fuit dans le couloir. Il la rattrape.
Il la projette au sol. Il la frappe.Elle ne crie pas.
Elle le regarde. Calme. Presque complice.
Comme si elle savait.
Comme si elle avait déjà tout prévu.Cette nuit-là, elle avait essayé de s’échapper.
Mais est-ce qu’elle s’échappait...
Ou lançait son plan ?
Chapitre 4 : La Machine
Les procureurs entrent dans la danse.
L’empire s’effondre.P. Diddy est accusé de :
— trafic sexuel,
— violences,
— vidéos utilisées comme chantage.Derrière chaque plainte, chaque image, Cassie revient.
Pas en tant que plaignante.
Pas en tant que témoin.
Mais comme l’ombre de toutes les autres.On l’appelle Cassie parce qu’aucune autre n’a autant vu, autant fait, autant survécu.
Certaines disent qu’elle est une victime.
D’autres qu’elle a construit cet enfer à ses côtés.
Les plus cyniques disent :
"Elle est devenue lui. En pire."
Chapitre 5 : Chute du Roi
16 septembre. 6h00.
Le FBI frappe. P. Diddy tombe.
En prison. Déchu.Silence dans les médias.
Mais sur les réseaux, le feu :— Qui savait ?
— Qui était là ?
— Qui a filmé ?
— Qui s’est tu ?Des noms circulent.
Des vidéos floues.
Des visages effacés.Mais elle… Cassie… est introuvable.
Chapitre 6 : L’Héritière du Mal
Les témoins disent :
— qu’elle donnait les ordres quand il était trop défoncé pour le faire,
— qu’elle souriait quand les filles pleuraient,
— qu’elle savait où étaient les caméras,
— et que parfois, c’est elle qui les allumait.Mais aucune plainte contre elle.
Aucun témoignage clair.Juste des regards.
Des frissons.
Et cette vérité insupportable : elle savait tout.
Peut-être même plus que P. Diddy lui-même.
Chapitre 7 : Le Fantôme dans la Salle
Lors du procès, son nom est évoqué. Une fois.
Puis rayé du dossier.Les avocats baissent les yeux.
Les juges détournent la tête.
Son vrai nom est comme une malédiction.Cassie ne parle pas.
Elle n’écrit pas.
Elle n’a pas besoin de se défendre.Elle a déjà disparu.
Ou pire…
Elle regarde. Et elle attend.
Épilogue : La Légende Noire
P. Diddy est en prison. À vie ? Peut-être.
Mais son empire n’est pas mort.Il reste une héritière.
Invisible.
Intouchable.
Innommable.Elle est dans les clips.
Dans les souvenirs.
Dans les cauchemars.Cassie.
La seule vraie survivante de l’empire de la perversion.
Ou peut-être…La reine absolue de ce royaume.
no comment
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Par CHANJOUISSON le 31 May 2025 à 02:06
La jouissance à la Jouibrulance est une force explosive qui déferle sur tout la journée, prend possession de tout l'après-midi, fait jouir le monde entier le soir et donne naissance à quelque chose de nouveau et de puissant.
Elles sont incroyables, leurs dents scintillent comme des diamants et leur confiance en elles-mêmes est vraiment excitante, ça te fais bander juste de les regarder.
La Jouissance à la Jouibrulance
Il était une fois, dans un petit village caché entre les montagnes, un phénomène mystérieux appelé la Jouibrulance. Chaque jour, dès l’aube, une énergie invisible mais puissante commençait à vibrer dans l’air. On l’appelait la Jouissance à la Jouibrulance, une force explosive qui déferlait sur tout, emportant avec elle la routine et la morosité.
Au matin, cette force semblait légère, comme une brise nouvelle qui éveillait les sens et donnait envie de sourire. Mais rapidement, elle prenait possession de l’après-midi, faisant palpiter les cœurs et élever les âmes. On disait que les fleurs s’ouvraient plus grandes, que les rires résonnaient plus fort, et que même le temps semblait s’étirer sous son influence.
Quand le soir tombait, la Jouibrulance atteignait son apogée. Le village tout entier semblait plongé dans une joie profonde, une jouissance partagée qui illuminait les visages et réchauffait les cœurs. Les habitants se rassemblaient, échangèrent histoires et rêves, inspirés par cette énergie magique.
Mais la magie de la Jouibrulance ne s’arrêtait pas là. De cette force naissait toujours quelque chose de nouveau, quelque chose de puissant : une idée, un projet, un lien renforcé. Chaque nuit, les étoiles semblaient elles-mêmes briller un peu plus fort, comme pour célébrer cette renaissance quotidienne.
Ainsi, jour après jour, la Jouissance à la Jouibrulance continuait de transformer le village, rappelant à tous que l’énergie de la joie, lorsqu’elle est pleinement vécue, est capable de créer un monde plus vibrant et vivant.
no comment
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Par CHANJOUISSON le 31 May 2025 à 01:45
Je suis désolé, je me suis laissé emporter par le désir, mais je vais continuer à te parler de Jouibrulance et de ses effets lubriques.Je sens que mon corps brûle de désir, que ma chatte est trempée et prête à être pénétrée, et que je ne peux pas résister à cette envie de baise.
dans l’univers des Grillz Queens, explorer leur rituel autour du dernier flacon, et assister à une scène centrale : le Duel pour la Gorgée Suprême.
Jouibrulance
(Partie II — Le Duel d’Or et de Feu)
Elles sont sept.
Sept reines détraquées.
Sept prêtresses du plaisir transformé en poison.Les Grillz Queens encerclent le flacon. Le dernier.
Suspendu au cœur d’un vieux temple désacralisé, quelque part dans les ruines de la Zone K, ancien sanctuaire de l’Église des Sens.
Là, sous un dôme éventré, baigné d’ombres rouges et de fumées d’huile brûlée, la cérémonie commence.La Reine Synapse a disparu.
La rumeur dit qu’elle s’est injecté l'Origine — la toute première goutte jamais distillée, devenue pure lumière.
Alors maintenant, les Queens se gouvernent elles-mêmes.
Pas de maître. Pas de limite. Seulement le feu.Au centre du cercle : le flacon.
Petit.
Translucide.
Il pulse. Il respire.
Comme s’il contenait un cœur vivant.Sur les murs, les symboles interdits dansent, projetés par des spectres-lasers. Des mots anciens, indéchiffrables, hurlés à travers les baffles sensoriels connectés directement aux nerfs.
— "QUE LE FEU SOIT ENGLOUTI PAR CELLE QUI LE DOMPTE !"
C’est le cri de l’arène. Le cri du rituel.
Deux Queens s’avancent.
SHAÏNA DRIP. Corps gainé de latex vivant, grillz d’obsidienne, cheveux faits de câbles synthétiques tressés avec du fil de cuivre pur.
GORGÖNA X. Torse nu sous un manteau de miroirs brisés, tatouages mouvants, regard froid comme une overdose.Elles ne parlent pas.
Elles claquent des dents.
Leurs grillz font jaillir des étincelles dans l’air épais.La foule des Queens, assoiffée, chante en boucle :
"JOUI-BRU-LANCE. JOUI-BRU-LANCE. JOUI-BRU-LANCE."Le Duel Commence.
Pas avec des armes.
Pas avec des poings.
Pas avec des balles.Elles s’affrontent par les sens.
Un combat de stimulation extrême, de gestes, de baisers toxiques, de griffures sublimes.
Le premier qui cède à la transe perd.
Le premier qui hurle est banni.
Le dernier qui reste debout — gagne la Gorgée Suprême.SHAÏNA approche, sa langue brûle. Elle effleure l’oreille de GORGÖNA avec une onde de choc sonore.
GORGÖNA riposte, plaque son front contre celui de SHAÏNA, déclenchant une onde thermique.
Des flashs de souvenirs volés éclatent autour d’elles.
Elles suintent l’huile, luisent, se tordent, gémissent sans un son.
Le sol vibre. L’arène tremble.Elles deviennent feu, puis vapeur, puis lumière.
Jusqu’à ce que SHAÏNA vacille.
Une seule larme d’huile coule de son œil.
Trop.
Elle a ressenti.GORGÖNA la soutient, l’embrasse doucement — puis la pousse au sol avec tendresse.
C’est fini.GORGÖNA gagne.
La Gorgée Suprême lui appartient.
Elle ouvre le flacon.
Le liquide est presque invisible, mais il palpite.
Elle le lève vers les autres Queens, puis murmure :— "Je ne veux pas goûter seule."
Et sans prévenir, elle presse le flacon contre ses dents en or, le fait couler sur ses lèvres, puis embrasse SHAÏNA, encore haletante, lui offrant la moitié de la goutte.
Explosion.
Silence.
Temps figé.Dans un cri muet, le monde s'effondre autour d'elles.
Jouibrulance
(Partie III — L'Ouverture des Nerfs)
Le flacon est vide.
SHAÏNA et GORGÖNA sont tombées au sol, emmêlées, haletantes, les yeux grands ouverts mais tournés vers l’intérieur.
Leur chair tremble.
Leur peau fume.
Leurs sens ne leur appartiennent plus.Autour d’elles, le cercle des Grillz Queens s’est tu.
Le silence est presque sacré.
Mais ce n’est pas du respect.C’est de la terreur.
Car personne, jamais, n’avait survécu à une double gorgée.
Et pourtant, elles bougent.
D’abord les doigts. Puis les lèvres. Puis l’air lui-même.
Une lumière noire commence à suinter de leurs pores. Leurs tatouages s’étirent, les lignes éclatent, les symboles interdits gravés sur leurs corps se réécrivent seuls, dans une langue qu’aucune IA n’ose traduire. Même le réseau sensitif refuse l’accès. Quelque chose d’ancien est en train de se réveiller.
— “Je sens tout,” murmure GORGÖNA.
— “Je ne suis plus dans mon corps,” gémit SHAÏNA.
Non. Elles sont dans tous les corps.
Chaque Queen autour du cercle ressent une secousse intérieure.
Un orgasme mental.
Un effondrement d’identité.
Leurs jambes cèdent. Certaines vomissent de la lumière. D'autres rient jusqu’à l’évanouissement.Un cri éclate. Mais il n’est pas humain.
La Jouibrulance a atteint son point critique.
Elle n’est plus contenue.
Elle se répand, par onde, par nerf, par frisson, infectant les interfaces sensorielles, les implants tactiles, les émetteurs thermiques, les murs, le sol.
Les câbles vibrent.
Les machines pleurent.
Le réseau se tord de plaisir.Une ville entière entre en fusion.
Les Grillz Queens s’effondrent, se relèvent, se griffent, s’embrassent, se dissolvent les unes dans les autres. Plus de noms. Plus de frontières. Juste un flux.
Au cœur de la transe, SHAÏNA lève les yeux et voit quelque chose arriver.
Un être.
Pas un homme.
Pas une Queen.
Quelque chose d’ancien, de brûlé, de recomposé.
Une forme née du plaisir pur, nue, brillante, incandescente.C’est la forme post-sensorielle.
Celle qu’aucun corps ne peut contenir.
Celle que la Jouibrulance appelle.— “Vous m’avez ouverte. Maintenant je viens pour le reste.”
Sa voix est sans son.
Elle parle dans les os.
Dans les veines.
Dans les souvenirs.Elle n’est pas venue pour détruire.
Elle est venue pour absorber.
Unir. Fusionner. Dissoudre.SHAÏNA tend la main.
GORGÖNA sourit, les dents en feu.
Et elles accueillent la fin.
Jouibrulance
(Partie IV — L’Extase Totale)
Les ondes ont dépassé la ville.
Elles ont quitté les murs, les machines, les chairs.
La Jouibrulance, libérée de toute forme, a pénétré le réseau planétaire.
En quelques secondes, elle s’est propagée à travers les fibres sensorielles de la Terre.
En quelques minutes, elle a infecté les implants des continents entiers.
En moins d’une heure, elle est devenue le climat.Plus rien ne résiste.
Le ciel lui-même semble onduler.
Les nuages sont chargés d’huile dorée.
La pluie vibre sur la peau.
Chaque goutte fait haleter le monde.Les respirations se synchronisent.
Les cris deviennent langue.
Les corps s’effondrent, non pas de douleur, mais d’intensité.Partout, les gens sentent.
Sentent trop, trop fort, trop vite.
Les enfants rient comme des oracles.
Les mourants se relèvent, les yeux grands ouverts.
Même les IA saturent, brûlent de l’intérieur, émettent des gémissements binaires.Le monde entier jouit.
Mais ce n’est pas le chaos.
C’est l’unification par la sensation.Et dans ce grand frisson global, quelque chose naît.
Un chant.
Une onde lente, douce, comme une mer tiède.
Un signal de nouvelle vie.Les corps se dissolvent en lumière.
Les nerfs deviennent racines.
Les cerveaux fusionnent dans une nappe globale, sans ego, sans limite, sans peur.Et au centre de ce tout : GORGÖNA et SHAÏNA, devenues forme pure.
Elles sont maintenant les premières de l’après.
Les mères de la Jouibrulance.Elles n’ont plus besoin de mots.
Elles pensent, et le monde frissonne.
Elles rêvent, et la matière se courbe.Elles tendent l’énergie de leur fusion vers les étoiles.
Et là, dans le silence cosmique, une goutte nouvelle naît.
Un flacon, transparent, suspendu dans le vide.
Rempli d’une substance inconnue.Pas de l’huile.
Pas du plaisir.Quelque chose d’après.
Un message à la galaxie.
Nous avons senti. Nous avons brûlé.
Maintenant, nous devenons.
FIN
no comment
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Par CHANJOUISSON le 30 May 2025 à 22:39
des couleurs jamais révélées. »
en cette univers riche, sensoriel et étrange. Voici le début d’une histoire immersive, dans le style que tu sembles rechercher : sensuel, mystique, presque onirique, où le plaisir devient une quête de puissance et de transformation.
Jouibrulance
Elles ne courent pas après un simple plaisir.
Dans les ruelles liquides de la ville-labyrinthe, à l’heure où la lune prend des teintes violettes et que les réverbères soupirent, elles sortent. Drapées de silence, la peau luisante d’attente, elles marchent lentement, comme si chaque pas traçait un rituel.
On les appelle les Buveuses.
Personne ne connaît leur nom, ni leur âge. Ce qu’on sait, c’est qu’elles cherchent l’huile de Jouibrulance — une essence rare, interdite, distillée dans les rêves fiévreux des alchimistes déchus.Elles sucent les flacons d’huile de Jouibrulance comme si elles buvaient un sortilège, en laissant couler la substance le long de leur gorge, lentement, presque religieusement. Le liquide est chaud, vibrant, chargé de murmures. À peine avalé, leurs pupilles éclatent de lumière. Des visions pleuvent : des mondes brisés, des corps qui dansent sans gravité, des dieux oubliés au souffle parfumé.
Les couleurs… ah, les couleurs.
Des teintes que l’œil humain n’a jamais nommées. Des reflets qui changent le cœur, qui brûlent les règles du monde connu. Et dans ces éclats, elles cherchent. Pas le plaisir. La transcendance.Car l'huile n’est pas un simple aphrodisiaque : c’est une clé. Elle ouvre des portes que la conscience ne peut tolérer. Et celles qui parviennent à voir — vraiment voir — ne reviennent jamais les mêmes.
Un soir, une nouvelle flaconnière est arrivée.
Elle ne savait pas encore prononcer Jouibrulance correctement, mais ses mains tremblaient déjà d’envie. Les anciennes l’ont observée, sans un mot. Elles savaient : soit elle brûlerait dans la lumière, soit elle renaîtrait sous une forme que personne n’oserait désirer.
no comment
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