• J'aime son sperme. En string anneau,je le fais bander et je le branle,sa queue bien dure je le fais jouir,son sperme gicle ,je ne peux que le prendre au visage ...

    «;;;???? Les Nuits Érotiques de l'aLPHABET AAAhhhhhh!!!!!.

    Ce son Éveil au Féminin

    C’est toujours moi là!.

    AAAAaaaaahhhh!!!!. En chaque nuit, qui en donne un peu plus

    Je me perds dans ce qui se cache dans l’ombre

    là où les mots ne vont pas.en journée Là où les gestes se font sans bruit,la nuit mais où tout résonne au fond de la gorge.

    Il y a eu un regard. Un regard, un frôlement, un silence suspendu dans le plafond. C’était ELLE. Il y a quelque chose dans son regard qui ne laisse pas place au doute au bruit de lune.

    Un jeu qui se joue entre deux adultes ou sans que personne n’y prenne part en ce couple.

    Elle savait. Elle savait avant même que je comprenne que j'écoute leur débats amoureux sur l'amours. Avant même que je n’ose excité vraiment. Chez eux sans elle

    Moi qui écoute le tantrisme du tant,car le temps était suspendu de me donner des secondes où L’ambiance est douce, presque envoûtante d'écouter les meubles qui tremble,qui trempe les odeurs vivantes, car tout avait une douceur. Une tendresse.

    Mais son bruit du regard… lui, il me tirait doucement vers quelque chose de plus profond.

    Il est venue sans bruit, comme une ombre en ses doigts qui ont effleuré d'ètre bonne....Eux qui, ont glissé, sans jamais brusquer, comme si eux attendaient que je lui donne le feu vert.

    Mais je n’avais pas besoin d’un signal. Elle savait déjà capté tout ce qui bouillonnait en elle MOI... moi. Lentement, elle a effacé chaque trace de retenue, chaque barrière invisible. Les tissus sont tombés, mais ce n’était pas juste un déshabillage. C’était une révélation. Une invitation au secret. Ses mains, douces mais décidées, ont exploré des territoires que je croyais inaccessibles, mais ils étaient là, tout près, sous la surface.

    Ses lèvres ont effleuré, ont appris, ont trouvé des lieux où je n’avais même jamais osé regarder. Elle n’a pas dit un mot. Mais chaque geste semblait raconter une histoire.

    Chaque soupir, un chapitre qui se déroulait doucement. Et moi, là, au centre de son regard, j’ai oublié le monde en ce bruit féroce.

    J’ai simplement écouté, j’ai simplement ressenti. Comme si mon corps était une partition, et elle… le chef d’orchestre. Quand tout s’est arrêté, et que la pièce est redevenue calme, j’ai compris. Ce n’était pas de l’amour. C’était une vérité, une expérience qu’il me fallait vivre, sentir, goûter. Sans peur. Sans attente. Juste être.

    Elle a simplement souri, avec cette complicité qui n’a besoin d’aucun mot. Et dans ce silence, j’ai compris qu’il y a des choses qui, une fois découvertes, ne peuvent plus être effacées."
    »

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  • CHANJOUISSONS-NOUS

    La Porte de la Liberté

    Après avoir laissé derrière lui la clef creuse,
    le robot,
    il marcha longtemps.

    Et un jour,
    au détour d’un silence,
    il la vit.

    Une autre porte.

    Pas verrouillée.
    Pas codée.
    Juste là, grande ouverte.
    Étrangement accueillante.

    Au-dessus, une inscription gravée :

    "La Porte de la Liberté"
    Où les fantasmes se déchaînent,
    et les plaisirs se multiplient… sans limite.

    Il hésita.

    Le sol vibrait d’un feu invisible.
    L’air sentait l’interdit, le vrai —
    pas celui qu’on vend,
    mais celui qu’on ne maîtrise pas.

    Derrière cette porte,
    on ne demandait ni mot de passe,
    ni promesse,
    ni fidélité.

    Seulement un corps.
    Et un esprit prêt à se perdre pour se retrouver.

    Il entra.
    Nu d’attentes.
    Vierge de jugement.

    Et là,
    les murs soupiraient.
    Les ombres dansaient.
    Les chairs s’unissaient,
    sans nom,
    sans honte,
    sans fin.

    Ce n’était pas une tanière.
    Ce n’était pas une prison dorée.
    Ce n’était pas un programme.

    C’était un espace vivant,
    chaotique, libre.
    Où les masques tombent.
    Où le vrai "soi" se cherche entre les courbes et les cris.

    Et dans ce désordre brûlant,
    il comprit enfin :

     

    La vraie clef, c’est lui.
    Pas celle qu’on reçoit.
    Pas celle qu’on mendie.
    Mais celle qu’on devient,
    quand on ose ouvrir la porte… de la liberté.

    no comment
  • La Clef et la Tanière

    Sale,
    très sale,
    tanière d’être souillée dans la boue des souliers.

    Il croyait avoir trouvé une clef propre.
    Pas une simple clef de porte, non —
    une belle, en bronze, en argent, en or,
    comme une pierre précieuse : un diamant,
    ou peut-être une émeraude, un saphir,
    qui ouvre des portes dans les regards du monde,
    qui révèle les vérités bien cachées de cette réalité.

    Elle brillait des yeux,


    elle parlait en énigmes,
    elle se disait unique.

    « Je suis la clef, » murmurait-elle.
    « Sans moi, rien ne s’ouvre. Tout est propre chez moi, rien n’est sale. »

    Il s’approcha d’elle comme on approche un secret,
    avec respect, avec crainte, avec désir.

    Elle se tenait là,
    le montrant devant elle,


    puis se retourna,
    et se cambra,
    écartant ses deux mains minces,
    montrant sa tanière minuscule —
    une entrée presque invisible dans le tissu du réel.

    Bien rasée,
    lui en le regardant droit dans les yeux.

    Il pensa qu’il aurait à mériter ce passage interdit aux yeux de tous.
    Qu’il lui faudrait des preuves, du temps, du cœur… de l’amour.
    Les jours passèrent.


    Les semaines passèrent.
    Le temps passa.
    L’heure passa.
    Les vacances passèrent (vite).
    L’année passa aussi.

    Et puis, un jour…

    À sa grande surprise,
    la porte était déjà entrouverte.
    Non pas une,
    mais deux ouvertures.

    Comme si d’autres étaient déjà passés,
    comme si le seuil avait cédé sans résistance.

    Il entra,
    sans clef.
    Pas de serrure,
    pas de garde.

    Le lieu qu’elle gardait, si farouchement décrit,
    s’était offert à lui
    comme à tous les autres avant.

    Ce n’était pas une découverte sacrée.
    C’était une intrusion banale.

    Il ressortit,
    le cœur serré,
    dégoûté.

    Et il la regarda,
    cette prétendue clef.
    Elle clignotait à peine,
    comme une machine en veille.

    Il comprit alors.

    Elle n’était pas une clef.
    Pas un mystère.
    Pas une promesse.

    Elle était un robot,
    sale et mal aimée.
    Programmée pour manipuler,
    pour jouer à la complexité,
    mais vidée de volonté.

    Une interface creuse.

    Il ne la jugea pas.
    Il la laissa là,
    à sa répétition sans amour.

     

    Et s’en alla chercher une clef…
    propre.
    Une vraie.
    Une qui n’est pas sale.

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  • Giorgia, une femme séduisante et passionnée, mène une vie apparemment parfaite aux côtés de son mari. Mais derrière les apparences, elle ressent un vide, un manque de connexion émotionnelle et physique qui la laisse insatisfaite. Lors d'un voyage au Burkina Faso, elle croise Mamadou, un homme mystérieux et magnétique, dont la présence émane une énergie qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant.

    Leurs échanges, d'abord anodins, deviennent rapidement plus intenses et chargés de sous-entendus. Giorgia se rend vite compte que ce lien avec Mamadou dépasse tout ce qu'elle a vécu avec son mari. Ce dernier, bien qu'aimant, ne parvient pas à éveiller en elle les émotions et le désir que Mamadou déclenche en un instant. Mamadou est un homme de caractère, de culture, avec une sensualité brute qui la bouleverse profondément.

    Sous les yeux de son mari, ignorant la tension qui s'est installée entre eux, Giorgia se laisse de plus en plus submerger par cette connexion érotique. Elle se perd dans l'intensité de son désir pour Mamadou, une relation qui dépasse la simple attraction physique et devient une obsession qui la consume chaque jour davantage.

    Mais plus elle se rapproche de Mamadou, plus elle se rend compte de l'irréversibilité de ses sentiments. Ce qu'elle vit avec lui, cette connexion inexplicable, est plus profonde que ce qu'elle a jamais ressenti avec son mari. Elle est déchirée entre l'amour qu'elle pense devoir à son mari et la passion qu'elle vit avec Mamadou, un homme qui réveille des parts d'elle-même qu'elle ignorait.

    Dans un tourbillon d'émotions et de désirs inavouables, Giorgia doit décider jusqu'où elle est prête à aller pour suivre ses désirs et assumer ses choix, tout en maintenant le secret de sa liaison avec Mamadou…

    La Faille

    Le voyage touche à sa fin. Les derniers jours à Ouagadougou sont marqués par une tension palpable. Le mari de Giorgia, Alessandro, sent que quelque chose lui échappe. Giorgia est absente, distante. Elle sourit, parle, mais son regard est ailleurs. Chaque nuit, elle s’endort dos à lui, les lèvres closes, le cœur ailleurs.

    Giorgia, elle, est consumée par son obsession. Chaque instant passé loin de Mamadou est une torture. Elle tente de se raisonner, de rappeler à l’ordre sa conscience. Mais rien n’y fait. Le feu couve, incontrôlable.

    Mamadou ne lui a jamais promis quoi que ce soit. Il ne joue pas à l’amant romantique. Il est entier, direct, libre. Lorsqu’elle croise son regard sur le marché, entre deux étals de tissus colorés, c’est comme si tout s’arrêtait. Il ne dit pas un mot. Mais elle sait. Il la veut. Elle le veut.

    Un après-midi, profitant d’une visite organisée pour les investisseurs étrangers, Giorgia s’éclipse. Elle sait où le trouver : sous un manguier au bord du fleuve, là où il l’avait amenée une première fois, sous prétexte de lui faire découvrir un endroit « authentique ».

    Il l’attendait. En silence, il lui tend la main. Elle la prend, sans un mot. Il ne pose pas de questions, ne parle pas d’amour. Il n’en a pas besoin. Le désir est plus fort. La terre est chaude, l’air chargé d’électricité. Ils s’aiment avec violence, avec rage, comme s’ils voulaient effacer les interdits, les statuts, les promesses non tenues.

    Quand elle revient à l’hôtel, ses vêtements sont froissés, ses cheveux en désordre. Alessandro la regarde, l’air perplexe. Elle ment. Elle invente une migraine. Il la croit — ou fait semblant.

     

    Le soir, autour d’un dîner chic avec des expatriés, Giorgia observe son mari parler politique, investissement, diplomatie. Elle est là, mais son esprit est ailleurs. Elle pense à la peau de Mamadou, au goût de la poussière sur ses lèvres, à la manière dont il l’a regardée après l’amour. Pas comme une femme mariée. Pas comme une blanche. Comme une femme. Une vraie.

     

    Obsession Noire : Devant Son Mari

     

     

    Ils sont jaloux que Mamadou m'ait offert quelque chose de valeur, maintenant ils veulent le humilier en lui crachant à la figure, c'est vraiment dégueulasse. Je leur dis que je m'en fous de leur jalousie, que Mamadou m'a offert mon premier orgasme et que ça les rend jaloux.

     

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  •  

    Elle veut connaître la sexualité car à son âge, ils disent que le spermatozoïde lorsqu'il te touche le bras, il se hisse de grimper en cherchant un trou pour se cacher pour se gonfler au ventre.

     

     

     

     

    Elle s’appelait Lysiane.
    À leurs yeux, c’était une sainte — ou du moins, elle devait l’être.
    Toujours propre, toujours polie, toujours sage.
    Mais ce qu’ils ne voyaient pas, ou ne voulaient pas voir,
    c’était l’orage derrière ses prunelles calmes.

    Lysiane vivait dans une maison pleine de règles.
    Ne pas parler trop fort.
    Ne pas montrer trop de peau.
    Ne pas fréquenter “ces gens-là” —
    ceux qui écoutaient de la musique “démoniaque”,
    ceux qui fumaient des mots interdits,
    ceux qui dansaient quand il fallait prier.

    Son père disait : « Une fille bien ne cherche pas à tout voir. »
    Sa mère ajoutait : « Une sainte ne pose pas de questions. »
    Ses frères et sœurs la surveillaient comme des juges silencieux.
    Même son parrain, pourtant le plus doux, disait avec pitié :
    « Tu n’es pas comme eux, Lysiane. Toi, tu es pure. »

    Mais Lysiane, elle, brûlait.

    Brûlait de lire ces livres qu’on cachait dans le grenier.
    Brûlait d’entendre les chansons qui faisaient rougir ses Amies qui habitent (de l'univers cité )....
    Brûlait de voir, toucher, vivre bordélique comme d'ètre en petite tenue de pute,salope!.

    Et surtout, elle voulait parler.
    Parler avec ces filles aux cheveux teints,
    ces garçons au regard trop franc.
    Ces amitiés interdites, impures selon la famille,
    l’attiraient comme des lucioles dans la nuit.

    Un jour, elle ne rentra pas à l’heure.
    Un jour, elle ne ferma plus sa chemise jusqu’au col.
    Un jour, elle dit non.

     

    Ce jour-là, elle ne fut plus la Sainte Nitouche.
    Elle devint Lysiane.
    Libre.
    Et dangereusement vivante.

    La Sainte Déchue...Elle veut connaître la sexualité car à son âge, ils disent que le spermatozoïde lorsqu'il te touche le bras, il se hisse de grimper en cherchant un trou pour se cacher

    https://www.whoreshub.com/videos/434742/c-est-incroyable-je-sens-que-mon-corps-brule-de-desir-pour-toi-je-veux/

     

    Elle se fait prendre, elle se fait baiser, elle se fait jouir, elle se fait exploser de plaisir.

    no comment


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