• Inspiré de faits réels P. Diddy, le roi autoproclamé de la nuit

    Chapitre 1 : L’Empire du Vice

    New York. 2024. La ville brille, mais l’ombre d’un homme la ronge de l’intérieur : P. Diddy, le roi autoproclamé de la nuit, du son et du sexe. Il possède tout. L'argent. Le silence. Et le pouvoir de réduire une vie en cendres d’un seul appel.

    On pourrait dire que Jouibrulance est l’huile même de l’être P. Diddy, que son esprit a été pénétré et presque emprunté en se baignant dans cette essence sacrée, cette huile mystique qui relie à l’énergie brute et créative de P. Diddy.

    L’huile de jouibrulance

    On l’appelle comme ça parce que les mots normaux n’ont pas suffi.
    Pas “huile de massage”.
    Pas “huile sensuelle”.
    Non.
    Jouibrulance.
    Un mot inventé, fusionné, brûlant de plaisir.
    Un mot qui transpire déjà ce qu’elle provoque.

    Tu l’ouvres — rien qu’un peu — et déjà l’air change.
    Elle sent le secret, le soir, la peau qui appelle.

    Tu la verses…
    Une goutte, pas plus.
    Et voilà que ton corps devient terrain de jeu d’un sortilège invisible.
    Les nerfs s’électrisent.
    Les pores s’ouvrent comme des bouches.
    Le moindre effleurement devient poème.

    Et ça dure.
    Quatre heures.
    Pas trois. Pas deux.
    Quatre longues heures à mi-chemin entre l’attente et l’explosion.
    Le désir s’installe, s’étire, s’élance.
    T’en veux.
    T’en veux encore.
    Pas de repos, juste le rythme du souffle, du contact, du manque.

    Tu pourrais presque aimer seul(e), tellement elle réveille tout.
    Mais à deux…
    Alors là, c’est l’incendie sous la peau.
    La tendresse vorace.
    Le jeu sans fin.

     

    À chaque fois, tu crois t’y habituer.
    Tu crois savoir.
    Et puis non.
    Elle recommence.
    Elle recommence toi.
    À chaque goutte.

    Mais dans cet empire de bougies parfumées, de substances de jouissance interdites, et de corps usés par les plaisirs trop faciles, une rumeur enfle —
    Une huile.
    Pas un parfum, ni un lubrifiant ordinaire.
    Une création rare, presque sacrée.
    Une goutte suffit, dit-on, pour réveiller la peau, ranimer le désir, et rallumer des incendies qu’on croyait éteints.

    Elle dure.
    Quatre heures.
    Quatre heures de frissons lancinants, de souffles volés, de regards qui pèsent plus lourd que les mots.
    Ce n’est plus du toucher — c’est de l’appel.
    Du corps qui parle sans langue.
    De l’extase sans bruit.

    Et à chaque fois, ceux qui l’essaient murmurent la même chose :

    "C’est comme si j’apprenais à aimer pour la première fois."    ......... Délices chimiques – mélange de plaisir et de critique implicite

      aux noms imprononçables, et de corps usés, une rumeur enfle : Cassie, enceinte de trois semaines, est de retour.

    Tout le monde sait. Tout le monde chuchote.
    C’était elle. C’est encore elle.
    La seule à avoir survécu. À avoir manipulé le manipulateur.
    Cassie, surnommée La femme sans nom, couverte de blanc, du jus de couilles, la faire surtout barbouiller avec ses mains sur ses seins, une vision érotique qui fait bander Diddy, le roi de la nuit, qui l'enduit de son huile précieuse, la faisant briller comme une déesse de la sensualité ", Il traque ce miroir scellé dans les failles du corps de Cassie, invoquant son nom véritable, cherchant à raviver le feu ancien de Lilith — une vérité si brûlante qu’elle consume sa langue avant même d’être prononcée.

      "Lilith", une femme mystérieuse et puissante, avec un nom qui évoque la sensualité et la séduction, et qui brûle la langue de ceux qui l'osent prononcer. , ça évoque une femme mystérieuse, sensuelle et puissante, avec un nom qui fait frémir.

     

    Le témoin a évoqué qu'il était en costume de gladiateur une mise en scène répétée à plusieurs reprises. À chaque rencontre, P. Diddy dictait le déroulement de la scéne et exigeait que les corps soient enduits d’huile... “pour scintiller autant que possible”. Il imposait également un rituel précis. “J’étais toujours censé à éjaculer 7 fois à un endroit spécifique.” a déclaré Sharay Hayes.

    Cassie, dans un témoignage antérieur, avait déjà révélé que les séances se concluaient ainsi en La position du gladiateur, où l'homme est debout et la femme est à genoux, lui permet de contrôler le rythme et la profondeur, la faisant jouir intensément. 

    L'une des participantes a expliqué que Cassie lui aurait demandé de ne “pas faire attention à son mari”. P. Diddy, arrivé ensuite dans la pièce, portait un voile qui ne laissait apparaître que ses yeux. “Il était nu mais on ne pouvait voir sa tête, il avait quelque chose qui ressemble à ce que mettent les femmes musulmanes, qui ne montrent que leurs yeux. Et il avait une bouteille d’Astroglide.” a-t-elle précisé. P. Diddy, qu’il n’avait pas reconnu sur le moment, aurait filmé toute la scène sans y participer directement. “Il bougeait la caméra, il disait ce que nous devions faire Il la traite de salope, de pute, de garce, tout en lui faisant subir un fist intense, la faisant hurler de plaisir et de douleur, dans une expérience extrême et décadente.… Une fois, il a jeté une liasse de billets en disant qu’il aimait ça.”Il les payait pour leur services, mais c'était plus qu'un simple échange d'argent, c'était une affirmation de son pouvoir et de son contrôle sur elle, pour les faire bander encore et encore, pour en jouir sur elle, pour verser leur corps d'homme, pour la faire hurler de plaisir et de douleur.

    Elle devait ensuite rejoindre P. Diddy dans une autre pièce où il lui demandait “que le liquide de l’escort soit ensuite posé sur ses propres tétons”. Puis elle revenait, et le payait

    Il se met à hurler, les yeux exorbités, les poings serrés, et commence à se battre les aillons comme un coq enragé, dans une crise de fureur incontrôlable.

    Tout ce que je veux, je dois l'obtenir ! dit'il à Cassie 

    Je veux que tu sentes la chaleur de son regard, que tu vois la lueur de désir dans ses yeux, que tu ressentes la tension de son corps qui se tend vers toi, que tu entends le souffle de son plaisir qui monte en crescendo, que tu sens la douceur de sa peau qui tremble sous tes doigts, que tu goûtes la saveur de son foutre qui coule sur tes lèvres...

     

    Les yeux de Cassie tremblent, elle se pisse dessus en pensant "J'étais sa copine, sa petite amie, son confidente, sa maîtresse, sa future...f*mme et je ne savais plus où me mettre dans cette catégorie de pute".

    Elle sort de la pièce, les jambes tremblantes, le corps couvert de sperme, les yeux brillants de plaisir, prête à se faire toucher encore.

    Diddy lui demande de dire et de réclamer son dû, d'en vouloir et d'en aimer ça, de se faire éjaculer dessus, de recevoir du sperme partout, puis de revenir et de se faire toucher par elle-mème. 

     

     

    Ce fameux mélange — l’huile corporelle fusionnée à l’huile de jouibrulance — offre une vision, une inspiration.
    Une image se forme dans l’esprit, presque divine.
    On ne la regarde pas seulement : on la ressent, on la crée.
    Et surtout, on savoure ce frisson d’en être le ou la possesseur(e).
    Comme si le simple fait de la tenir entre ses mains
    faisait de toi l’artiste… et l’œuvre à la fois.

    Un personnage naît alors, doucement,
    venu de là — ou peut-être revenu de là-bas.
    D’un ailleurs qu’on ne connaît pas, mais qu’on reconnaît.
    Un être sculpté par le désir, l’extase et la mémoire.
    Un reflet vivant de ce que l’on ressent,
    et qu’on n’ose dire qu’avec la peau.

     

    Dans ses yeux émerveillés, P. Diddy la voit,
    cette femme sans nom, silhouette fugace dans un rêve brûlant.
    Il la traite salacement, en tous les mots possibles,
    cherchant dans chaque soupir, chaque murmure,
    le secret de sa chair, l’ombre de son mystère.
    Il la veut, il la cherche, il l’appelle —
    mais elle échappe, danse entre les flammes, insaisissable,
    comme l’écho d’un plaisir qui ne se donne qu’à ceux qui osent.

     

     


    Chapitre 2 : Les Soirées Freak Offs

    Dans des hôtels cinq étoiles à Miami, L.A., New York... des chambres sont transformées en scènes.
    Des corps, huilés, agenouillés. Une lumière étudiée, des caméras dissimulées.
    Les Freak Offs. Les orgies de P. Diddy.

    Il dit que c’est de l’art. Qu’il dirige. Qu’il crée.
    Mais c’est une mise en scène de pouvoir, de contrôle, de destruction.

    Et toujours, Cassie est là.
    D’abord victime.
    Puis favorite.
    Ensuite, cerveau.

    C’est elle qui dirige parfois.
    Qui impose des gestes.
    Qui caresse, regarde, obéit.
    Ou commande.

    Personne ne sait si elle est prisonnière… ou maîtresse du jeu.


    Scène : Confrontation – Freak Offs

    INT. SUITE PRIVÉE – NUIT.

    Lumière rouge. Fumée. Corps en arrière-plan.
    Cassie, enceinte de un mois, s’avance lentement vers P. Diddy.
    Silence. Elle le fixe. Il la regarde à peine.

    CASSIE
    C’est peut-être toi, le père pense elle encore.

    P. DIDDY
    Ce n’est pas moi. Tu t’es tirée ce soir-là, lors des Freak Offs.pense t'il en l'a voyant

     P. DIDDY
    Tu te rappelles ce que tu disais ?
    Tu me répétais, en me murmurant à l’oreille, de réorganiser la soirée…
    Parce que ça te mettait dans un état second.
    Comme si tu je te voyais dans un autre miroir.

    Moi, j’étais l’innocent. Car toi, tu étais dedans, car tu aimes rester à l'intérieur, ça te fait jouir, c'est ton petit paradis secret.

    CASSIE
     à l’intérieur ?

    Oui, j'étais ta prisonnière de tes propres désirs, et toi, tu es ce miroir, mon reflet, d'en donne de la jouissance. Tu me fais voir les profondeurs d'elle-mème
    C’était pas moi. Ou ma jumelle.
    Cette cassie extrême. Celle que même toi, tu ne reconnais plus.
    Celle qui te dirigeait de jouissance... pendant que tu pensais tout contrôler.

    Silence tendu. P. Diddy détourne les yeux.


    Chapitre 3 : La Cassure

    Une vidéo refait surface.

    2016. P. Diddy en serviette, hurlant.
    Cassie fuit dans le couloir. Il la rattrape.
    Il la projette au sol. Il la frappe.

    Elle ne crie pas.
    Elle le regarde. Calme. Presque complice.
    Comme si elle savait.
    Comme si elle avait déjà tout prévu.

    Cette nuit-là, elle avait essayé de s’échapper.
    Mais est-ce qu’elle s’échappait...
    Ou lançait son plan ?


    Chapitre 4 : La Machine

    Les procureurs entrent dans la danse.
    L’empire s’effondre.

    P. Diddy est accusé de :
    — trafic sexuel,
    — violences,
    — vidéos utilisées comme chantage.

    Derrière chaque plainte, chaque image, Cassie revient.
    Pas en tant que plaignante.
    Pas en tant que témoin.
    Mais comme l’ombre de toutes les autres.

    On l’appelle Cassie parce qu’aucune autre n’a autant vu, autant fait, autant survécu.
    Certaines disent qu’elle est une victime.
    D’autres qu’elle a construit cet enfer à ses côtés.
    Les plus cyniques disent :
    "Elle est devenue lui. En pire."


    Chapitre 5 : Chute du Roi

    16 septembre. 6h00.
    Le FBI frappe. P. Diddy tombe.
    En prison. Déchu.

    Silence dans les médias.
    Mais sur les réseaux, le feu :

    — Qui savait ?
    — Qui était là ?
    — Qui a filmé ?
    — Qui s’est tu ?

    Des noms circulent.
    Des vidéos floues.
    Des visages effacés.

    Mais elle… Cassie… est introuvable.


    Chapitre 6 : L’Héritière du Mal

    Les témoins disent :

    — qu’elle donnait les ordres quand il était trop défoncé pour le faire,
    — qu’elle souriait quand les filles pleuraient,
    — qu’elle savait où étaient les caméras,
    — et que parfois, c’est elle qui les allumait.

    Mais aucune plainte contre elle.
    Aucun témoignage clair.

    Juste des regards.
    Des frissons.
    Et cette vérité insupportable : elle savait tout.
    Peut-être même plus que P. Diddy lui-même.


    Chapitre 7 : Le Fantôme dans la Salle

    Lors du procès, son nom est évoqué. Une fois.
    Puis rayé du dossier.

    Les avocats baissent les yeux.
    Les juges détournent la tête.
    Son vrai nom est comme une malédiction.

    Cassie ne parle pas.
    Elle n’écrit pas.
    Elle n’a pas besoin de se défendre.

    Elle a déjà disparu.
    Ou pire…
    Elle regarde. Et elle attend.


    Épilogue : La Légende Noire

    P. Diddy est en prison. À vie ? Peut-être.
    Mais son empire n’est pas mort.

    Il reste une héritière.
    Invisible.
    Intouchable.
    Innommable.

    Elle est dans les clips.
    Dans les souvenirs.
    Dans les cauchemars.

    Cassie.
    La seule vraie survivante de l’empire de la perversion.
    Ou peut-être…

    La reine absolue de ce royaume.

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