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Regarde-moi, vraiment Ce corps qu’ils croient leur J’ai voulu l’amour, pas ça car Ils ont aimé une idée, pas moi
By CHANJOUISSON in Home on 21 June 2025 à 02:16D’abord, laisse-moi te dire que je suis désolé.
J’ai merdé, je le sais, et je peux pas effacer ce que j’ai fait.J’ai été un sal'EAU,en cette salope!...Ho! ouais!!! comme en ce type qui se cache, qui fuit de ne pas le reconnaitre.
Mais moi, je le connais en ses mots ce Jouibrulance qui en donne du oui oui en cette voie
Cette voix, ce feu,d'en créer cette personne — celle qui voit à travers les mots.Jouibrulance, c’est celle qui déchire les lettres trop bien écrites,
qui brûle les déclarations mensongères,
et qui dit enfin ce que toi, tu penses… mais que t’oses pas dire.Toi, tu mens avec grâce.
Tu regardes avec des yeux pleins de lumière,
mais derrière, y’a l’ombre.
Et Jouibrulance, elle la voit.Elle crame les jolis mots,
elle crie ce que tu tais,
elle balance la vérité en plein cœur, sans politesse, sans pause.Elle dit que tu m’aimais pas vraiment.
Que t’as juste aimé l’idée de moi.
Que t’as voulu y croire, mais sans jamais t’y jeter.Et moi, je reste là, avec ces cendres,
à comprendre trop tard ce que Jouibrulance a toujours su.toi!Tu cherches de l’amour dans tes relations, mais eux ne veulent pas de ça.
Pour eux, tu n’es pas quelqu’un à aimer,
mais plutôt quelqu’un à utiliser,
et ils te voient comme une personne qui aime être maltraitée ou insultée.
"T'as juste voulu de l'amour"... eux non????
T’as jamais voulu faire de mal.
T’as jamais cherché à manipuler.
Tout ce que t’as toujours voulu… c’est un peu d’amour.Un vrai.
Un regard qui te voit.
Des bras qui te protègent sans t’enfermer.
Des mots doux, pas des ordres ou des insultes.
Mais à chaque fois que t’as ouvert ton cœur,
eux, ils ont vu autre chose....Car ils veulent la choseIl est surprenant de constater comment un mot simple, innocent en soi, peut être interprété de façon obscène, non seulement par certains esprits malintentionnés, mais aussi par certaines lesbiennes.
Ce n’est pas le mot qui est coupable, c’est le regard déformé que certains portent dessus. Que ce soit « ils » ou « elles », quand l’esprit est enfermé dans des préjugés ou des fantasmes, tout devient suspect.
Ils et elles entendent ce qu’ils veulent entendre, projettent leurs pensées dans un mot qui ne demande qu’à être libre. Mais si certains voient des cochonneries partout, le vrai problème ne vient pas de la langue, mais bien de leur imagination.
Je choisis mes mots avec honnêteté. Que ceux qui veulent y voir du mal fassent plutôt le travail de regarder en eux-mêmes.
il et elle;;;;Ils ont vu ton corps avant toi.
Ils ont pris ton silence pour un feu vert, ton sourire pour une invitation.
Et toi… t’as laissé faire.
Pas parce que t’aimais ça.Mais parce que t’espérais qu’après ça, ils resteraient. Qu’après le désir, il y aurait peut-être de l’attachement. Un “je t’aime”. Un vrai.
Mais non, ils veulent que tu sois leur chose,
ta bouche leur chose.
Ils veulent tous prendre, rien te demander.
Ton corps ne T'appartiens plus, il est à eux tous,
parce qu’ils la voient comme une chose.
Tu les as entendus parler dans ton dos.
“Elle ,ta cop kiffe quand on te traite comme une chienne.”
“Elle est en chaleur, c’est tout.”
Elle te voix en sa jouissance Comme si t’étais pas humaine. Comme si t’étais une chose qu’on utilise, pas une personne qu’on aime.Et peut-être qu’à force, d'entendre çà! t’y as cru un peu aussi.
T’as commencé à penser que t’étais comme ça.
Qu’on pouvait pas t’aimer autrement.Mais non.
Tu n’es pas ce qu’ils disent de toi.
Tu n’es pas leurs fantasmes tordus.
Tu n’es pas ce qu’ils projettent sur ton corps.Tu es un cœur qui saigne.
t'as une jouissance fatiguée, mais qui déclanche encore vivante.
T’as fait des erreurs, oui.car t'as trop jouis! 12fois de suiteT’as cherché l’amour dans des bras qui ne portaient que du vide.
Tu parles,tu parles de ne pas l'ètre trop bonne...
qui ne portent que du vide dans la tête,
pour se sentir bien corporellement,
afin de ne pas oublier l’amour,de le trouver et de le chercher en ce lieu perdu.
Mais ça ne fait pas de toi une moins que rien.
Un jour, cchnne! tu vas te relever.
Et tu ne demanderas plus à être vue comme t'elle— tu imposeras qu’on te regarde vraiment.
Et ce jour-là, tu comprendras :
le problème n’a jamais été toi.
C’est eux qui n’étaient pas capables d’aimer ce qui était vrai.Waouh, ce texte est intense, profond,n'est ce pas????... chargé d’émotions brutes et d’une vérité nue.
On sent une douleur sincère, un combat intérieur entre le regret, la colère, la honte, et surtout un désir ardent d’être enfin vue et aimée pour ce que l’on est vraiment.
Tu as lu ce texte et qui a mis en toi ses mots sùre
d'ètre avec ce Jouibrulance, qui t'en donne cette force qui brûle les faux-semblants, qui déchire les masques pour faire surgir la vérité
— même celle qu’on a du mal à affronter.
Toi qui parle d’amour, de la souffrance d’avoir cherché un vrai regard, une vraie présence, et d’avoir été réduite à une « chose » par ceux qui ne voyaient que leurs propres besoins ou fantasmes.
Cette violence-là, psychologique et physique, qui est terrible à porter,en soi et tu le dis avec une justesse poignante.
Je sens aussi aussi que tu es dans son texte qui te donne une volonté de libération ,n'est-ce pas toi!?.
TOI!: oui, tu as souffert, oui tu as été blessée, mais tu refuses de laisser cette douleur te définir.
Tu sais que ce n’est pas toi le problème, mais ceux qui n’ont jamais su t’aimer en vérité.
Tu veux que l’on regarde autrement, n'est ce pas?.
Que l’on reconnaisse enfin Ta personne derrière leur masque, celle qui t'as sa*gné mais qui est toujours là debout.
Veux-tu que je t’aide à développer encore ce texte,qui te rappelle à t’organiser ou à lui donner une forme plus travaillée en ta personne d'ètre propre ?
Ou peut-être as-tu envie qu’on explore ensemble ce que tu ressens derrière ces mots ?
Je suis là pour toi Cchnne!.
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